Cette collection regroupe :- 800 cartes et plans anciens (1501-1875) des Archives départementales et des dossiers de bâtiments départementaux et communaux du XIXe siècle série N et sous-série 2 0.- 5000 plans cadastraux napoléonien (1808-1840).- 2200 cartes et plans modernes (1810-1920) essentiellement issus de la sous-série 2 0 ("Affaires communales de la préfecture").Ces plans constitués dans les années 1930 représentent des bâtiments communaux au moment de travaux (églises, mairie, école) .

Cartes postales de Lille

Registres matricules de Roncq

Le fonds encyclopédique des 1 500 manuscrits de la bibliothèque de Valenciennes tire son origine des confiscations effectuées durant la Révolution française dans les bibliothèques de l'abbaye de Saint-Armand et dans celle du duc de Croÿ à Condé. Quelques fonds particuliers, comme le fonds Bénézech, Bauchond et Serbat, acquis postérieurement contiennent aussi des manuscrits, la majorité ayant trait à l'histoire de Valenciennes et du Hainaut.La bibliothèque de Valenciennes abrite entre autres un remarquable ensemble de manuscrits, daté du VIIIe siècle et une chronique ecclésiastique d'Eusèbe de Césarée en latin, dans une belle écriture onciale. Les plus célèbres manuscrits valenciennois sont la Cantilène de sainte Eulalie (vers 880), premier poème de la langue française, le "Sermon sur Jonas" (Xe siècle) et la "Musica Enchiriadis" où apparaît pour la première fois, au IXe siècle, la notion de polyphonie.La bibliothèque municipale de Valenciennes a bénéficié en 1999-2000 d'une importante campagne de microfilmage de ses manuscrits médiévaux, dans le cadre de l'accord passé entre la Direction du Livre et de la Lecture et l'Institut de Recherche et d'Histoire des Textes (CNRS). Afin de démultiplier les possibilités de consultation des textes, la bibliothèque de Valenciennes a entrepris dès 1999 de numériser les microfilms dont 250 sont accessibles via Internet début 2003. A terme (2003) tous les manuscrits médiévaux seront ainsi accessibles. Parallèlement le "Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques" (le tome 25 relatif à Valenciennes) est saisi en mode texte.

Fonds du génie de Lille - Collection de plans - Fonds des Voies Navigables - Gravures - Cartes postales et photographies anciennesCaractéristique de la région Nord - Pas-de-Calais, le patrimoine fortifié fait l'objet de nombreuses interventions d'entretien et de restauration mais aussi d'actions d'animation et de mise en valeur. Un programme d'actions pluriannuel soutenu par les institutions et les collectivités territoriales est développé sur les 15 villes fortifiées constituées en réseau au sein de l'association régionale des villes fortifiées.Inscrit dans la dynamique engagée, ce projet consiste à numériser un ensemble de 3000 documents iconographiques sur ce patrimoine. Principalement constitué de plans anciens, dont des plans cotés du XIXe, avant le démantèlement, ce fonds, numérisé permettra une consultation aisée par les équipes communales et les architectes missionnés sur ces sites. Il est porté par les archives départementales en collaboration étroite avec les services du patrimoine de la DRAC, le conseil général du Nord et l'association régionale des villes fortifiées.Sa diffusion sur cédérom est envisagée pour élargir la connaissance des fonds de référence, disposer d'un outil d'aide à la décision en matière de choix et de partis de restauration, favoriser les actions de sensibilisation et d'animation autour de ce patrimoine, intégrer une perspective plus large visant à l'élaboration d'un dossier de candidature des villes du Pré Carré de Vauban pour une inscription sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.

Anne Morgan, fille du banquier américain John Pierpont Morgan, a animé les missions américaines d’aide aux réfugiés dans les régions dévastées de l’Aisne entre 1917 et 1922. Elle est à l’origine du musée franco-américain de Blérancourt, qui conserve certains tirages réalisés pour des expositions de propagande patriotique aux Etats-Unis.Ce fonds conservé aux Archives photographiques montre la vie des régions dévastées et met l’accent sur l’aide américaine.

Ces archives rassemblent pour l’essentiel, la documentation et les brouillons des œuvres de Van der Meersch (une vingtaine d’œuvres publiées), ainsi qu’une dizaine d’œuvres inédites. On y trouve également quelques papiers personnels, correspondance et photographies familiales.C’est la ville de Wasquehal qui est dépositaire du fonds d’archives littéraires et personnelles de Maxence Van der Meersch, ainsi que de ses droits d’auteur.

L'abbé Joseph Lamps (1883-1952) pratiquait la photographie stéréoscopique, capable de restituer la vie, privilégiant les effets de perspective et son souci de traduire l'espace. Botaniste passionné, il conservait les couleurs éclatantes de ses massifs de fleurs sur des autochromes. 2000 photographies ont été numérisées.

Les tirages papier et diapositives entrés par voie ordinaire ou par voie extraordinaire entre la fin du 19e siècle et nos jours sont numérises en interne de manière rétrospective.

Plans cadastraux, plan d'alignement (1819), plans anciens.

La sous-série 7H, "Mesures d'exceptions et faits de guerre 1914-1918", des Archives municipales de Tourcoing regroupe l'ensemble des documents relatifs à la mobilisation, à l'état de siège et l'occupation de la ville durant la Première Guerre mondiale. Ce fonds se caractérise notamment par un corpus de 1090 affiches produites principalement par la Kommandantur de Tourcoing afin de réglementer l'occupation militaire de la ville et la vie quotidienne des habitants.Ces affiches se répartissent de la sorte :- 60 affiches pour l'année 1914,- 314 affiches pour l'année 1915,- 210 affiches pour l'année 1916,- 211 affiches pour l'année 1917,- 240 affiches pour l'année 1918,- 6 affiches pour l'année 1919,- 49 affiches non datées.Parmi ce corpus, une première sélection sera effectuée pour cette première phase de numérisation en 2013 soit environ 250 affiches.

Il s'agit du fonds d'affiches parues à Roubaix entre 1914 et 1918.Le mercredi 14 octobre 1914, le 165e régiment d'infanterie bavaroise entre à Roubaix. Ici, comme ailleurs, on pense que la guerre sera de courte durée, pourtant c'est le début de 4 années et 3 jours d'occupation. Les Allemands se retireront le 17 octobre 1918.Durant ces 4 années, Roubaix sera soumis à un régime militaire très dur. Pour le lieutenant-colonel Hoffman de sombre mémoire, il faut maintenir l'ordre à tout prix et vider la cité industrielle de ce qui fait sa force, piller, démonter, détruire… L'ampleur du désastre sera authentifiée par le Ministre de la Reconstruction, Louis Loucheur, en visite à Roubaix en décembre 1918.Pour le Maire, Jean-Baptiste Lebas, « Roubaix est nu et décharné ». Ce maire qui a manifesté durant toute la guerre un courage remarquable, ne pourra empêcher déportations, famine, chômage…L'occupation allemande à Roubaix pendant la Première guerre mondiale donnera l'occasion à Maxence Van der Meersch, écrivain roubaisien (1907-1951), d'écrire un de ses récits les plus intenses : "Invasion 14". Le roman paru en 1935 manquera d’une voix le prix Goncourt. Prix que Van der Meersch obtiendra l'année suivante pour "L'empreinte du Dieu".Nombreuses sont les traces de ce passé, conservées dans les équipements culturels de la ville : affiches, photographies, cartes postales, manuscrits originaux…Ce fonds apporte une foule de détails instructifs sur les contraintes de la vie des Roubaisiens sous l'occupation allemande.Il viendra rejoindre au sein de la bibliothèque numérique de Roubaix une autre collection d'affiches données en 1990 à la Médiathèque de Roubaix par un collectionneur : Henri Ducourant.

Avec plus de 10.000 objets inscrits, le département du Pas-de-Calais figure comme l'un des plus riches du pays en objets mobiliers juridiquement protégés.895 dossiers communaux sont disponibles représentant 90 arrêtés préfectoraux sur liste référencés par 735 fiches de récolement et autre documentations liés à la conservation de l'objet.

Cartes postales et photographies d'architecture, de plans, de sceaux et de personnages... numérisées dans plusieurs fonds (séries Fi et J).

Le fonds se compose de 500 images (photographies ou reproductions de cartes, de tableaux, d'outils...) représentatives de l'histoire et de l'activité du port de Dunkerque du XVIIe siècle à nos jours. Les thèmes abordés sont les suivants :- le développement du port à travers les siècles,- l'évolution des activités,- les métiers du port.

Le fonds encyclopédique des 1500 manuscrits de la Bibliothèque de Valenciennes tire son origine des confiscations effectuées durant la Révolution française dans la bibliothèque de l'abbaye de Saint-Amand et dans celle du duc de Croÿ à Condé. Quelques fonds particuliers, comme les fonds Bénézech, Bauchond et Serbat, acquis postérieurement contiennent aussi des manuscrits, la majorité ayant trait à l'histoire de Valenciennes et du Hainaut.Environ 400 de ces manuscrits sont des manuscrits médiévaux - 70 datent de l'époque carolingienne - et 300 comportent des enluminures ou des dessins. Près de cinquante manuscrits à peintures illustrent avec éclat l'art de l'enluminure dans les pays du nord de la France, des Evangiles de Saint-Amand (IXe siècle) jusqu'au Miroir d'humilité de Philippe le Bon (XVe siècle). La période la mieux représentée est le XIIe siècle, période d'apogée du scriptorium de l'abbaye de Saint-Amand : les portraits de saint Amand qui ornent les vies du saint, les pages-tapis et les lettres ornées de la Bible de Sawalo, ou encore la crucifixion du sacramentaire attribuée au " Maître Byzantinisant ", sont des chefs d'oeuvre de la peinture médiévale...La Bibliothèque municipale de Valenciennes a bénéficié en 2000-2001 d'une importante campagne de photographie numérique de ses manuscrits médiévaux, dans le cadre de l'accord passé entre la Direction du Livre et de la Lecture et l'Institut de Recherche et d'Histoire des Textes (CN.R.S.).

Désigné sous le nom de registre LL, ce registre contient les bans échevinaux jusqu'à la première moitié du 13e siècle, 79 pages, parchemin, reliure de bois recouvert de veau avec clous en cuivre et fermoirs, coté AA 91

Cette collection se compose des numéros de la « Feuille de Saint-Omer » du 7 novembre 1807 au 10 juillet 1830. Ce bihebdomadaire puis hebdomadaire, local est une de ces « feuilles d'Affiches, Annonces et Avis divers » qui se développent sous l'Empire et répondent d'abord strictement à la définition du décret impérial du 26 sept. 1811, qui déclare notamment « qu'elles ne peuvent renfermer que des annonces et avis divers » tandis que « la partie politique et la littérature ne peuvent y être traités ». La feuille de Saint-Omer parait pour la première fois le 7 novembre 1807, elle est diffusée pendant un an à l'échelle du département mais devient rapidement uniquement local.L’intérêt tout particulier de cette presse est d’avoir relayé dans l’arrondissement les actes du gouvernement et les arrêtés préfectoraux. On y trouve donc mention des ventes publiques, des avis relatifs au fonctionnement des institutions publiques locales, des avis de décès, ainsi que des publications plus pittoresques qui témoignent à leur échelle de l’activité intellectuelle local tels ces poèmes d’auteurs de la région régulièrement publiés dans la « Feuille », ou encore des annonces descriptives de festivités locales. Le contenu de ce petit journal en fait un témoin important de la vie audomaroise et régionale qui permet, outre de renseigner des évènements dont il est le seul à conserver le souvenir et d’en confirmer certains par croisement d’informations. Ce qui rend sa numérisation du plus profitable tant à l’usage des curieux d’histoire locale qu’aux historiens à la recherche de sources corroboratives.

Les dossiers de l'Inventaire présentent une documentation hiérarchisée et complète sur le patrimoine architectural et mobilier : textes (analyse historique, description, bibliographie, sources d'archives), documents graphiques et photographiques, plans... Ces dossiers concernent des inventaires topographiques ou thématiques. Ils sont indexés par une notice synthétique dans les bases Mérimée (architecture) ou Palissy (objets mobiliers). Leur version papier est consultable dans l'établissement de conservation.Pour la région Nord-Pas-de-Calais sont numérisés ou en cours de numérisation :- Inventaire du patrimoine industriel de l'arrondissement de Saint-Omer : 211 dossiers ; 3060 pages - numérisé- Inventaire de l'architecture du 20è s. du Val-de-Sambre : 120 dossiers ; 1700 images - numérisé- Inventaire des objets mobiliers de la ville de Lille : 460 dossiers ; 2000 pages - numérisé- Inventaire du patrimoine de la communauté de commune du Bavaisis : 150 dossiers ; 2000 images - numérisé

Le fonds des « cartons et portefeuilles » de la Bibliothèque municipale de Lille comprend des collections iconographiques et photographiques de diverses provenances : cartes géographiques et topographiques, cartes administratives, routières et fluviales, gravures, images pieuses, affiches, plans urbains, cadastraux et militaires, faire-part, diplômes, esquisses, croquis, dessins, cartes de visite, abécédaires, menus, programmes, calendriers, coupures de presse, photographies, vues panoramiques et portraits. Les plus anciens documents datent du XVIIe siècle. La plupart des documents concernent Lille et ses principaux monuments, la région lilloise ou le nord de la France, soit le Nord Pas-de-Calais d’une façon générale. Quelques documents se rapportent à la Picardie ou à la Belgique.

Registres d'état civil de moins de 100 ans de Roncq (137 registres) et tables décennales 1893-1902.

Le fonds des manuscrits (250 datent du Moyen-Age) de la bibliothèque de Lille, héritage d'établissements religieux pillés à maintes reprises par "les hérétiques et les armées", selon la plainte d'Ignace Delfosse, historien de l'abbaye de Loos, conserve, malgré ces aventures, quelques pièces remarquables. Le Ministère de la Culture et de la Communication a numérisé pour l'instant 13 manuscrits enluminés de la bibliothèque dans le cadre de la campagne de numérisation.Il convient de citer l'"Evangéliaire de Cysoing", manuscrit du XIIe siècle, aux grandes miniatures vivement colorées, dans le style de l'école de Winchester.Dans la collection de la bibliothèque de la collégiale Saint-Pierre, quelques manuscrits du XVe siècle proviennent de Jean de Lannoy, chevalier de la Toison d'or, conseiller du duc de Bourgogne. Il faut citer un missel franciscain, mais surtout "La vie de Gayus Julius Cesar", dont les miniatures en grisaille donnent aux nombreuses scènes de batailles un étrange aspect crépusculaire et fantastique.Le manuscrit de l'"Histoire des amours du Chastellain de Coucy et de la Dame de Fayel", suivi de "Histoire de Gilles de Chin" est aussi remarquable, par la vivacité et la fraîcheur de ses aquarelles. Cet ouvrage aurait été réalisé pour le seigneur de Wavrin, il provient du fonds Godefroy.

Dans le cadre du travail scientifique sur les inventaires des collections des musées du Nord-Pas-de-Calais entamé par l'association en 1975, le projet « feuille à feuille » sur les estampes a vu le jour.Le but de ce projet est d'inventorier la totalité des estampes conservées dans les musées de la région, d'informatiser et de numériser ces collections afin de les présenter dans une base de données et 6 expositions virtuelles. Cette base et ces développements Internet seront présentés lors de 12 expositions d'estampes prévues dans les musées de la région. La première s'ouvrira au public fin 2006 et la douzième fin 2007.

L’arrondissement choisi permet d’illustrer les caractéristiques spécifiques du patrimoine industriel en milieu urbain. Le travail de recensement, actuellement à mi-parcours, permet de dresser une typologie des industries dans la région, en particulier celles liées au textile.

Registres d'état civil d'Hazebrouck, registres de catholicité

Les séries anciennes (antérieures à 1789) des archives départementales recèlent de nombreux plans dressés à l'initiative de l'administration royale (Intendance), des seigneurs ou des établissements religieux.On distingue plusieurs séries :- Série C, Intendance de Soissons : plans relatifs aux travaux de réparation des églises paroissiales. L'intérêt documentaire de ces plans est indéniable dans un département où les édifices concernés ont rarement traversé indemnes l'épreuve de la première guerre mondiale ;- Série C, Intendance de Soissons : plans relatifs aux travaux d'aménagement de routes et de ponts, aux traversées de villages. Il s'agit de plans des ingénieurs des Ponts et Chaussées, souvent minutieusement aquarellés, qui instruisent autant sur le tracé de la route et les travaux entrepris dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle pour l'amélioration du réseau routier que sur son environnement : cultures, forêts, fermes, moulins, voies d'eaux, chemins. Les traversées de village et plans d'alignement peuvent passer pour les premiers "documents d'urbanisme" en notre possession ;- Série H, clergé régulier et série G, clergé régulier : nombreux sont les établissements religieux qui ont fait réaliser, à la fin du XVIIe siècle ou au cours du XVIIIe siècle un recensement de leurs droits fonciers (rentes, cens, champart) appelés terriers. Certains de ces documents sont complétés d'un atlas représentant les parcelles sur lesquelles portent ces droits et des possessions directes de l'abbaye. On trouve aussi des plans de bâtiments ;- Série E, titres de familles : atlas terrier de seigneuries ;- Série J, documents entrés par voie extraordinaire : quelques plans.Le programme de numérisation 2003 a numérisé les plans des séries anciennes d'un format supérieur ou égal à A0.

Des études ont été menées sous forme de commandes particulières (Le Touquet-Paris-Plage, Côte d'Opale : contrats d'études réalisés entre 1994 et 1995) ou d'enquêtes d'inventaire : commune de Dunkerque (Malo-les-Bains), canton de Samer (Neufchâtel-Hardelot), Boulogne-sur-Mer périphérie (Wimereux), et canton de Montreuil (Berck plage). Ces travaux ont donné lieu à une couverture photographique de l'ensemble du littoral du Nord-Pas-de-Calais depuis Dunkerque jusqu'à Berck, permettant d'appréhender l'évolution de formes architecturales depuis la création des premières stations balnéaires jusqu'aux années 50, et de découvrir des architectes aux caractéristiques bien précises.Les nombreux phototypes réalisés lors de ces études, noir & blanc et ektachromes couleur, proposent, sous la forme de CD Photo, une sorte d'itinéraire virtuel du patrimoine balnéaire de la région, dont la connaissance et la reconnaissance sont d' ampleur nationale.

Première ville à avoir été classée ville d’art et d’histoire dans la région, Boulogne-sur-Mer offre un large panorama de l’architecture depuis l’époque médiévale jusqu’au XXe siècle. Le château et la ville haute, contenue dans son enceinte médiévale, ont conservé des témoignages importants du passé prestigieux de la ville. La plupart des maisons construites sur l’emplacement de l’ancienne ville médiévale datent du XVIIIe siècle. Hors les murs, la ville offre surtout une architecture du XIXème siècle et une vaste zone de reconstruction consécutive à la seconde guerre mondiale, incluant un quartier spécifique dévolu à l’activité portuaire (Capécure).

Le canton de Samer fournit l'occasion de mettre en mémoire les éléments les plus remarquables et les plus significatifs d'un secteur du Boulonnais exceptionnellement riche en patrimoine rural (fermes, manoirs), et de préserver une documentation photographique rassemblée depuis une quinzaine d'années.

Cartes postales et photographies de Douai, du fonds Ravet, coté 19Fi

Constitué de registres d’ordres de réquisition et de copies de courriers des services municipaux, mais aussi de plaquettes et de monographies touchant à différents aspects locaux de l’occupation et du conflit armé, le fonds numérisé montre l’impact dans le quotidien des Roubaisiens et nordistes des prescriptions des affiches parues pendant la période 1914-1918.Le fonds est composé des documents issus des Archives municipales (pôle Archives de l’établissement Médiathèque et Archives de Roubaix) :- registre des réquisitions d’étoffes destinées à la fabrication de sacs pour l’armée allemande, réalisées par la Ville par ordre de l’Autorité militaire allemande (2 juillet 1915 – 24 juillet 1915)1. Article coté IV H pcl 17 - 6 registres rassemblant des copies de lettres produites par l’administration municipale pendant l’occupation allemande (23 février 1915 – janvier 19192) soit 3000 vues. Articles cotés IV H pcm 18 à IV H pcm 23Le fonds comporte également des documents issus de la Médiathèque (pôle Patrimoine de l’établissement Médiathèque et Archives de Roubaix) :- Corpus de 23 monographies d’objet local (Roubaix, Roubaisis, métropole) voire national, illustrées ou non, bilingues parfois, portant sur différents aspects de l’occupation et du conflit.

Registres des délibérations du conseil municipal de Valenciennes

- Cadastres napoléonien des communes d'Annappes (1816), Ascq (1825) et Flers (1825).- Plans révisés des communes d'Annappes, Ascq et Flers (1890)Les communes d'Annappes, Ascq et Flers ont fusionné le 25 février 1970, pour donner naissance à la commune de Villeneuve d'Ascq.

L’étude de la ville de Tourcoing a été reprise à partir de celle menée entre 1984 et 1986. Elle répond à des préoccupations en matière de gestion urbaine et se poursuit parallélement à l’étude de définition d’une ZPPAUP.La présentation de la ville de Tourcoing, organisée sur le principe de séquences urbaines, est d'autant plus précieuse et indispensable que son évolution s'oriente vers une restructuration. Les très nombreux clichés réalisés lors de son étude donnent un aperçu des éléments structurants et de la physionomie des quartiers d'une ville où la présence industrielle est importante.Le développement des cartes sensibles (même principe que l'hypertexte) pourrait permettre, à partir des photographies numérisées, de réaliser un cédérom ou un produit du même type par lequel les cartes, cadastres et plans, joueraient le rôle de support à la compréhension de l'organisation de la ville de Tourcoing. Les phototypes leur seraient associés pour préciser, en élévation, la présence de tel ou tel élément architectural.

Œuvre de la photographe professionnelle et artiste Adeline Debaene-Kiesecoms (1904-1986).La valeur documentaire sur la période et la qualité de la photographie ont motivé l'entrée du fonds en collection publique dunkerquoise. Il est composé de rouleaux de portraits et vues de commande ainsi que de reportage et de création.Environ 500 rouleaux en bon état de conservation et contenant quelques 15000 vues couvrant la société du Nord et particulièrement dunkerquoise des années 1940 à 1957.

Membre de l'association des Amis du Vieux Havre dès sa fondation en 1921, Georges Priem en devient secrétaire général en 1931 et président en 1953. Siégeant au sein de la plupart des commissions départementales du patrimoine (Commission des Antiquités, Comité de l'Inventaire Général, Commission des sites, Commission des Objets mobiliers), Georges Priem œuvra, du début du XXe siècle jusqu'à la fin de sa vie en 1980, pour la préservation du patrimoine havrais (avec pour exemple un projet de réhabilitation des grilles et impostes sauvées des bombardements, ainsi que des projets muséographiques pour la ville du Havre dès la fin de la seconde guerre mondiale).Le fonds Priem est constitué de près de 15 000 clichés. Le fonds concerne pour une partie la ville du Havre et la Haute-Normandie, mais aussi d'autres régions françaises (Bretagne, Nord, PACA, etc.), la Belgique, l'Italie et l'Afrique du Nord. Passionné d'architecture, Georges Priem s'est attaché à répertorier le patrimoine haut-normand à travers ses photographies. A ce fonds iconographique s'ajoute quatre carnets d'inventaire et de nombreuses fiches rédigés de la main de Georges Priem, reprenant les informations concernant ses différents voyages (un carnet porte notamment sur son voyage en Italie, détaillant de manière très précise les lieux de visite, les distances, les clichés pris et d'autres informations).

La numérisation a porté sur le fonds photographique ainsi que sur le fonds de l'artothèque du centre régional de la photographie Nord-Pas-de-Calais, en vue de la mise en place d'une base de données.Le fonds se compose majoritairement de pièces contemporaines, représentatives de la création actuelle tant en France qu'à l'étranger. Les thèmes principaux sont : le territoire de la région Nord-Pas-de-Calais, le cinéma, le portrait, la photographie contemporaine polonaise, l'expressionnisme, le réalisme poétique ou la couleur.

Tables décennales de l'Etat civil de 1903-1913

Plaques de verre, 1930

L'opération porte sur la documentation iconographique sur 300 monuments historiques classés, soit plus de 2000 images. L'importance des collections est variable suivant les immeubles classés concernés, mais il est à noter l'intérêt documentaire des fonds notamment sur les édifices ou ensembles ayant subi des dommages aux cours des guerres de 14-18 et 39-45. Une fois ce fond numérique constitué, il se verra alimenté au fil des interventions (études, travaux). Il sera procédé de la même façon pour ce qui concerne le patrimoine inscrit au titre des MH au cours des prochains exercices. Cette opération qui engage les trois services patrimoniaux de la DRAC (archéologie, inventaire, monuments historiques) a pour but, outre la diffusion sur Internet, de réaliser un pôle documentaire commun autour de la documentation scientifique constituée par ces services. L'indexation commune des documents (fonds d'état exclusivement au niveau iconographique), est un préalable acquis. Ainsi, les images et notices numérisées seront également mises à la disposition du public au sein du nouveau centre de documentation du patrimoine dont l'ouverture est prévue fin 1999 dans le cadre des travaux d'agrandissement des locaux de la DRAC.

Les registres de naissances, de mariages et de décès de la commune de Douai ont été numérisés en niveau de gris : jusqu'en 1920 pour les naissances, 1933 pour les mariages et 2000 pour les décès. Ils ne sont consultables en ligne que jusqu'en 1891 pour les naissances et 1911 pour les mariages et décès.

Registre des privilèges et actes constitutifs de la ville de Gravelines 1415-1780 (AA3)

Dunkerque fut pendant la guerre 1914-1918 un lieu de cantonnement pour des troupes belges et britanniques ainsi que la cible de bombardements.Albert Chatelle, mort en 1973, fut conservateur-adjoint du musée de la marine et membre de l'Académie de marine. Il s'est consacré à l'histoire de la marine et à celle des villes côtières de nord de la France, Boulogne-sur-Mer, Calais et Dunkerque en particulier. Les photographies ont été collectées par l'auteur auprès de particuliers dunkerquois et de personnalités diverses pour illustrer son ouvrage sur Dunkerque pendant les deux guerres mondiales.Le fonds Albert Chatelle fournit une documentation abondante sur ces divers aspects et sur la vie quotidienne des habitants d'une cité située à l'arrière du front.

Le fonds conservé aux archives photographiques totalise 3 000 clichés répartis en trois grands ensembles :• Un panorama de la France à travers des vues de villes et villages, de monuments importants, de scènes traditionnelles, de types humains et de petits métiers.• Quelques reportages ou grandes séries cohérentes : "la vie des marins (Toulon)", "la fête foraine", "les pompiers de Paris", "les inondations de 1910", "la fête des fleurs à Neuilly",...• La commande faite par l'agence International Kinema Research d'Hollywood qui avait chargé Seeberger de constituer une documentation photographique destinée à servir de base à la réalisation de décors typiquement français : cafés parisiens, théâtres, magasins, restaurants, lieux et figures typiques.

Le fonds ancien (103 manuscrits) de la bibliothèque de Douai provient pour l'essentiel des confiscations révolutionnaires faites aux communautés religieuses (abbaye de Marchiennes et d'Anchin) et aux émigrés de la région. Dons, legs, achats ont progressivement augmenté le fonds. Le Ministère de la Culture et de la Communication a numérisé pour l'instant 44 manuscrits enluminés de la bibliothèque dans le cadre de la campagne de numérisation.Des manuscrits médiévaux proviennent de l'abbaye bénédictine de Marchiennes. Citons un évangéliaire carolingien avec des canons décorés d'ornements géométriques. Le manuscrit 489 du XIe siècle contient différents offices, une vie de sainte Eusebie, une autre de sa mère, sainte Rictrude (ses enfants et elle sont représentés dans une curieuse miniature). Nous devons citer, les " Moralia de Job " (XIIe siècle) qui ont deux grandes miniatures et de belles initiales à enroulement.A côté de textes liturgiques, scripturaires ou théologiques, nous trouvons des textes profanes. Ainsi le " De natura animalium, appelé parfois le Bestiaire de Douai, qui appartenait à Marchiennes a des illustration proches de l'école anglaise du XIIIe siècle.Nous pouvons encore citer parmi les ouvrages les plus remarquables du fonds, le "Speculum cariatis" d'Aelred de Rielvaux de l'abbaye d'Anchin du XIIe siècle, un curieux "Laudibus sancte Crucis" de Raban Maur (copié au XIIe siècle).

Cartes postales sur Dunkerque datant des XIXe-XXe siècles.

Les musées du Nord-Pas-de-Calais possèdent des fonds de dessins d'une grande richesse souvent peu connus du grand public du fait de la difficulté de présentation de ces oeuvres très fragiles. La numérisation en 2009 de 300 dessins issus des collections des musées de Cambrai et de Valenciennes vient compléter la numérisation des dessins du musée de Bergues, donnant à voir un belle sélection de dessins essentiellement de l'école française, mais aussi des dessins d'architectes ou du sculpteur valenciennois Jean-Baptiste Carpeaux. Il seront progressivement accessibles à un large public via des expositions virtuelles sur le site Musenor et sur le site Joconde de la Direction des musées de France.

Les registres de dénombrement sont conservés dans la série 1F (population et statistiques). Ils couvrent la période 1791-1926. Ces listes nominatives se découpent en 4 sections jusqu'en l'an XIV puis par canton. Chaque section ou canton correspondant à un registre. Ce projet concerne 106 registres.

Plan gravé de Martin le Bourgeois daté de 1627 comprenant : 12 vues périphériques des collèges et séminaires de l'université de Douai fondée en 1562 ; une vue de profil de la ville de Douai ; un plan en perspective. 880 x 770 mm, coté 1 Fi 116.

Cette collection vient compléter la série des registres de délibérations municipales, par celle des registres de délibérations du Magistrat et des Notables seuls. Soit 22 registres couvrant la période allant du 6 avril 1448 au 11 janvier 1788.

Une grande partie des 1032 manuscrits de la bibliothèque d'Arras provient de l'abbaye Saint-Vaast, mais aussi de diverses communautés religieuses de la région comme l'ancienne abbaye de Mont-saint-Eloi ou de la cathédrale d'Arras.47 manuscrits enluminés sont numérisés, dans le cadre de la campagne de numérisation menée par le Ministère de la Culture et de la Communication, 1566 vues d'enluminures vont pouvoir être consultables à distance.Les manuscrits remontent pour le plus ancien au VIIIe siècle allant jusqu'au XVIe siècle. Nous trouvons ainsi les décisions du concile aux lettres capitales ornées de style mérovingien du VIIIe siècle. Il faut mentionner ensuite l'évangéliaire de Saint-Vaast du IXe siècle, richement décoré à la mode mérovingienne, de même que la grande Bible en trois volumes dite "Bible de Saint-Vaast" (XIe siècle), des pages entières sont décorées dans un style carolingien mais fortement influencé par les manuscrits anglo-saxons.La bibliothèque possède également, avec le "Chansonnier d'Arras", un témoignage éminent de la vie littéraire en Artois au milieu du Moyen-Age (1278), avec un portrait du trouvère arrageois Adam de la Halle ainsi que les textes et partitions de ses chansons.On peut enfin citer pour le plus remarquable, le Recueil de portraits qui contient 280 portraits au crayon ou à la sanguine, des membres de familles royales et nobles d'Europe, ainsi que certaines grandes figures du XVIe siècle.

Cette collection se compose de 22 manuscrits, dont 18 du Maître du Zacharie de Besançon (XIIIe siècle) et trois des Chroniques de Saint-Bertin (XVe siècle), ainsi que du "Rouleau de l'Aa", document cartographique de la fin du XVe siècle.Le Maître du Zacharie de Besançon est un enlumineur du scriptorium de l’abbaye de Saint-Bertin, actif entre la fin du XIIe siècle et le début du XIIIe siècle. Le style de ses lettres historiées ou ornées, finement dessinées à l’encre brune, a connu une grande fortune si l’on en juge par le nombre de manuscrits conservés.Les chroniques de Saint-Bertin sont des chroniques illustrées, dont la valeur pour l’histoire de l’art est en outre renforcée par leur contenu relatif à l’histoire locale. Le manuscrit 749 est une copie de la "Chronica abbatum Sancti-Bertini" réalisée entre 1475 et 1499. Il comprend, à la suite de la Chronique des abbés, une copie du mémoire de Jean d'Auffai de Béthune, relatif aux droits de la Marie de Bourgogne, sur les comtés de Flandres et d'Artois, des plus intéressants pour l’histoire locale.Le "Rouleau de l’Aa" est un dessin à la plume aquarellé sur un rouleau de papier (récemment marouflé sur toile), de plus de trois mètres de long, figurant le cours de la rivière Aa depuis l'abbaye de Saint-Bertin jusqu'au pont de Gondardenne. Il a été réalisé à la fin du XVe siècle, probablement pour servir de document de travail ou de preuve dans le cadre d’une affaire juridique. La perte des pièces annexes ne permet plus aujourd’hui d’en déterminer la destination avec précision, mais il n’en reste pas moins un document rare et intéressant pour la connaissance de l’urbanisation des faubourgs de Saint-Omer, et tout particulièrement en ce qui concerne l’implantation des moulins à eaux de la région.

Environ 100 000 photographies prises par Jeanne Devos (1902-1989), photographe professionnelle de Wormhout de 1952 à 1979. Le fonds comporte de nombreux portraits et des cérémonies qui témoignent de sa vie professionnelle. De très nombreuses vues de villages et de scènes de vie démontrent son attachement à la Flandre et à ses habitants, durant la deuxième moitié du XXe siècle.

Le fonds est composé de 198 épreuves photographiques sur le thème de la première guerre mondiale, représentant champs de batailles, ruines, soldats, défilés, personnalités des grandes villes du Nord-Pas-de-Calais et de Picardie, en particulier des fronts autour d’Arras (collines d’Artois) et de la Somme. Elles constituent donc une source iconographique de grande valeur documentaire. (Côte : PL-ST 1 à 198)

L’étude de l’architecture hospitalière s’inscrit dans une perspective européenne. Un groupe de travail rassemblant sept pays européens est actuellement en cours de constitution, à l’initiative de la Direction du Patrimoine et de la Logistique de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (cf. sur ce sujet, le colloque "Re-use of historic hospitals. Health Heritage", 23-24 may 2000, The Lawn, Lincoln). Un chercheur de l’équipe, spécialiste du domaine, a par ailleurs été chargé du récolement des informations pour l’ensemble du territoire national. Notre région offre en outre, sur un territoire relativement restreint, une typologie complète de l’architecture hospitalière caractérisée par des édifices majeurs, tels l’Hospice Comtesse pour le Moyen Âge ou, pour l’époque contemporaine, le CHR de Lille, qui est l’un des plus grands édifices hospitaliers au monde bâtis dans les années 30. C’est dire le caractère exemplaire que pourrait représenter un tel corpus.

Registres d'état civil de Wattrelos

Nordnum propose plusieurs centaines d'ouvrages du XIXe siècle, qui traitent de l'histoire du nord de la France et de son histoire industrielle.La bibliothèque universitaire centrale de l'Université Charles de Gaulle Lille3 mène actuellement en partenariat avec le Centre de recherche en Histoire sur l'Europe du Nord-Ouest (CRHEN-O-Lille 3) dans le cadre du Service Commun de la Documentation une politique de numérisation de son patrimoine écrit.Ces deux composantes de l'université se sont associées pour le mettre en valeur et le faire connaître au plus grand nombre.Le fonds ainsi numérisé atteint désormais une centaine de titres, avec un accroissement de 20 titres par mois.Les grands thèmes abordés sont :- histoire de l'industrie minière et textile- monographies locales des villes du nord de la France- monographies sur les grands établissements religieux régionaux et éditions de cartulaires- travaux sur le franchissement de la Manche.Ces ouvrages sont accessibles (aux formats TIFF, PNG et PDF) et téléchargeables (au format PDF). Un moteur de recherche interne permet d'interroger tous les champs de la notice bibliographique des titres en ligne et d'affiner ainsi la sélection.Des index et tables des matières actifs permettent de naviguer aisément dans le document et d'atteindre en un seul clic le passage recherché. Tous les ouvrages numérisés dans NordNum sont accessibles via le SUDOC.

Cinématographe et photographe d'origine tunisienne, a travaillé pendant le conflit de 1914-1918, comme opérateur de l'armée (code armée L).Les 52 autochromes d’Albert Samama-Chikli, montrant la vie des troupes tunisiennes, le front et les tranchées, les personnalités militaires et diplomatiques sont numérisés. Plusieurs centaines de tirages sur papier noir et blanc de la série L et de ses sous-séries (LO, LM) « fonds Guerre », conservés aux Archives photographiques, sont en cours de traitement.

A l’image du « Bulletin de Lille », « Le Bulletin de Roubaix », publié par la ville sous contrôle allemand, est une feuille petit format imprimée recto-verso, composée d’une double page, et qui paraît deux fois par semaine à partir du 20 décembre 1916. Tout comme son homologue lillois, ses finalités sont essentiellement pratiques et informatives et il présente aussi bien des informations officielles et des ordonnances allemandes que des annonces commerciales, l’état-civil, des conseils d’hygiène et d’alimentation ou des poèmes. Cette publication est un témoignage de premier ordre sur la vie quotidienne en zone occupée. (source : Philippe Nivet. "La France occupée". A. Colin, 2011)

Parmi un florilège de sceaux du XIIe au XVIIIe siècle, provenant des fonds ecclésiastiques conservés aux archives de la Somme, figurent évêques d’Amiens, seigneurs, maires et échevins, sièges de justice d’Ancien Régime .Intégrés dans la base de consultation du public, les images numérisées des sceaux seront intégrées peu à peu dans la base scientifique en cours d’élaboration.

Registres des délibérations municipales de Roncq

Evoquée dès 1891, la construction d'un deuxième hôpital à Roubaix – le premier, l'Hôtel Dieu, étant devenu trop petit pour desservir les quelques 190 000 habitants de Roubaix et des communes avoisinantes – devient effective après le lancement d'une souscription publique par le maire Eugène Motte en 1902. La première pierre sera posée en 1903 et l'hôpital inauguré en 1907. Il sera baptisé "hôpital de la Fraternité" en remerciement de la générosité de la population roubaisienne.Les plans sont conformes aux conceptions sanitaires de l'époque, qui préconisent la construction de pavillons séparés afin d'isoler la maladie et de réduire les risques de contamination.L'entreprise sera confiée d'abord à l'architecte municipal, Théophile Coliez, assisté d'Hyppolite Portevin, ingénieur en installations mécaniques et sanitaires.L'hôpital sera agrandi dès 1911 et de nouveaux pavillons viendront compléter l'ensemble : les pavillons de la médecine, de la chirurgie, des aliénés, des tuberculeux, des convalescents… l'hôpital ira jusqu'à compter 23 pavillons. On doit la conception des derniers pavillons à l'architecte roubaisien Pierre Neveux (1902-1972).Parmi ces pavillons reliés entre eux par une galerie souterraine équipée de rails et de wagonnets, 9 étaient dévolus à l'administration et aux services généraux, les autres étaient affectés aux malades.A l'extérieur, les pavillons étaient séparés par des cours plantées d'arbustes et servaient de jardins aux malades. Depuis 1984, quelques services ont été transférés et certains pavillons détruits.Le fonds est composé de différentes représentations techniques des bâtiments (dessins, plans, vues en coupe, élévations, documents aquarellés …). On dénombre environ 350 documents.

Jules Watteeuw, surnommé Le Broutteux, célèbre chansonnier patoisant tourquennois, rédigea 27 « Armenaques » de 1888 à 1919, qu’il se chargea de publier lui-même. Pour la période 1914-1918, seule l’année 1914 fut réalisée (213 pages, soit 110 vues numérisées). La publication reprit en 1919.Dans chacun de ces livres de format poche (110 x 162 mm) et comportant en général 210 pages, l’auteur intègre un calendrier de l’année. Au bas de chaque mois sont indiqués de vieux dictions tourquennois ou des souvenirs, intitulés « Souvenances du temps passé ». On y trouve également l’évocation des foires, ducasses et autres festivités prévues. Enfin des histoires en patois, parfois une chanson ou un article historique complètent l’almanach. Ces éditions sont particulièrement représentatives de la vie locale tourquennoise tant par le contenu que par la langue employée. (source : Chroniques tourquennoises : tome 4, le Tourcoing de Jules Watteeuw. 1987)

Contrats de mariage chirographes douaisiens, 1296-1520.

Registres d'état-civil des communes de l'arrondissement de Dunkerque (Nord)

Dénombrement de la population de Dunkerque en 1772

Photographies de Lille

Auteur d'une série de photographies sur l'architecture religieuse et civile en France, principalement ceux de Picardie et de Normandie. Membre de la Société des antiquaires de Picardie, de la Société d'émulation d'Abbeville, depuis 1914, il fait partie du Conseil d'administration de la Société française d'archéologie. En 1930, il devient inspecteur divisionnaire pour la Picardie, la Flandre et l'Artois.Le fonds conservé aux Archives photographiques est un dépôt de la Société française d'archéologie. Il totalise plus de 3600 négatifs.

La bibliothèque municipale de Lille possède une importante collection de périodiques qui compte 12 000 titres répertoriés à ce jour. Parmi ceux-ci des centaines de titres rares qui témoignent de la vitalité de l’activité journalistique dans le Nord depuis le 18e siècle.Une première opération consiste à numériser et à mettre en ligne des collections représentatives fragiles et très consultées : « Le Nord illustré », « La Flandre illustrée » et une sélection d’almanachs lillois et de la région du Nord.Une deuxième opération se concentre sur l’activité de la presse satirique et socialiste lilloise de la fin du XIXe siècle : « Le Barbier de Lille », « Le Barbier Maës », « Le Forçat », « Le Diable rose », « Le Vrai lillois »… Ces journaux bénéficient d’une iconographie très riche : caricatures, scènes drolatiques et images populaires, en noir et blanc et en couleurs.

L'écomusée de l'avesnois possède dans ses collections un important fonds photographique et de cartes postales, traitant de thématiques aussi diverses que le patrimoine bâti, la vie sociale, ou l'industrie locale, sur des supports variés (plaques de verres, tirages papier, montage sur albums…).

Journal local "L'Autorité" de Dunkerque, 1880-1940

Ville portuaire vouée au commerce et à la construction navale, Dunkerque peut être considérée comme un "laboratoire de la reconstruction". Détruite à 72% durant la seconde guerre mondiale, la ville reconstruite présente aujourd’hui un plan d’ensemble cohérent, tout en offrant une variété de styles architecturaux par quartiers. Par ailleurs, un fonds d’archives exceptionnellement bien documenté a permis de reconstruire une image de la ville avant 1940 et a rendu possible l’établissement de dossiers d’inventaire complets. Les 28% de la ville qui ont échappé à la destruction constituent un témoignage intéressant, mais encore méconnu, de l’architecture des XVIIIe et XIXe siècles.

Les collections du musée sont informatisées à 75%. Certaines pièces ont fait l'objet d'un ajout récent, grâce à l'association des conservateurs des musées du Nord de la France (Musenor). Ces objets et oeuvres possèdent désormais un cliché numérique. L'action doit être poursuivie dans les années à venir.

A partir des cinq établissements de fabrication de céramique situés à Desvres (Pas-de-Calais), il s'agit de faire connaître les usines, les matériels, les modes de fabrication du carreau de faïence et leur mise en valeur par le décor architectural.Par là-même, il s'agit de révéler 150 ans d'art et d'industrie du carreau de Desvres, riche par la diversité de son iconographie et important par son rayonnement en région, voire même hors-région.La réalisation de ce produit laisse espérer sa mise en valeur concertée dans le cadre d'une valorisation de l'ensemble des sites de production céramique français.

L’arrondissement choisi permet d’illustrer les caractéristiques spécifiques du patrimoine industriel en milieu rural. Le travail de recensement, totalement achevé, permet de mettre en évidence des typologies, concernant en particulier les papeteries, les brasseries et les séchoirs à chicorée. Le patrimoine industriel d’Aire-sur-la-Lys a donné lieu à une publication dans la collection "Images du patrimoine".

Registres paroissiaux et d'état civil de Maubeuge

Dans le cadre de l'établissement du catalogue informatisé des sceaux conservés aux Archives municipales de Douai, 260 sceaux entre 1163 et 1337 provenant des fonds de la commune, des Hospices et de la seigneurie de Lalaing ont été numérisés.492 autres sceaux de Douai, du XIIe au XVIe siècle, ont par la suite été numérisés.

La Médiathèque de Roubaix est engagée depuis le début des années 1980 dans une entreprise de collecte et de sauvegarde des phonogrammes ayant un lien avec la région Nord - Pas de Calais. L'objectif poursuivi est de rassembler le patrimoine musical et sonore de la région, en menant un travail de terrain qui permet de garantir une assez bonne exhaustivité, notamment en ce qui concerne les petits producteurs et les autoproductions.La Médiathèque de Roubaix a par conséquent procédé en 2012 à la numérisation de 200 phonogrammes du commerce (disques gomme-laque et vinyle). Les documents concernés ont été sélectionnés pour leur caractère représentatif de la production phonographique du Nord – Pas de Calais (enregistrements en langues régionales picarde et flamande, accordéon, folklore de l'immigration polonaise, carillon). La Médiathèque poursuit ce travail en 2013, à travers la numérisation d'un corpus de 200 cassettes audio relevant des musiques actuelles, pour la plupart antérieurs à 1962.

Les atlas des routes de France dits Atlas de Trudaine constituent une collection unique et homogène de soixante-deux volumes totalisant plus de 3 000 planches manuscrites soigneusement aquarellées. Ils portent, aux Archives Nationales (anciennement Centre historique des Archives nationales (CHAN)) à Paris, les cotes CP/F/14/*8443 à 8507. Réalisés entre 1745 et 1780 sur ordre de Charles Daniel Trudaine, administrateur des Ponts et Chaussées, ils comportent les routes faites ou à faire (et leurs abords immédiats) dans les vingt-deux généralités des pays d'élections régies par des intendants. Les pays d'états (Bourgogne, Provence, Languedoc et Bretagne) ainsi que les pays d'imposition (régions frontalières conquises sous Louis XIV) sont exclus de cette couverture cartographique, sauf la généralité de Metz (trois atlas) et le Haut-Cambrésis (trois atlas aussi).Ces atlas forment une documentation précieuse et très recherchée sur les paysages français du XVIIIe siècle. On y trouve notamment la représentation des lieux habités, des bois, des cours d'eau et des routes, des édifices isolés (croix, calvaires, châteaux, moulins, usines, carrières...), les plans de masse des ouvrages d'art proches des routes ou construits sur celles-ci.

La collection numérisée du musée des Beaux-Arts de Valenciennes est mise en ligne via deux bases de données: Joconde et Musenor.A elles deux, elles regroupent environ 2000 pièces du musée, dans le domaine des Beaux-arts, qui comprend: de la sculpture, de la peinture, des dessins, des estampes (uniquement sur Musenor) ainsi que quelques céramiques (sur Musenor).

La médiathèque de Roubaix rassemble depuis de nombreuses années des lettres à en-tête utilisées pour la correspondance commerciale des industries et commerces roubaisiens.Ces documents sont remarquables pour la qualité des photogravures représentant notamment des usines, des enseignes qui ont souvent disparu depuis du paysage urbain et industriel de la ville.

127 affiches réalisées par Charles Hallo (Alo), de 1913 à 1936 pour les différentes compagnies privées de chemin de fer français. Un bel ensemble d’affiches touristiques représentatives de cet art graphique de l’entre-deux guerres.

La bibliothèque municipale d'Abbeville possède 36 manuscrits antérieurs à 1500. A ce jour un manuscrit a été numérisé dans le cadre de la campagne de numérisation menée par le Ministère de la Culture et de la Communication : "Heures à l'usage d'Amiens", du XVe siècle.

Une grande partie du fonds ancien (956 manuscrits) de la bibliothèque de Cambrai provient des confiscations révolutionnaires faites aux communautés religieuses très importantes dans la région (chapitre de la cathédrale de Cambrai, l'abbaye bénédictine de Saint Supulcre, l'abbaye cistercienne et l'abbaye de Fesmy) et aux émigrés de la région. Dons, legs, achats ont par la suite augmenté le fonds. Le Ministère de la Culture et de la Communication a numérisé pour l'instant 43 manuscrits enluminés de la bibliothèque dans le cadre de la campagne de numérisation.Le fonds ancien de Cambrai est important avec des ouvrages pouvant remonter jusqu'au VIIe siècle. Nous trouvons de magnifiques enluminures avec un Evangéliare du IXe siècle, des "Décrétales" de Grégoire IX du XIIIe siècle ou un graduel du XVIe siècle exécuté pour l'évêque Robert de Croÿ.Nous devons citer en provenance de l'abbaye bénédictine du Saint Sépulcre, les "Moralia" de Saint Grégoire (IXe siècle), l'homéliaire exécuté par Rainier, moine miniaturiste du Cateau vers 1159, ou un très beau livre de prière décoré de somptueuses miniatures et de nombreuses figures grotesques, témoignage remarquable du talent des enlumineurs du XIVe siècle.En provenance de l'abbaye augustinienne de Saint-Aubert et de la collégiale de Saint Géry, nous trouvons à nouveau nombre d'ouvrages religieux, avec par exemple deux Apocalypses du IX et XIVe siècle.Le fonds ancien de Cambrai possède aussi des ouvrages profanes comme une belle collection de manuscrits musicaux, avec le bel exemple d'un "Recueil d'Airs profanes et sacrés", du XVIe siècle, où l'originalité des dessins coloriés, exécutés avec humour et fantaisie en font une oeuvre d'art.

L'abbé Ovide Ammeux (1883-1948), contemporain de l'abbé Lamps a pris de nombreuses vues stéréoscopiques de Dunkerque, de la Flandre ainsi que lors de ses nombreux voyages (1900-1948). Près de 600 photographies sur plaques de verre ont été numérisées.

Il s'agit, à travers ce projet de numérisation, d'illustrer les bases nationales Mérimée et Palissy et d'envisager la réalisation d'itinéraires virtuels, à partir de l'inventaire topographique achevé.Le canton de Bergues donne à la fois l'image d'un paysage et d'une architecture de la Flandre maritime bien caractéristique. Ce territoire a en effet été épargné par les guerres successives, ce qui permet une lecture aisée des trames urbaines et des formes des villages. En outre, ce canton apporte le témoignage d'une architecture originale faite de briques et couvrant les époques flamande et française.Outre l'architecture civile, on y trouve également des églises de type "halle" qui renferment un prestigieux mobilier (orgues, retables, lambris, chaires à prêcher, etc.).

Les registres de catholicité des neuf paroisses de Valenciennes ainsi que les registres d'état civil de 1793 à 1910 et les tables décennales de 1802 à 1892 sont désormais disponibles sur le site des Archives départementales du Nord.

états de successions

Registres d'état civil de Lille

Une enquête thématique a été effectuée de façon systématique sur l'ensemble des brasseries industrielles du Nord, puis du Pas-de-Calais. Au terme d'un recensement effectué entre 1992 et 1993, il en ressort près de 250 édifices. D'ampleur inégalée dans les autres régions, cet ensemble spécifique du Nord-Pas-de-Calais permet d'affiner la connaissance ethnologique mais également d'appréhender l'évolution d'un type architectural depuis les fermes-brasseries, jusqu'aux grandes concentrations de la seconde moitié du XXe siècle. L'étude de ces brasseries dont les variantes architecturales enrichissent le patrimoine national a donné lieu à des publications ("Terre de brasserie", Coll. "Documents d’ethnologie régionale", 1997 ; "Brasseries et malteries Nord-Pas-de-Calais", Editions du patrimoine/La Voix du Nord, Coll. "Indicateurs", 2000) entre dans le cadre d'une valorisation du tourisme industriel.Dans le cadre de cette étude, près de 800 clichés ont été réalisés pour compléter les dossiers d'inventaire. Leur consultation est possible pour partie sur Mémoire.

Registres mémoriaux de l'échevinage de Béthune de 1421 à 1595.

Les registres des six paroisses de Douai ont été numérisés.

La bibliothèque municipale de Valenciennes possède un important fonds "local" lié à la riche histoire de la ville. Celle-ci fut tour à tour cité des ducs de Bourgogne puis capitale du Hainaut français. Défigurée par les destructions de la Révolution, bouleversée par le démantèlement des fortifications, précocement transformée par l'industrie, Valenciennes fut occupée et en grande partie détruite pendent les deux guerres mondiales. D'où l'importance des images pour comprendre son histoire.La bibliothèque a numérisé un fonds important de cartes postales et de photographies (tirages papier, plaque de verre) datant du 19e et début du 20e siècle, ainsi que des dessins aquarellés, des estampes, des cartes. Ce travail se poursuit.

La présente opération de numérisation vise à poursuivre l’initiative entamée en 1997 et continuée en 2000. L’objectif est d’illustrer les notices d’indexation des dossiers d’Inventaire versées dans les bases nationales Mérimée et Palissy, en tendant à l’exhaustivité des aires d’étude (Patrimoine industriel de l’arrondissement d’Armentières, inventaire topographiques du canton de Gravelines, du canton d’Outreau et de la communauté d’agglomération Maubeuge – Val-de-Sambre, etc.) et des opérations thématiques (patrimoine minier, industrie textile).

La médiathèque de Roubaix possède une collection de manuscrits anciens et modernes, parmi lesquels 3 manuscrits à peinture du XV-XVIe siècle, ayant appartenu à l’Hôpital Sainte-Elisabeth de Roubaix : dans un premier temps, seuls ces 3 manuscrits font l’objet d’un programme de numérisation.

Plans de Dunkerque datant des XVIIIe_XIX e siècles.

Recensements de population de Roncq

Les villes de Lille, Roubaix et Tourcoing s’associent pour numériser, mettre en valeur et diffuser les documents d’archives et de bibliothèques portant sur la première guerre mondiale dans le Nord. En 2013, la Bibliothèque municipale de Lille numérise les titres suivants, pour la période 1914-1919, entre autres :- Bulletin des réfugiés du département du Nord- Croix du Nord (La)- Dimanche du journal de Roubaix (Le)- Écho de Maubeuge- Gazette des Ardennes, édition illustrée- L’Écho du Nord (édition du soir)- Le Cri du Nord et des régions libérées- Liller Kriegszeitung, mit der illustrierten Beilage : Kriegsflugblätter- Nos prisonniers de Lille, Roubaix, Tourcoing et de la région(...)De 1914 à 1918, toute la presse lilloise cesse de paraître. Seules les feuilles sous contrôle des autorités allemandes sont autorisées : Le Bulletin de Lille, qui donne des informations pratiques aux lillois ; La Gazette des Ardennes, journal collaborationniste qui couvre toute la zone belge et française occupée ; le Liller Kriegszeitung destiné aux soldats affectés dans la région. Seule La Dépêche, installé à Paris, reparaît normalement.

Plans de la ville 1615-1971, séries 1 Fi et 2 Fi

Registres baptismaux 1573-1792 et registres des mariages 1629-1710 et 1731 à 1736.

Numérisation de la collection Victor Barbier (sous-série 4 J) composée de 2800 pièces (majoritairement de cartes et plans mais aussi des portraits, gravures, photographies, manuscrits) allant du XVIe au XIXe siècle et d'un autre fonds de 500 cartes et plans.Victor Barbier (1849-1908) a réuni tout au long de sa vie une collection d'une très grande richesse, achetée par le département en 1908. Cette collection est classée par institutions ou par personnes (plans de fortifications et élévations de monuments, XVIIe-XVIIIe siècle ; portraits), collection d'autographes de personnes ayant eu un rapport avec le Pas-de-Calais et l'Artois, cartes imprimées depuis le XVIe siècle.Les cartes et plans de l'autre fonds proviennent pour la plupart de la sous-série 2 C, archives des Etats provinciaux (travaux routiers et fluviaux), ou des séries H, archives des établissements ecclésiastiques supprimés en 1790, et E, archives de la féodalité saisies à la Révolution (plans terriers).Ces fonds sont pour l'essentiel non communicables au public en raison de leur fragilité ou de leurs trop grandes dimensions (certains dépassent les 4X4 m).

Photos noir et blanc sur bois, Tourcoing, 1950-1960.