Deux séries : l'une sur les églises, presbytères et cimetières de Marseille ; l'autre sur les bâtiments communaux : Palais des Beaux-Arts, observatoire, parcs et jardins, Halles et Marchés, abattoirs, mobilier urbain, douanes...). Sous-série 31 Fi.

Les camps d'internement sont apparus dès 1939 afin de regrouper, notamment, les réfugiés étrangers allemands ou de la guerre civile espagnole. Entre 1940 et 1944, les camps se multiplièrent sur l'ensemble du territoire. Y étaient internés les victimes des législations antisémites et de manière générale de persécutions raciales, ainsi que les opposants au régime de Vichy, comme par exemple les résistants ou les communistes. Certains de ces camps furent le point de départ vers les camps d'extermination.Initialement, l'administration des camps d'internement français fut confiée au ministère de la Guerre avant d'être rattachée, en novembre 1940, au secrétariat général à la police du ministère de l'Intérieur. L'inspection générale des camps fut créée en septembre 1941 chargée du contrôle des camps, elle dressait un rapport à la suite des inspections qu'elle y effectuait. Les inspecteurs réalisaient, au cours de ces inspections, des clichés qui venaient à l'appui de ces rapports.Les photographies présentées ici sont une sélection de ces clichés. Elles portent sur 9 camps différents : Sisteron (Alpes-de-Haute-Provence), Les Milles (Bouches-du-Rhône), Récébédou (Haute-Garonne), Pithiviers (Loiret), Gurs (Pyrénées-Atlantiques), Rivesaltes (Pyrénées-Orientales), Brens (Tarn), Saint- Sulpice-La-Pointe (Tarn), Saint-Paul-d'Eyjeaux (Haute-Vienne).Le fonds de l'inspection générale des camps dont proviennent ces rapports et clichés, est conservé au Centre historique des Archives nationales dans la sous-série F7 15086 à 15111. Ces dossiers sont librement communicables au CARAN.Ces photographies constituent une source iconographique unique de par le nombre de camps concernés. Elles représentent aussi bien les internés dans leur vie quotidienne que les installations, baraques, barbelés et miradors. C'est néanmoins une vision officielle qui nous est offerte, gommant ainsi les aspects les plus tragiques de l'histoire des camps d'internement.

Le Museon Arlaten, musée départemental d'ethnographie, conserve, outre des collections d'objets ethnographiques, des fonds patrimoniaux d'archives et de bibliothèques, ainsi qu'un fonds d'archives sonores contemporaines constituées à partir d'enquêtes ethnographiques commanditées par le Museon.La numérisation dont il est question ici regroupe des albums contenant des revues de presse régionale, nationale et internationale autour de Frédéric Mistral et son œuvre, datant de 1859 à 1924.Plus exactement 4590 pages représentant les 21 grands albums de "Documents mistraliens" réunis par Edmond Lefèvre.

Documents figurés des archives municipales de Marseille :- Fonds de plaques de verre de la Société des Excursionnistes Marseillais et Photographies de Marseille aux XIXème siècle et XXème siècle (sous-série 33 Fi, 14 Fi, ...) soit 7700 images. Certaines de ces images ont été publiées avec un article "Les photographies des Excursionnistes Marseillais, témoignage d’une « conquête » de la Provence (1897-1914)".- les albums photographiques des Excursionnistes Marseillais soit environ 2000 images du début du XXe siècle,- les portraits sur cartes photographiques du XIXe siècle soit une soixantaine de portraits de personnalités du spectacle.- Fonds photographique du Canal- Fonds photographique Louis Sciarli- Collection photographique attribuée à Eugène Isnardon (1873-1947)- Collection photographique de Jules Simon (1886-1960)- Collection photographique d'Edouard Cornet (1862-1930)- Collection photographique d'Edouard Michel (1871-vers 1951)- Collection photographique de Charles Baron (1866-1927)- Fonds photographique de Victor de Gaudemaris (1835-1918) et des auteurs du Musée de la Photographie Documentaire de Provence (MPDP)- Fonds photographique de la société des Huileries Puget- Fonds Rudolf Kundera- Fonds sur l'Hôpital auxiliaire Belle-de-Mai- Collection André Chevrot- Collection Edouard Laugier

Le corpus est composé de 23 enquêtes commandées par le Museon Arlaten et réalisées entre avril et décembre 2005 à Arles et Tarascon. Le 3 décembre 2003, sous la pression d'une crue du Rhône, des parties de digue ont cédé et provoqué l'inondation du nord de la ville d'Arles faisant près de 8000 sinistrés. De cette catastrophe sont nés de nouvelles relations entre les populations, des problèmes d'ordres sociaux et psychologiques ainsi qu'une identité propre aux sinistrés. Cette inondation fait aujourd'hui partie intégrante de la mémoire collective arlésienne.

Le musée, ouvert au public en juin 1995, regroupe trois fonds de céramique des musées Borély, Beaux-Arts et Cantini, réunis dans ces différents établissements depuis le XIXe siècle. La politique d'acquisitions engagée par la Ville de Marseille ainsi que plusieurs dons prestigieux, ont permis d'enrichir les collections. Elles constituent un ensemble représentatif de la faïence marseillaise et provençale tout en ménageant des ouvertures à d'autres expressions de la création céramique en France et à l'étranger.On retrouve notamment au sein de cette collection les faiences de Moustiers ainsiq eu des manufactures de Marseille pour la période XVIIe-XIXe siècle.Le projet prévoit la numérisation du fonds graphique Feuillet de Borsat, de documents d'archives, de registres d'inventaire ainsi que 3300 objets (faïences, collection Cantini de peintures sous verre et faïence, mobilier Borély,décors du château Borély).

Dans le cadre du projet de recherche collectif "Autour des Voconces" sont numérisées des collections composées de fonds de fouille anciens conservés d'une part par la DRAC de PACA, les musées de Rhône-Alpes et de Provence-Alpes-côte d'Azur, et d'autre part de fonds de particuliers.Les Voconces, important peuple des Pré-Alpes, semblent avoir cultivé au travers des siècles des rites persistant jusqu'à l'édit de Dioclétien contre le Manichéïsme (297) et celui de 303 contre les chrétiens. On peut compter six siècles de pratiques animistes qui ont co-existé avec le culte impérial autour des temples romains, mais que pas un texte ne décrit, et que seuls des objets renseignent.Ces sanctuaires ont fait l'objet il y a peu d'un recensement auquel il convient de joindre les données extraites du sol et conservées principalement dans les musées.Au total, deux mille objets seront numérisés. Le regroupement des photographies permettra aux chercheurs de mener les analyses métrologiques essentielles pour tracer les lieux de fabrication des objets et les déplacements des groupes humains à l'échelle du grand sud-est.

Le corpus sonore est constitué d’enquêtes enregistrées par Yvonne Knibiehler entre 1993 et 1994. Ces enquêtes de terrain réalisées à Marseille visent à étudier une double spécificité : féminine et marseillaise. Les témoins interrogés lors de l'enquête répondent aux questions suivantes : Pourquoi sont-elles entrées en politique ? Comment ont-elles compris et assumé leur rôle ? Quel jugement portent-elles sur la politique en général ? Les entretiens sont semi-directifs. Les informateurs donnent leur point de vue sur la place des femmes dans la politique, sur la politique actuelle menée à Marseille et sur l'intégration européenne.Les femmes interrogées expliquent le choix d’un parti par une influence familiale, par des enseignants du secondaire, ou par le milieu associatif (associations de parents d’élèves et associations féminines-féministes). Dans la pratique politique elles racontent comment elles organisent leur temps entre responsabilités politique et familiale, parlent des relations avec le personnel politique et de la position de la femme dans cette institution.Ce fonds a été déposé par Yvonne Knibiehler en avril 2004 à la phonothèque de la MMSH. Le dépôt a fait l’objet d’un contrat stipulant entre autres les conditions de consultation des documents. Actuellement, l’ensemble de la collection est communicable au public dans le cadre d’une consultation sur place. La phonothèque effectue les recherches auprès des détenteurs des droits et des ayants-droit pour une mise en ligne éventuelle.

Sources législatives et réglementaires et du droit coutumier et local :- Statuts et coutumes de Provence (statuts imprimés en 1504, Massé, Bomy, Morgues, Julien, Gassier, Dubreuil, Roux…), des villes d'Aix, Marseille, Avignon ; statuts synodaux d'Aix et Marseille…- Recueils factices d’édits, arrêts, déclarations, ordonnances royales relatifs à la Provence- Abrégés des délibérations de l’Assemblée générale des communautés de Provence (1611-1786) ; Procès-verbaux des Etats généraux de Provence ; Courrier de Provence de Mirabeau (1789-1791)- Recueils relatifs aux Bouches-du-Rhône : actes administratifs du département (1815-1950), rapports et délibérations du conseil général, procès-verbaux des délibérations des conseils d’arrondissements (Marseille, Aix, Arles) ; Bulletin officiel du Commissariat régional de la République à Marseille (1944-1945).Sources jurisprudentielles :- Arrêts du Parlement de Provence (1501-1790) et de la Cour des Comptes : recueils imprimés de Clappiers de Vauvenargues, Estienne de St Jean, Boniface, Bonnet, Grimaldy de Régusse, Debézieux, Janéty - Recueils de factums provençaux des XVIIIe et XIXe siècles, dont certains sont manuscrits- Recueils de la Cour d’appel d’Aix et des tribunaux de son ressort (1800-1992).Sources doctrinales :- 33 manuscrits des XVIIe-XIXe siècles : dictionnaires de droit ancien, consultations, notes de jurisconsultes locaux, relatives souvent au droit romain appliqué à la Provence- Principales œuvres de Guillaume du Vair, Fabrot, Peisssonel, Jean-Joseph Julien, Gensollen, Barrigue de Montvallon, François de Cormis, Ventre de la Touloubre, Coriolis, Charles-François Bouche, Miollis, La Rouvière, Scipion Dupérier , Durand de Maillane, Emerigon, Portalis, Siméon, thèse de Frédéric Mistral…- Après accord des auteurs : périodiques de l’université : Annales de la faculté de droit d'Aix : 1905-1972; Revue de la recherche juridique :1976-1990 ; Annuaire européen d'administration publique :1979-1990 ; Problèmes actuels de Science Criminelle (1985-1990), Annuaire des pays de l'océan indien 1974-2006, Revue Scapel : 1923-2009.

Plans originaux des Documents d’évaluation du patrimoine archéologique des villes de France (DEPAVF)(1990 à 2002).Villes concernées : Aix-en-Provence ; Angers ; Arles ; Auxerre ; Bayeux ; Besançon ; Béthune ; Bourges ; Castres ; Cluny ; Compiègne ; Douai ; Grenoble ; Metz ; Parthenay ; Saint-Amand-Montrond ; Saint-Pierre (Martinique) ; Soissons ; Strasbourg ; Verdun.Plans originaux des Esquisses de topographie historique et d’évaluation archéologique (ETHEA) (1996 et 1998).Villes concernées : Épinal ; Pont-à-Mousson.

Ce fonds photographique a été réalisé dans le cadre d'une convention entre la direction du Patrimoine et le ministère en charge de l'Enseignement supérieur. Cette convention prévoit l'étude et la couverture photographique de tous les instruments scientifiques anciens des observatoires de France. Marseille et Nice figurent parmi les premiers sites choisis pour étude en raison de l'ancienneté et de l'importance de leurs collections. L'observatoire de Nice présente l'intérêt supplémentaire d'avoir eu Charles Garnier pour architecte, et de conserver les instruments d'origine en fonctionnement.L'exploitation devra être envisagée en relation avec les observatoires, la Cité des Sciences et de l'Industrie, le Centre national des Arts et Métiers (CNAM).Ce thème d'étude est commun à plusieurs pays européens dont en particulier l'Italie, principal producteur de publications et d'expositions sur ce sujet.

Fragments d'antiphonaires médiévaux (XIIe et XIIIe siècles)Office des morts italien du XIVe et XVe siècle.

Constitution d’une bibliothèque provençale idéale à partir des fonds de la bibliothèque Méjanes, complétés par d’autres institutions : BU de droit (Aix-en-Provence), Musée Arbaud, etc.Les enrichissements se feront de manière thématique afin de mettre en place des ensembles cohérents.Premiers thèmes retenus, en accord avec le projet européen Internum :-sciences et techniques, et plus spécialement eau et hydrologie, botanique, agriculture- traditions et folklore- instruments de travail de baseLes thèmes seront élargis avec le temps. Des œuvres de fiction et documentaire seront numérisées courant 2006.

Enregistrements de conférences, journées d'études et séminaires sur les programmes et objets de recherche du laboratoire de l'Institut d'ethnologie méditerranéenne et comparative (IDEMEC) à la MMSH depuis 1984.

Cette collection numérisée regroupe 417 photographies dont 159 négatifs (calotypes). Quatre fonds sont ici concernés :- Achille Gautier-Descottes- Dominique Roman- Tourel- Emile Fassin, 34 photographies anonymes sur le Japon, et 1 photographie d'Edouard Baldus.L'histoire de la photographie est intimement liée à la ville d'Arles. Elle accueille depuis 1968 le festival des Rencontres Internationales de la Photographie fondée par Lucien Clergue, et reçoit chaque année photographes et passionnés, autour d'expositions et de conférences.

Collection de photographies du XIXe siècle, conservées par la bibliothèque Méjanes, représentant Aix-en-Provence et ses environs (particulièrement la construction des ouvrages d’art ayant permis d’amener l’eau courante à Aix-en-Provence).- Charles Heirieis (1862- ?) : ensemble de photographies de portes d’immeubles et d’hôtels particuliers, 1898- Claude Gondran (1823-1913) : artiste graveur, photographe autour de 1860-1875- Marie Pellechet (1840-1900)Collection sous la direction de Gilles Eboli, auteurs : Dominique Mazel, Philippe Ferrand, Ursula Baumeister, Bernard Thaon.

Cet ensemble est constitué de quatre fonds :• Fonds Thurel : fonds photographique représentant l'ensemble du patrimoine protégé (en moyenne 2 clichés par édifice). Ce fonds est identifié, répertorié, indexé.• Fonds patrimoine XXe : ce fonds s'est développé ces dernières années avec les nouvelles protections monuments historiques.• Documents photographiques anciens qui se dégradent. 13000 films 24x36.• Fonds iconographique des monuments historiques de PACA.

Le Museon Arlaten, musée départemental d'ethnographie conserve des collections relatives à la société provençale. La numérisation concerne une sélection de vêtements et d'accessoires représentatifs du mode de vie arlésien entre 1790 et 2004, avec une majorité de créations entre 1850 et 1900, soit un millier d'objets textiles : vêtements, châles, fichus et rubans de tête.

Le fonds Eysseric (31 Fi), acquis en janvier 2011, est constitué de 1 675 plaques de verre photographiques et clichés sur support souple. Les plaques sont réalisées selon deux techniques : le collodion et le gélatinobromure d'argent.Saint-Marcel Eysseric, juge à Sisteron a abandonné très vite son métier pour se consacrer à des activités d'érudit et à la gestion de sa fortune.Saint-Marcel Eysseric sillonna, durant une grande partie de sa vie, les routes des Alpeset de la Provence. Certes, un certain nombre de ses clichés sont pris en intérieur, lorsqu'il s'agit de portraits en particulier. Mais la plupart sont réalisés en extérieur, les paysages évidemment mais aussi des portraits.La géographie de la collection couvre plusieurs départements de Provence-Alpes-Côte d'azur.

Le comité du Vieux Marseille est une association qui a pour objectifs la connaissance et la sauvegarde du patrimoine marseillais sous toutes ses formes. Ils ont confié à l'association Cinémémoire la valorisation de leur fonds audiovisuel sur pellicules, à savoir 16 bobines de films de 16mm, 8 mm et super 8 présentant de nombreuses images de Marseille : Notre-Dame de la Garde, le stade Vélodrome, les salons du Splendid ... de 1930 à nos jours.

Les délibérations sont l'ossature de la vie municipale, elles reflètent les préoccupations, les intérêts et les actions des élus de la cité. Leur consultation est indispensable pour toute étude ou recherche relative à l'histoire de la ville.La période couverte (1829 – 1871) est une époque féconde du point de vue historique, puisqu'elle comprend trois révolutions, une monarchie, une république et un empire, événements politiques majeurs très marqués à Marseille. Elle est également celle du grand essor économique de la ville.Les délibérations représentent 49 registres répartis sur les années 1829 à 1871 : soit environ 3300 séances de délibérations différentes, identifiables par une date. Cela signifie un total de 30 000 pages environ, toujours manuscrites. Dans la marge, les thématiques abordées en séance sont signalées, ces mentions seront reportées et indexées.

Le père de ce déposant a laissé 17 documentaires animaliers réalisés en 16 mm sonores dans les années 50 et 60. La plupart sont tournés en Provence et en Camargue. A ces films scientifiques s'ajoutent 9 films familiaux dont 5 bobines en super 8.

Le musée départemental Arles antique possède une collection d'objets archéologiques issus d'un fonds ancien mais aussi de fouilles terrestres et subaquatiques qui s'élève à près de 20000 items. A cela s'ajoute un dépôt de fouille concernant près de 140 sites de fouilles locales et régionales,Le projet de numérisation 2012 concerne les collections du musée, hors dépôt de fouilles, dans l'objectif de la mise en ligne des collections. De la monnaie au fragment d'architecture, à la sculpture monumentale, nos collections renferment tous les types d'objets se rapportant et témoignant de l'histoire d'Arles, de la préhistoire à l'antiquité tardive.Des objets en réserves, les collections subaquatiques, les fonds particuliers (fonds Campana, donation J.-C. Golvin, collections mésoaméricaines, médiévales et modernes), sont notamment numérisés.

3 registres de recensement 1891, 1896, 1901

Série d'estampes, dessins et aquarelles sur Marseille (sous-séries : 11 et 79 Fi).Représentations de l'évolution urbaine de la ville, de l'architecture (maisons, équipements, monuments), des événements historiques, mais aussi de la vie quotidienne, des loisirs de la mode, des transports...

Les partitions musicales représentent un fonds de musique traditionnelle provençale digne d'intérêt : pastorales, rouleaux d'orgue de barbarie, fonds privé d'une famille de musiciens arlésiens.Il s'agit précisément de :- 60 partitions pour orgues de barbarie, datant du début du XXe siècle,- 14 partitions manuscrites,- 120 partitions imprimées et manuscrites provenant du fonds André et Honorine Bourdelon, compositeurs arlésiens de la fin du XIXe au début du XXe siècle,- 206 partitions imprimées.

Ensemble hétérogène de documents figurés (cartes, plans, gravures, planches de dessins) du XVIe au XXe siècle qui ont été préalablement conditionnés en pochettes Mylar.Les documents de format inférieur au A3 ont été numérisés grâce à un scanner de type Cezanne Screen. Les documents plus grands ont fait l'objet d'uneprise de vue numérique à la chambre photo Sinar X, équipée d'un dos numérique haute résolution Phase One. Ce procédé assure une qualité maximale et permet de numériser des documents de très grands format qui sont posés sur le plateau du banc de reproduction.

Plans cadastraux napoléoniens dont certains de mauvaise qualité de 1808 à 1871. Chaque plan a été recoté, protégé par un Mylar.Les documents sont numérisés à 200 dpi couleur par un scanner de plans de marque Vidar.Une série de cédéroms avec des images au format Tiff Lzw est constituée pour l'archivage.Un autre série de cédéroms avec des images Jpeg est constituée pour la consultation. Elles sont associées à une base de données Alchemy. L'objectif est de réaliser une petite quantité de cédéroms autonomes regroupant les plans de quelques communes pouvant être consultés sur n'importe quel poste, et pouvant donc être copiés pour les communes concernées.

Interviews avec l'auteur (par Marie-Noëlle Perrin) au sujet du fonds Louis Sciarli (Fonds 47-48 Fi).

Le musée Réattu d'Arles, conserve la quasi totalité du fonds de l'artiste arlésien Jacques Réattu (1760-1833) légué à la ville d'Arles par sa fille Elisabeth Grange en 1868.Grand Prix de Rome en 1790, l'œuvre de Jacques Réattu s'inscrit dans une période charnière de l'histoire de l'art française, la Révolution. Son enracinement local et sa volonté personnelle de créer de son vivant un musée consacré à son oeuvre ont permis la conservation en un seul lieu de près de 99 % de son travail. Cette oeuvre reste aujourd'hui extrêmement peu diffusée.Le fonds de dessins de Jacques Réattu est composé de 337 pièces. Ce chiffre ne détaille pas la question des recto-verso, l'artiste ayant réemployé ses feuilles parfois à 30 ou 40 ans d'écart pour de nouveaux projets, ni les 6 carnets de croquis regroupant quelques 300 feuillets. Artiste formé à l'Académie royale de peinture et sculpture, le dessin tient une place fondamentale dans son travail de peintre et couvre la totalité de sa carrière de 1776 à 1830. Le fonds rassemble donc des dessins sur papiers « simples », papiers bleus, papiers préparés, papiers huilés, calques... Dessins à la pierre noire, pierre noire et craie blanche, sanguine, sanguine et craie blanche, plume, plume et lavis, avec mise au carreau…Académies, études anatomiques, études d’après l'antique, anatomies et draperies, compositions préparatoires…

Documents divers issus du Service "découverts" au cours de recherches, ou d'exploitation pour le public. Documents remarquables pouvant servir à une future exposition virtuelle, ou bien pour présenter lors de réunions préparatoire, à des expositions en partenariat avec les Archives départementales, ou le Muséum :série de Blasons de la Ville, issus de la série BB (XVIe siècle), ou de la série CC (XVe siècle), des cartes postales du début du XXe siècle, des plans très grands découverts dans des dossiers (XXe siècle), une sanguine signée par Rambot (XVIIIe siècle), un certificat du pèlerinage à Compostelle (1601), des factures aux en-tête intéressantes ou cocasses, des fascicules et affichettes de la défense passive, etc.

1 matrice cadastrale 1900-1914

Cette collection provient de fonds de plusieurs structures régionales possédant des archives audiovisuelles (fonds de Cinémémoire, fonds du musée Ciotaden - La Ciotat, fonds d'archives municipales de La Ciotat, fonds du service culturel de la Ville de Port-de-Bouc, Fonds de l'Association French Lines de Marseille).On y trouve 11 heures autour de la thématique de l'industrie navale. Ces films constituent un aspect important de la mémoire du patrimoine maritime régional.

Registres paroissiaux et d'état civil de toutes les communes du département des Bouches-du-Rhône du XVe au XXe siècle

Fonds filmographique du service culturel de laville de Port de Bouc qui comprend de nombreux films d'amateurs du service decommunication, du Club de photographie, du Ciné-club amateur ou encore du particulier René Martin. Ces films évoquent les colonies de vacances à Lure, des images de l'inauguration du stade vélodrome, des prises sous-marines etc.… . Ce fonds contient également deux documentaires sur le chantier naval de Port de Bouc des années 60 : "Les yeux du coeur" et "Le trou de mémoire".

photos et cartes postales de Martigues

2 registres de délibérations 1811-1817 et 1875-1883

Le Musée du Vieux-Marseille est le musée de l’identité marseillaise. Il conserve des objets rares et anciens, symboles de la vie et des traditions provençales : indiennes du XVIIe et XVIIIe siècles, jupons de boutis, collection de crèches en verre filé ou mie de pain des XVIIIe et XIXe siècles, collection de santons depuis les premiers moules du figuriste Jean-Louis Lagnel, signés et datés de la fin du XVIIIe, collection de la maison Camoin (cartes à jouer et instruments de fabrication des cartes).Le projet a pour but de numériser la totalité du fond graphique, des cartes à jouer, des plaques photographiques, des documents d'archives, des registres d'inventaires, des ektachromes ainsi que 2250 objets: crèches, santons, costumes, peintures, maquettes, éléments de mobilier, sculptures, objets de la peste et matériel d'impression de cartes.S'ajoute à cette collection des documents d'archives renseignant les collections du musée mais aussi des costumes provençaux et fonds de santonniers.

Journal "Le Cri d'Aubagne", 1946-1974

Exceptionnelle portion d’entrepôt romain évoquant l'activité portuaire de Marseille entre le VIe siècle avant notre ère et le IVe de notre ère. La vocation même de la ville comme port de transit s'y révèle grâce aux témoignages des objets présentés, fruits des recherches archéologiques sous-marines : amphores, éléments d'accastillage, objets de la vie quotidienne...La vie commerciale antique à Marseille est matérialisée par un choix de vestiges trouvés dans des épaves de bateaux ayant sombrés dans la rade ou non loin. Le mur d'amphores montre la diversité des formes fabriquées à Marseille. Les Dolia, datés de l'époque grecque à l'époque médiévale, constituent le temps fort de la visiteEnfin les instruments de mesure, comme les monnaies et trésors, illustrent parfaitement l’importance des échanges commerciaux dans le port antique de MarseilleGrâce aux récentes découvertes archéologiques effectuées à proximité du musée, la topographie du site se dévoile encore un peu plus aujourd'hui. Ainsi, sous les places Jules Verne et Bargemon, ont été découverts d'autres entrepôts, des quais, des appontements, des bateaux, ou encore des thermes, contemporains des Docks encore en place.Le projet de numérisation prévoit 150 objets numérisés d'ici 2013 et un registre d'inventaire.

Le fonds représente l'une des plus belles collections publiques françaises couvrant la période 1900-1960 :- Néo-impressionnisme, fauvisme et premier cubisme- L'entre-deux-guerres- Le surréalisme et Marseille- L'après-guerre et les années 50-60- Les années 70-80 - Les grandes individualités- Collection d'arts graphiquesLe musée a déjà numérisé les notices de plus de 2000 œuvres qu'il reste à compléter par la numérisation de 447 œuvres, du fonds graphique, du documents d'archives et de registres d'inventaires.

Le musée retrace un vaste panorama des civilisations antiques du pourtour de la Méditerranée. Il présente une collection riche et variée des périodes égyptienne, classique et protohistorique. Tout le bassin méditerranéen est ainsi présenté à travers des objets de l’époque, synonymes de l’existence et du prestige passéLa collection égyptienne est la seconde de France, après celle du Louvre. Elle est constituée en grande partie par la collection de Clot-Bey, médecin privé, ami et ambassadeur du vice-roi d'Egypte, Méhémet-Ali. Le visiteur parcourt trois mille ans d'histoire : des sarcophages aux momies, en passant par les statuettes de divinités ou les amulettes. Il découvre l'art, la vie quotidienne, les croyances religieuses et les rites funéraires de l'Egypte ancienneLe Proche Orient constitue la plus petite, mais néanmoins très riche, des collections du musée. Elle évoque les débuts de l'urbanisation (IVe millénaire avant notre ère) et de l'écritureLa Grèce et la Grande Grèce propose un voyage artistique de l’Age du Bronze à la période gréco-romaine, à travers les villes de Cyrène, Naples, Athènes ou DelphesL’Etrurie et Rome est une collection très intéressante de bucchero nero, céramique caractéristique de la civilisation étrusque, et toute une série d'objets en bronze, d’urnes cinéraires et de sculptures et peintures de l’époque romaineLa Provence Celto-Ligure (VIIIe-Ier siècle avant notre ère) retrace le mode de vie, les arts et techniques, la religion et les rites funéraires des communautés villageoises vivant dans la basse Provence à du Fer.

Les archives d'Arles trouvent leur origine dans la création du Consulat en 1131, l'une des plus anciennes institutions communales de Provence. Reflet de la place qu'a tenue la ville au cours des siècles, ce fonds d'archives est particulièrement important à la fois par son ancienneté, son métrage linéaire ( un peu plus de 3 kms linéaires), la continuité des collections et son état de conservation.La Ville conserve notamment 101 registres de délibérations de 1426 à 1920 (séries BB et D), soit environ 37 125 folios. Ces documents, qui retracent l'histoire de la collectivité depuis le Moyen Age, constituent le fonds symboliquement le plus important des Archives communales.

Le fonds Laffage comprend 32 bobines d'une durée totale de 12 heures où le cinéaste amateur Yvon Lorenzini a filmé des paysages, des villages de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur et la ville de Marseille dans les années 50 et 60. Une bobine présente des images de foule dans les rues lors de la Libération de Marseille. Ces films sont montés et pour certains sonorisés avec une musique enregistrée par le cinéaste.

Corpus sonore sur la mémoire orale arménienne dans les quartiers de Marseille, une des villes phares de l’installation de la diaspora au début du XXe siècle, et sur l’ensemble des Bouches-du-Rhône. Il s’agit de recueillir d’une part la mémoire de la diaspora arménienne (transmission de la culture arménienne sur trois générations depuis les années 1920), des quartiers et des populations qui l’ont accueillie et d’autre part, comprendre la construction et la transmission de l’« arménitude ».

De par l'étendue et la spécificité de son territoire, Arles, plus grande commune de France, conserve un fonds de cartes original, relatif au patrimoine naturel, fluvial et maritime. Elle dispose, par ailleurs, d'un ensemble important de plans représentant les monuments et édifices publics ainsi que les aménagements qui permettent de suivre l'évolution urbaine du XVIIème au XXème siècle.Ce fonds présente un intérêt certain apportant une précieuse connaissance du terroir, Camargue et Crau, au cours des siècles. Nombreux sont ceux qui permettent aussi de suivre l'évolution urbaine d'Arles avec des plans généraux de la ville de diverses époques, des plans d'aménagement des places, des jardins publics, de percement ou d'agrandissement des voies etc. Le fonds comprend également des séries de plans pour un bâtiment ou un monument donné, amphithéâtre, théâtre antique, hôtel de ville... Enfin, le fonds comporte des projets qui n'ont parfois jamais été réalisés, ouvrages d'art, ponts etc...

Le fonds Longchamp comprend 91 bobines d'une durée totale de 30 heures de films amateurs et de famille collectées auprès des habitants du quartier marseillais Longchamp.

Cette collection se compose de deux titres de la presse hebdomadaire publiée à Aix-en-Provence de 1837 à 1944:- Mémorial d'Aix (1837-1944)- National d'Aix (1881-1914)

Plans de Marseille

Cartes postales (6 Fi 5718 à 9207)

Listes nominatives des dénombrements de population du département des Bouches-du-Rhône établies aux XIXe et XXe siècles. La numérisation de ces listes permettra de faciliter l’accès d’un vaste public à une des principales sources de la recherche généalogique et de l’histoire démographique et sociale.Ces documents détaillent en effet les noms, prénoms, professions et liens de parenté des personnes habitant à une même adresse et formant un ménage au sens statistique du terme. Au-delà des recherches de généalogie familiale, la source peut nourrir les problématiques d’histoire démographique, économique, sociale ou encore administrative les plus variées.

Le fonds Belle de mai comprend 89 bobines d'une durée totale de 20 heures de films amateurs et de famille collectées auprès des habitants du quartier marseillais de la Belle de mai.

Le service des Archives municipales d'Arles dispose de 23 inventaires dactylographiés de la fin des années 60, représentant 4546 pages, dans lesquelles sont référencées toutes les archives antérieures à la Révolution ; ces inventaires ne comportant pas d'index, les recherches sont cependant longues et difficiles. C'est pourquoi, ces inventaires ont été numérisés et océrisés, facilitant ainsi l'accés aux ressources des archives anciennes de la ville.

Il s'agit des répertoires des paroisses d'Aix depuis 1660, suivi des tables décennales jusqu'en 1902 inclus.

"L'homme de bronze" couvre la période de 1879 à 1947. Il s'agit d'un hebdomadaire paraissant le dimanche, d'un format A2 et comportant 4 pages.Il témoigne de la vie intellectuelle, politique et sociale de la ville d'Arles, et du regard que portent les érudits locaux sur les événements nationaux.Il est la source documentaire principale sur l'histoire arlésienne de la fin XIXe-début du XXe siècle.

Cartes et plans de Martigues

Le fonds Petot comprend 62 bobines d'une durée totale d'environ 10 heures où l'on peut voir des images rares de la région Paca et de Marseille des années 1925 à 1959.

Il s'agit principalement de la numérisation des fonds Aurran, Baltus, Chabal et Frédéric George.- Fonds Aurran : soit 113 photographies prise entre 1870 et 1950 représentant le résultat de deux démarches : celle familiale, et celle d'un photographe amateur, Émile Aurran, conducteur des Ponts et Chaussées puis ingénieur des Travaux publics.-Fonds Baltus : 103 photographies prises entre 1905 et 1925, traduisant l'intérêt artistique de leur auteur Jean Baltus (1880-1946) pour les paysages des Alpilles.- Fonds Chabal : 267 photographies (filmocolor lumière) et 428 diapositives représentant des natures mortes et paysages de l'artiste Claude Chabal (1905-2002).- Fonds F. George : 2730 photographies prises entre 1905 et 1914, concernant pour un quart environ Saint-Rémy-de-Provence, un autre quart Marseille et ses environs, un autre les Alpilles, la Camargue et le reste de la Provence et un dernier concernant d'autres départements ou villes étrangères. L'ensemble constitue un témoignage précieux sur les paysages ruraux, villageois et urbain, mais aussi des événements naturels (chutes de neige, inondations de 1906, tremblement de terre de 1909) et surtout les activités humaines laborieuses et de loisirs. Il s'agit de photographies stéréoscopiques qui peuvent donc être vues en relief.Enfin, quelques photographies isolées du fonds ancien sont numérisées, avec prédominance des portraits dont Charles Gounod, Marius Girard, Marie Gasquet, Charloun prises entre 1860 et 1900.

Interviews avec Mireille Rouard (par Marie-Noëlle Perrin) au sujet de la production du fonds Georges Rouard (Fonds 37-37 Fi).

L'archéologie funéraire a été très significative dans les Bouches-du-Rhône et le Var, départements qui ont été l'objet dans les années 1960 à 1990 de nombreuses fouilles de nécropoles.La politique de la direction des Antiquités de l'époque a favorisé la prise de nombreux clichés de terrain, d'archives ou de mobilier issu des fouilles, suite aux opérations archéologiques autorisées. Ces clichés sont une source inestimable de renseignements pour les chercheurs comme pour le grand public, qu'il convient de sauvegarder et de mettre à disposition de tout un chacun.Cette collection comprend :-Le fonds de négatifs noir et blanc constitué lors de fouilles de nécropoles conduites par Maurice Rouquette sur le territoire du pays d'Arles (Bouches-du-Rhône) entre 1965 et 1980.- le Fonds de diapositives constitué au cours des fouilles conduites lors de fouilles de nécropoles sur le territoire de Fréjus (Var) entre les années 1982 et 1995.

Port-Saint-Louis-du-Rhône est une ville créée ex-nihilo à la fin du 19e siècle à l’embouchure du Grand Rhône pour y installer le port fluvio maritime de Lyon. Le fonds photographique, issu de l’inventaire topographique de la commune, illustre un urbanisme totalement 20e siècle, dont la majeure partie date des années 1970 et suivantes. La partie rurale de la commune, parsemée de mas et de hameaux de cabanons, offre en revanche des paysages naturels encore intacts.

Documents relatifs à la construction et à l'aménagement de l'Hôtel de Ville : il s'agit soit de délibérations (série BB) soit de mandats et comptes de gestions (série CC).

Plans cadastraux de Marseille

Les collections sont issues des Fonds Littéraires Méditerranéens, plus précisément des Archives de la revue "Les cahiers du Sud" données à la Ville de Marseille en 1976.Il s'agit d'une publication initiée par Marcel Pagnol, en 1913, et perpétuée par Jean Ballard jusqu'en 1967. Son contenu intellectuel et artistique est particulièrement riche d'articles et de textes pionniers, de critiques littéraires, et mérite d'être mieux connu. Dans le cadre de ce projet, seuls les numéros des années libres de droits seront numérisés (1914-1940).Périodique noir et blanc, de format A5 environ, constitué d'une dizaine de pages à ses débuts (1914) puis de plus d'une centaine de pages à partir des années 1920. Elle compte environ 12 numéros par an.

D'architecture d'époque Renaissance, le musée des Alpilles propose de découvrir les richesses du patrimoine de la région. La numérisation porte pour l'instant sur le fonds des Beaux-Arts, avec 300 affiches, et sur 150 photographies stéréoscopiques.

Cartes postales de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur de provenances diverses : Fonds de la Société des Excursionnistes Marseillais et Fonds privés (sous-série : 34 Fi).Particularités : cartes postales panoramiques de Marseille. Numérisation de la correspondance au verso.En 2008 le fonds s'est enrichi avec la numérisation de 680 cartes postales originales représentant la ville de Marseille et ses quartiers.

Plans des quartiers de Marseille

Restitution en 3D de de la chapelle Saint Jean, de la cour attenante et des vestiges de la commanderie des Hospitaliers au Fort Saint Jean de Marseille.Ce projet constitue la première phase d'une opération qui vise à réaliser un système d'informations architecturales et archéologiques en 3D sur le Fort Saint Jean afin de présenter au public à l’horizon 2013 (Marseille, capitale européenne de la culture) une innovation majeure dans la capitalisation des travaux historiques et archéologiques et d’aide à la gestion scientifique et technique de l'édifice.

Le fonds de plaques de verre est constitué de 867 plaques de verre faisant partie à la fois de l'inventaire rétrospectif, de legs, de dons ou d'achats récents. Quatre typologies sont représentées : plaques de verre négatives, positives, stéréoscopiques négatives et stéréoscopiques positives. Les sujets représentés sont des paysages et monuments de Provence, des portraits de famille et quelques Arlésiennes en costume traditionnel.

Paroles collectives de citoyens sur des enjeux de lutte contre toutes les formes d'exclusion.Depuis une vingtaine d'années, l'association "Moderniser Sans Exclure SUD" conduit une démarche intitulée "Automédiatisation". Elle utilise le support vidéo pour créer des espaces d'expression et d'écoute avec des citoyens peu ou pas présents dans les débats publics. Les personnes interrogées ont pour la plupart des faibles niveaux de qualification et des statuts divers (salariés, stagiaires, apprentis..).Cette démarche collective a permis une expression de plus de 14000 personnes. 500 films ont été ainsi réalisés.

Les documents issus de l'administration pénitentiaire des Bouches-du-Rhône concernant les établissements pénitentiaires implantés dans les communes d'Aix-en-Provence, Marseille et Tarascon depuis le début du XIXe siècle sont rassemblés dans la sous série 2 Y et dans les versements contemporains 1348 W et 1871 W. Sont concernés les maisons d'arrêt, maisons de dépôt, maisons de justice, maisons de correction, maisons pénitentiaires, maisons pour femmes, maison de sureté, pour les deux sexes.Pour faire face à l'accroissement de la population carcérale enregistrée dans les registres et permettre de retrouver des informations concernant un individu, des états ou répertoires ont été rapidement créés par l'administration. Variables selon les différents types de documents, ils peuvent contenir les informations suivantes : noms et prénoms, numéro d'arrêt, date d'entrée, date de sortie, durée de la peine, destination, etc. Ils permettent également d'accéder à la fiche individuelle du détenu contenue dans les registres d'écrou en relevant le numéro d'écrou (ou matricule) noté dans les répertoires alphabétiques généraux.Ce sont ces tables ou ces outils de recherche qui ont fait l'objet de cette campagne de numérisation.

Le service de la conservation des hypothèques créé à la Révolution a pour mission d'enregistrer l'ensemble des transactions foncières au sein d'un département. Le département des Bouches-du-Rhône est constitué des trois conservations d'Aix-en-Provence (bureau unique), de Marseille (ancien bureau, 1799-1900 ; premier bureau, 1901-1955 et deuxième bureau, 1901-1955) et de Tarascon (bureau unique). Les Archives départementales des Bouches-du-Rhône conservent cette documentation jusqu'à l'année 1955 comprise, date de la réforme de l'administration des hypothèques.Le principe de cette documentation hypothécaire est de regrouper des informations sur le nom des individus ou des sociétés, auquel une case est attribuée dès transmission des actes notariés. La copie de ces actes est accessible dans des registres de transcription .Pour accéder à un acte il faut connaître, le nom, le ou les prénoms du propriétaire (si possible sa date de naissance) et consulter successivement trois types de registres distincts :le registre indicateur de la table alphabétique du répertoire des formalités hypothécaires, la table alphabétique du répertoire des formalités hypothécaires,le répertoire des formalités hypothécaires.

Situé au cœur du Parc naturel régional de Camargue, le Musée est aménagé dans une ancienne bergerie. Il retrace l'évolution des activités humaines dans le delta du Rhône du 19e siècle jusqu’à nos joursLes collections permanentes sont consacrées à la vie dans un Mas au 19e siècle (agriculture, élevage, cueillette, chasse, pêche, vie domestique...) et aux activités économiques qui se sont développées à partir du 20e siècle (aménagements hydrauliques, viticulture, riziculture, production de sel de mer…). Une salle est entièrement dédiée aux Gardians de Camargue.

Le musée présente, dans des salles permanentes, l'histoire de la ville depuis sa fondation jusqu'au XVIIIe siècle, soit 2 400 ans d'histoire :- la rencontre entre Phocéens et Ligures, l'urbanisme, le commerce maritime et les rites funéraires de Massalia- les premiers siècles de la chrétienté (IVème-VIIème siècles)- les ateliers de potiers médiévaux (Sainte-Barbe) et la première faïencerie française du XIIIe siècle- la transformation de la ville sous Louis XIV (construction des forts Saint-Jean et Saint-Nicolas), les projets d'architecture et les réalisations de Pierre Puget, la grande peste de 1720.Le projet a pour but de numériser l'ensemble du fonds graphique, 1215 plaques photographiques, 330 films photographiques, 510 documents d'archives, 15 bobines de microfilms représentant 3500 plans Castel et 3 registres d'inventaires. A cela s'ajoute la numérisation de 4640 objets des collections permanentes et des réserves.

La Bibliothèque Méjanes et les Archives Municipales possèdent une très large collection d'affiches, émanant de l'autorité royale, des cours souveraines (Parlement, Chambre des Comptes), des institutions locales (Ville, Préfecture), de 1715 à la fin du XIXe siècle : lois, édits, déclarations, ordonnances, arrêts, avis et autres placards.La Bibiliothèque Méjanes détient 4000 affiches et placards datant de la période 1715-1856 et les Archives Municipales en détiennent 2000 datant essentiellement du XIXe siècle.Cette collection constitue une source de l'histoire locale.

Fonds rassemblant les films sur l'Histoire de la Ciotat de l'association CRI Mémoire et des Archives Municipales.de la Ciotat a été créée dans le but de recueillir la mémoire des habitants deLa Ciotat et de la préserver, la mettre en valeur et la transmettre. L'association CRI Mémoire réalise chaque année de nouveaux documentaires en vidéo numérique dans le but de recueillir la mémoire des habitants de La Ciotat et de la préserver, la mettre en valeur et la transmettre..Les archives municipales de la Ciotat possèdent un fonds d'archives qui porte notamment sur les chantiers navals de la ville, les lancements de bateaux etc. Ces archives audiovisuelles sont issues du fonds Sciarli.En 2009, 2h de films du fonds des Archives Municipales de la Ciotat sous formes d’extraits des 13 documentaires serons mis en ligne.

Enregistrement : table des décès, absences et successions (1er ensemble traité)

Le fonds rassemble les films de la Cinémathèque de Marseille et de Cinémémoire se rapportant à l'Histoire de Marseille.Cinq films sur la thématique Marseille et sa région sont issus des fonds de la Cinémathèque de Marseille. Un dépôt de films 16mm d’un cinéaste amateur membre actif du club des cinéastes amateurs de Marseille dans les années 40 et 50 est conservé par Cinémémoire.

Ces registres matricules militaires (Sous-série 1 R) permettent de reconstituer les carrières militaires de tout citoyen français de sexe masculin, incorporé dans l'armée durant la Troisième République.Ils comportent les informations suivantes :- état civil et situation professionnelle : nom, prénom, date et lieu de naissance, profession, noms des parents, situation maritale- signalement physique à l'âge de 20 ans : taille, couleur des yeux, des cheveux, etc. - états des services militaires : corps d'affectation, services et mutations, campagnes, citations et blessures (avec les informations médicales afférentes)- adresses des domiciles successivement occupés.Ce fonds comporte également les registres matricules de recrutement militaire pour la période 1872-1921(309 003 pages). Il s'agit des états signalétiques et des services des registres matricules et des feuillets nominatifs de contrôles des conscrits des Bouches-du-Rhône (1872-1921).

Ce fonds photographique est en cours de réalisation dans le cadre d’un programme d’étude topographique du quartier de l’Estaque mené en collaboration avec l’agence d’urbanisme de l’agglomération marseillaise. Le protocole d’étude est centré sur une problématique de chrono-morphologie urbaine et d’échantillonnage de l’architecte urbaine mineure entre 1850 et 1950.

Le Museon Arlaten, musée départemental d'ethnographie, conserve, outre des collections d'objets ethnographiques, des fonds patrimoniaux d'archives et de bibliothèques, ainsi qu'un fonds d'archives sonores contemporaines constituées à partir d'enquêtes ethnographiques commanditées par le Museon.La numérisation du Fonds de L'Aïoli compte 1296 pages de "l'Aïoli", périodique régional, édité entre 1891 et 1899.De plus, ce fonds comprend 755 pages de la correspondance, ainsi que de manuscrits autour de la création de ce périodique, crée par Frédéric Mistral et les Félibres.