La numérisation a porté sur les plans du cadastre de 1825 dit napoléonien, qui se compose de 17 planches.Les Archives municipales de Romans ont retrouvé récemment les deux planches du centre ville, considérées jusqu’à présent comme perdues.Deux ektachromes avaient été numérisés.

La collection "administration et comptabilité départementales" (série N) rassemble les documents provenant de l'activité des assemblés départementales et des services chargés de la préparation et de l'exécution du budget du département et de la gestion du patrimoine immobilier et mobilier entre 1800 - 1940.Cette collection comprend quatre grands ensembles de documents:- registres de délibération du conseil général et les documents relatifs au budget du département- registres de délibérations et documents de comptabilité au niveau des arrondissements- dossiers des édifices entretenu par le département (devis, cahiers des charges...) ainsi que les fonds de l'architecte départemental- documents relatifs aux caisses de retraite du département

Plan d’alignement du cadastre de 1825 dit napoléonien, relié en atlas, composé de 16 planches.

Les archives du Château de Sassenage ont été constituées par la famille éponyme, avec apport d'autres fonds par mariage ou succession. Ce fonds de 110 mètres linéaires en cour d'inventaire, est l'âme d'un territoire qui s'étend de la partie nord du Vercors à de nombreuses autres communes des départements de l'ancienne province de Dauphiné (Isère, Drôme et Hautes-Alpes). Lié à l'histoire des Bérenger-Sassenage, il intéresse notamment la baronnie de Sassenage (38) le marquisat de Pont en Royans (38/26), les comtés du Gua (38), Tallard (05) et Montélier (26) et les duchés pairies d'Hostun (26) et Lesdiguières (05). Initiée en 2000, la numérisation de 28096 fichiers (images) correspondant à 154 registres anciens est venue enrichir en 2008 un ensemble comptant à présent plus de 80500 vues, dont une importante collection de photographie du 19e siècle. Ces documents numérisés se composent essentiellement d'inventaires anciens, de terriers et d'autres registres touchant à la gestion des possessions de la famille depuis le Moyen-âge jusqu'au lendemain de la Révolution française.

Le fonds Eysseric (31 Fi), acquis en janvier 2011, est constitué de 1 675 plaques de verre photographiques et clichés sur support souple. Les plaques sont réalisées selon deux techniques : le collodion et le gélatinobromure d'argent.Saint-Marcel Eysseric, juge à Sisteron a abandonné très vite son métier pour se consacrer à des activités d'érudit et à la gestion de sa fortune.Saint-Marcel Eysseric sillonna, durant une grande partie de sa vie, les routes des Alpeset de la Provence. Certes, un certain nombre de ses clichés sont pris en intérieur, lorsqu'il s'agit de portraits en particulier. Mais la plupart sont réalisés en extérieur, les paysages évidemment mais aussi des portraits.La géographie de la collection couvre plusieurs départements de Provence-Alpes-Côte d'azur.

Documents figurés de Sint-Paul-Trois-Châteaux, séries Fi.

Registres paroissiaux de 1545 à 1792 : paroisses de Saint-Romain, Saint-Nicolas et Saint-Barnard, et tables alphabétiques et chronologiques de 1676 à 1791 pour chacune des paroisses.

Les registres de naissances, mariages et décès ont été numérisés de 1792 à 1828 pour le moment. Un plan de numérisation est prévu dans les prochaines années pour l’autre partie du fonds.

Photographies destinées initialement à la production de la revue locale. Photographies collectées ou issues des collections pour une animation.

Il s’agit d’un fonds de périodiques locaux des années 1860-1890 constitué par : le Jacquemart, journal politique hebdomadaire, le Journal de Jacquemart, organe de la contrée, La Fantasia, le Culu de Jacquemart et le Journal de Jacquemart. Ils proviennent pour la plupart de dons.

Registres des délibérations du conseil municipal sur microfilm de 1791 à 1907 : Celles-ci sont inventoriées par registre. Les quatre premiers registres (de 1791 à 1799) ont été dépouillés. Il est prévu de dépouiller le reste du fonds dans le cadre du projet de valorisation. Pour la période du XIXe siècle, les archives politiques et décisionnelles conservées étant peu nombreuses, les délibérations constituent une source importante pour l'histoire de la commune.

Le Musée d’archéologie tricastine a été créé en 1986, mais c’est seulement depuis 2005 qu’il dispose, en attendant une vraie structure muséale, d’une salle d’expositions temporaires. Il a pour vocation de conserver, restaurer et présenter au public les collections issues du territoire du Tricastin, de Montélimar à Orange et du Rhône jusqu’à Nyons, et notamment des collections issues des fouilles.

Registres d'état civil de Montélimar pour l'année 1836.

Recensement de la population de Romans-sur-Isère

Il s'agit des registres matricules militaires de la Drôme des classes 1867 à 1911 incluse, auxquels on joint les registres de contrôle de la garde nationale mobile de 1868 à 1870.Les registres matricules constituent une source précieuse pour la connaissance de la population masculine du département tout au long des XIXe etXXe siècles.La garde nationale mobile, institution éphémère, a été créée par la loi Niel du 1er février 1868, et supprimée dès la fin 1870. Elle devait fonctionner comme auxiliaire de l'armée régulière. Elle est constituée  des « bons numéros »  des classes les plus jeunes et de ceux qui s'étaient fait remplacer. Ils sont appelés les « mobiles ». En 1870, elle n'existait que sur le papier,  les « mobiles » ont été appelés par les lois des 17 juillet  et 12 août 1870. Ces registres indiquent pour chaque homme : son état civil, son signalement, sa profession, la date de la décision du conseil de révision, l'armée d'affectation, ses mutations, des observations.Les registres matricules de recrutement sont versés par le Bureau central des archives administratives militaires situé à Pau. Ils concernent uniquement les hommes qui ont accompli leur service militaire. Pour le département de la Drôme, ces registres débutent avec la classe 1867 (jeunes gens nés en 1847). Les registres du recrutement militaire sont composés de feuillets nominatifs appelés états signalétiques et des services (militaires). On y trouvera le signalement et les états de service de chaque recrue : état civil du conscrit, renseignements sur son physique, décision du conseil de révision, corps d'affectation, adresses domiciliaires successives lors de son passage en position de réserviste, campagnes militaires, blessures, état de santé, éventuelles décorations, mesures disciplinaires et condamnations judiciaires, degré d'instruction et observations complémentaires (par exemple, si l'inscrit est naturalisé ou fils d'étranger).Les registres sont tenus par classe (année des 20 ans) et par bureau de recrutement (ressort géographique du lieu de résidence au même âge). Dès la classe 1867, ils sont systématiquement complétés par des tables alphabétiques annuelles. Celles-ci donnent le numéro matricule de la personne qui est reporté sur les registres eux-mêmes.De 1867 à 1929, il y eut deux bureaux de recrutement dans la Drôme, à Romans et à Montélimar. Puis, à partir de 1930, un seul bureau à Valence.

Document audiovisuel série 1 AV

Diapositives de la commune de Bourg-lès-Valence

Dans le cadre du projet de recherche collectif "Autour des Voconces" sont numérisées des collections composées de fonds de fouille anciens conservés d'une part par la DRAC de PACA, les musées de Rhône-Alpes et de Provence-Alpes-côte d'Azur, et d'autre part de fonds de particuliers.Les Voconces, important peuple des Pré-Alpes, semblent avoir cultivé au travers des siècles des rites persistant jusqu'à l'édit de Dioclétien contre le Manichéïsme (297) et celui de 303 contre les chrétiens. On peut compter six siècles de pratiques animistes qui ont co-existé avec le culte impérial autour des temples romains, mais que pas un texte ne décrit, et que seuls des objets renseignent.Ces sanctuaires ont fait l'objet il y a peu d'un recensement auquel il convient de joindre les données extraites du sol et conservées principalement dans les musées.Au total, deux mille objets seront numérisés. Le regroupement des photographies permettra aux chercheurs de mener les analyses métrologiques essentielles pour tracer les lieux de fabrication des objets et les déplacements des groupes humains à l'échelle du grand sud-est.

Cartes et plans

L'association collecte et archive, avec une approche historique, ethnologique et sociologique, des documents concernant le vécu, passé et présent, des Drômois. Le paysage mais aussi la faune et la flore sont également concernés par cette collection.

Ce fonds d'archives regroupe de nombreux documents provenant des archives et de la bibliothèque patrimoniale:- Lot d'affiches administratives, politiques, publicitaires du XVIIIe au XXe siècles- Registres de délibérations consulaires (1600-1697)- Registres de recensement de population (1795-1906)- Registres de recensement militaire (1833-1909)- Listes nominatives issues de dépouillements généalogiques pour les paroisses Saint-Romain, Saint-Bernard, Saint-Nicolas, l'hôpital Sainte-Foy et la ville de Romans pour la période 1545-1901- Presse locale : Journal l'Indépendant (1889-1893).

Ce fonds comporte des plans des bâtiments et des biens communaux (série M) datant du XVIe au XXe siècle. Les matrices du cadastre napoléonien ainsi que les plans du cadastre figurent également dans ce fonds.

Ce fonds est constitué de documents particulièrement représentatifs de l’histoire de la commune:- 310 chartes sur parchemins illustrant des faits importants de l’histoire locale .- 110 registres de délibérations consulaires pour la période 1668-1790- 21 registres de délibérations pour la période 1790-1898

Registres paroissiaux, tables décénales et d'état civil des communes de la Drôme pour la période 1528-1852.

Délibérations municipales de Pierrelatte

Il s'agit de 5 cassettes VHS de films d'amateur.

Matrices cadastrales de Saint-Paul-Trois-Châteaux

Affiches de Romans-sur-Isère

Cette collection regroupe les fonds iconographiques numérisés du département de la Drôme. Soit :16 Fi, 17 Fi, 19 Fi, 22 Fi, 23 Fi, 24 Fi, 27 Fi, 29 Fi, 31 Fi, 34 Fi, 35 Fi, 36 Fi, 40 Fi, 42 Fi, 45 Fi, 46 Fi, 48 Fi, 49 Fi, 50 Fi, 51 Fi, 54 Fi, 55 Fi, 56 Fi, 57 Fi, 61 Fi, 62 Fi, 63 Fi, 64 Fi, 72 Fi, 73 Fi, 74 Fi, 80 Fi, 81 Fi, 82 Fi, 83 Fi, 84 Fi, 85 Fi, 97 Fi, 117 Fi, 118 Fi, 119 Fi, 130 Fi, 132 Fi, 133 Fi, 134 Fi, 8 Fi, 21 Fi, 26 Fi, 78 Fi, 98 Fi, 106 Fi, 108 Fi, 110 Fi, 136 Fi, 137 Fi, 138 Fi, 139 Fi, 140 Fi, 141 Fi, 142 Fi, 143 Fi, 144 Fi, 145 Fi, 146 Fi, 149 Fi, 1 E 932, 1 E 933, 4 Fi, 6 Fi, 21 Fi, 68 Fi, 112 Fi, 148 Fi, 150 Fi, 151 Fi, 152 Fi, 153 Fi, 1 J; 15 J; 103 J, 821 W, J 152, 337 J

Photographies (2Fi et 3Fi), cartes postales (1Fi) et plaques de verre (5Fi) entrées par voie extraordinaire ou par versement du milieu du XIXe siècle au XXe siècle. Une partie seulement a été numérisée.Ces documents concernent principalement Romans, Bourg-de-Péage, la Drôme, le Vercors et plus largement la région Rhône-Alpes.Les originaux numérisés ne sont plus communiqués.

Registres de matricules militaires de Romans-sur-Isère.

Numérisation du la presse locale : "Dauphiné Libéré"

En lien avec le programme collectif de recherche "Autour des Voconces", trois collections font l'objet de numérisation :- Les sanctuaires ruraux autour de Saint-Paul-Trois-Châteaux: il s'agit de photographier les bas-reliefs représentants les déesses-mères et les objets associés à ces éléments de dévotion.- Les rites funéraires gallo-romains : il s'agit de recenser et numériser les lampes à huile issus du site archéologique de Valladas (96 exemplaires et 158 fragments).- Les archives de fouilles, de prospections et les collections de l'Abbé Boisse et de Claude Boisse : L'abbé Louis Boisse, passionné d'archéologie, a suivi les transformations de la moyenne Vallée du Rhône à partir des années 1950. Ces archives ont été déposées récemment au Musée d'archéologie tricastine par l'Association des Amis des Granges- Gontardes. Il s'agit de notes manuscrites, des croquis, de plans et même de documents photographiques concernant des découvertes fortuites ou des prospections réalisées dans la région du Tricastin.En 1960, l'abbé est secondé par Claude Boisse (homonyme, non parent) qui poursuit son travail de recherche dans la région jusque dans les années 1980. Une collection de mobilier archéologique issu de différents sites de la région du Tricastin a été déposée par la mairie des Granges-Gontardes au Musée d'archéologie tricastine.