Le fonds du Conseil privé (sous-série 5K) est constitué de 204 registres et 13 liasses (1824-1947). Il a été versé par la Préfecture de la Guadeloupe en 1978. Le rôle du Conseil privé étant assez équivalent à celui des conseils de préfecture en métropole, le versement a été coté en sous-série 5K. Son contenu se décompose en :- Conseil privé : Délibérations, table alphabétique des matières traitées, arrêtés, correspondance, indemnisation des anciens propriétaires d'esclaves.- Conseil du contentieux administratif : rôles, décisions, pourvois en cassation, arrêts de la Cour de cassation, recours en Conseil d'Etat.- Commission d'appel.

Constitué principalement des documents numérisés de la sous-série 1J qui accueille les pièces isolées entrées par voie extraordinaire (achat, don, legs) et ayant une valeur testimoniale ou esthétique significative. Ces documents permettent d'approcher et de saisir parfois la vie quotidienne, politique, militaire, économique et religieuse de la Martinique et des autres îles de la Caraïbe notamment Saint-Domingue, la Guadeloupe, Sainte-Lucie, sous l'Ancien régime et pendant la période révolutionnaire.Des monnaies et billets de banque émis par les banques des colonies françaises puis, plus tard, par l'Institut d'émission des départements d'outre-mer ont également été numérisés (sous-série 23 Fi).

Ce fonds se compose de collections de plans, pour l'essentiel manuscrits (XVII-XIX), réunis par l'administration centrale des Travaux maritimes et relatifs aux installations de la marine.Il concerne les ports et les régions de Cherbourg, Brest, Lorient, Rochefort, Toulon, La Rochelle et Royan, les forges de La Chaussade, l'établissement d'Indret, les fonderies de Ruelle et de Saint-Gervais, les colonies françaises.A l'heure actuelle, seuls les plans relatifs à Brest et à sa région sont numérisés.

Cette collection rassemble les 81 registres paroissiaux de la Guadeloupe.Dès le XVIIe siècle, la règlementation royale a prescrit l'établissement des registres paroissiaux en double exemplaire, le premier étant conservé par la paroisse, tandis que le second était remis à l'autorité judiciaire, chargée d'en vérifier la bonne tenue et le contenu. Le contrôle, d'abord confié aux sénéchaussées sous l'Ancien Régime, a ensuite été transféré aux institutions judiciaires qui leur ont succédé à partir de la Révolution.En 2006, deux tribunaux de grande instance de la Guadeloupe (Basse-Terre et Pointe-à-Pitre) se répartissent le territoire du département.Saint-Barthélemy présente un cas très particulier. Étant suédoise, il n'y a pas eu de séparation de l'Église et de l'État. C'est la raison de la persistance des registres paroissiaux jusqu'au rattachement à la France en 1878. L'enregistrement des actes d'état-civil a été maintenu sous le contrôle des autorités ecclésiastiques : le plus souvent il s'agissait de missionnaires apostoliques, venus des îles avoisinantes. Mais il fallut encore six années pour voir disparaître les registres paroissiaux qui côtoyaient les registres d'état-civil depuis 1878 dans la mairie. Ces registres paroissiaux proviennent donc de la commune de Saint-Barthélémy.

Le Fonds Bogat du Centre Rémy Nainsouta rassemble des photographies et négatifs sur Pointe-à-Pitre et la Guadeloupe. Les images sont répartis par thème : architecture et rénovation urbaine; vues aériennes de Pointe-à-Pitre; scènes de la vie quotidienne; portraits; souvenirs d’un voyage en Asiec; collection Beroard; scènes d’activités politiques et syndicales; scènes religieuses; phototypes sur plaque de verre; collection Bernard Hautin; collection Pierret; 3 albums (Pointe-à-Pitre ; Cameroun).La collection fait partie du Fonds Photographique Caribéen.

Collections de phototypes préservé aux archives municipales de Pointe-à-Pitre. Ils portent sur les évènements politiques, les commémorations ainsi que l'architecture, les grands travaux et la rénovation urbaine (1950-1970).Cette collections fera parti du "Fonds Photographique Caribéen".

Cette collection numérisée est composée de cartes et plans. Il s'agit de cartes de la Guadeloupe, de vues et plans des villes, de paysages, de scènes de bataille, de portraits etc..Les premières cartes postales éditées en Guadeloupe datent du début du XXe siècle (1901-1902). Elles illustrent les communes et les sites naturels du département.

Lettres provenant du fonds de la famille Legouvé, établie à Sennefort en Seine-et-Marne, famille de peintres et de musiciens. Ce fonds, qui contenait à l'origine des lettres de Victor Hugo, Dickens, Lisz, a été dispersé en lots, vendus soit de gré à gré, soit en vente publique (sous-série 20J).