Plans originaux des Documents d’évaluation du patrimoine archéologique des villes de France (DEPAVF)(1990 à 2002).Villes concernées : Aix-en-Provence ; Angers ; Arles ; Auxerre ; Bayeux ; Besançon ; Béthune ; Bourges ; Castres ; Cluny ; Compiègne ; Douai ; Grenoble ; Metz ; Parthenay ; Saint-Amand-Montrond ; Saint-Pierre (Martinique) ; Soissons ; Strasbourg ; Verdun.Plans originaux des Esquisses de topographie historique et d’évaluation archéologique (ETHEA) (1996 et 1998).Villes concernées : Épinal ; Pont-à-Mousson.

La mise en ligne des registres paroissiaux de la Moselle (catholiques, protestants et judaïques) est le résultat de la réunion numérique de collections appartenant à l'Etat et aux communes.Dans un premier temps, seront disponibles :- la sous-série 5 E des archives départementales de la Moselle, formée par les doubles des registres paroissiaux déposés aux greffes des tribunaux des bailliages royaux et ducaux et remise aux archives départementales de 1889 à 1903 (les plus anciens documents datent de 1637) ;- et la Série E-DEPOT/E des mêmes archives, composée des divers dépôts de registres paroissiaux par les communes de la Moselle, dont les plus anciens datent de 1597.Les deux collections se terminent entre 1791 et 1793 selon les localités. Les deux collections se complètent mais, même réunies, ne comptent pas parmi les plus exhaustives de France : le régime du double registre a tardé à être mis en place (1765-1769) et une destruction intégrale a affecté les registres des communes de l'arrondissement de Thionville en 1870.

Fondé en avril 1963 par Jacques Kraemer et Jean-Claude Jost, le Théâtre Populaire de Lorraine (TPL) se fixe à Metz de 1963 à 1971, puis à Villerupt de 1972 à 1973, avant de revenir à Metz de 1973 à 1977, puis de s'implanter à Thionville en 1978.En 2012, les archives de l'époque messine ont fait l'objet de recherches et d'une numérisation, portant sur les programmes de saison depuis 1963, les programmes des spectacles et manifestations diverses depuis cette même année, les dossiers dramaturgiques, dossiers de presse et dossiers pédagogiques, les bulletins d'information, les photographies et autres documents iconographiques.En 2013, l’opération est poursuivie pour la période 1963-1977, et élargie en traitant également le fonds vidéo et photographique concernant les créations du Centre dramatique national depuis son installation à Thionville en 1977.

Les quelques 2 500 à 3 000 cartes contenues dans les 49 volumes de l'Atlas choisi rassemblées vers 1750, par le bibliothécaire de l'abbaye royale de St Arnoul de Metz, constituent un exceptionnel ensemble cartographique où l'on retrouve la matière de plus de trente atlas disponibles sur le marché du livre entre la fin du XVIIe s. et le milieu du XVIIIe siècle. Toutes les régions du monde, mais principalement les pays d'Europe occidentale, sont détaillées dans une succession de cartes dues aux grands cartographes de Paris, d'Amsterdam, mais aussi d'Augsbourg et de Nuremberg , et édités dans les suites célèbres de Sanson, Robert, N. de Fer, Nolin, Buache Lerouge, de l'Isle, Homann, Hasio, Ottens, Seutter, Visscher, Walck, de Witt, Schott, Bodenehr, Lotter, Mortier...On peut également y trouver quelques séries plus rares comme les 24 feuilles de la carte des Provinces Méridionales des Pays Bas (nieuw kaart boeck van der XVII neerlandische provinciarum) de Fricx et leur copie par Crépy, l'Atlas du Don par Cornelys Cruis, 1691, ou le théâtre de la Guerre dans les Pays Bas, 1691...

Le plan de numérisation des fonds patrimoniaux sur l'Art Nouveau lorrain concerne un fonds prestigieux et s'inscrit dans le cadre du centenaire de l'École de Nancy qui a mobilisé en 1998 toute la région et les capitales d'Art Nouveau européennes (Bruxelles, Glasgow, Darmstadt, Vienne, Prague, Barcelone, Paris).Ce projet a permis de réaliser avec la ville de Nancy «un service européen de visite virtuelle des villes d'Art Nouveau», projet que la ville de Nancy a présenté à l'appel à propositions sur les autoroutes de l'information du ministère chargé de l'industrie. Il associe le service régional de l'Inventaire et les trois musées : École de Nancy, Musée des Beaux-Arts de la ville de Nancy et Musée historique lorrain.Quatre fonds documentaires principaux ont été retenus en ce qui concerne l'Inventaire général dont une partie seulement a pu faire l'objet d'une numérisation :- les immeubles Art Nouveau sis à Nancy, soit 110 bâtiments pour lesquels on dispose d'une couverture photographique en 24x36 et qui représentent 2 500 images (1 500 en 24x36 et 1 000 en moyen format). (soit 169 illustrations numérisées)- Décor et mobilier Art Nouveau lorrain : cristalleries de Saint-Louis (Moselle), de Baccarat (Meurthe et Moselle), verrerie de Meisenthal (Moselle), créations de Vallin, Marjorelle et Prouvé : sélection de 400 images moyen ou grand format couleur;- les pièces de verre de la société Daum, soit 1 500 photos (ektas grand format) et 500 en cours de réalisation dont une sélection de 1 000 images sera numérisée (le Service régional de l'Inventaire dispose des droits d'usage mais non des droits commerciaux) (actuellement : 420 illustrations numérisées);-les vitraux Art Nouveau, Art Déco et contemporains (commandes publiques uniquement) de Lorraine (Nancy, Euville, Longwy, Metz, Sarrebourg) de E. Champigneulle, J. Grubert, J. et G. Janin, M. Chagall, J. Villon, J. Cocteau, qui représentent 300 photos grand format couleur (le Service régional de l'Inventaire dispose pour ces images du droit d'usage et pour certaines du droit d'exploitation).

Registres d'état civil de Metz.La période couverte est actuellement 1898-1903 pour la ville de Metz et 1890-1903 pour les communes rattachées.Les registres antérieurs et postérieurs seront numérisés progressivement.

Cadastre de Thionville

L'étude de la ville de Thionville engagée par le service régional de l'Inventaire en 1994 est achevée. Elle a permis la sélection de 65 édifices, la mise en place d'une base locale (266 références) et la constitution d'un corpus photographique (1500 photographies dont 1/3 sont des reproductions de documents). D'autre part, cette étude a permis de mettre en valeur, entre autres champs patrimoniaux, l'architecture dite "allemande" et a donné lieu à diverses restitutions au public : publications dans les collections de la Direction de l'Architecture et du Patrimoine (1 "Itinéraire du patrimoine", 1 "Images du patrimoine" en cours d'édition, des articles en cours) ; exposition, conférences et visites guidées. Une partie de ces manifestations s'est faite en coopération avec des partenaires extérieurs : Ecole d'Architecture, Musée de plein air de Konz (Rhénanie-Palatinat) et Université. La numérisation d'une sélection de 1000 illustrations (photographies et documents graphiques) à l'appui des 410 bordereaux (209 en architecture, 201 en mobilier) enrichira les bases de données nationales Mérimée et Palissy, permettra également d'enrichir le SIG de la ville et de mieux faire connaître le patrimoine communal. Le dossier propre à l'architecture "allemande" gagnera à la numérisation la possibilité d'être consulté par les universitaires étrangers et en particulier nos collègues allemand. D'autre part, des projets de produits dérivés (cédérom) sont envisagés par la ville.Actuellement la numérisation a concerné une sélection sur l'ensemble du patrimoine de la ville sans retenir la spécialité "architecture allemande.

La collection des tableaux de population (recensements) pour la période 1793-1911 est composée de 573 registres de formats, de tailles et de paginations différentes. Ces documents sont des sources complémentaires aux actes d'Etat-civil et permettent de reconstituer l'histoire des familles. Ils sont utiles pour commencer une recherche généalogique. Par les informations contenues dans les registres il est possible d'obtenir une vue de la société à une époque donnée. De plus ce sont des matériauxincontournables des études démographiques qui permettent de connaitre notamment l'évolution des populations et leur composition socio-professionnelle.

Cette collection comprend l'ensemble de la documentation relative aux plans-reliefs de Marsal (1835 remanié en 1859-60), de Bitche (1826 remanié en 1852) et de Metz (1821-1825, remanié 1870-79) conservée dans les archives du Musée des plans-reliefs. Cette documentation est composée de plans et de développés de façades, dessins réalisés à la plume et rehaussés de lavis, accompagnés d'indications écrites, sur papier, calque ou calque contrecollé sur papier. Les écrits sont rédigés à la plume sur des feuillets mobiles ou sur des feuillets reliés. Cette documentation comprend :- les relevés exécutés au 1/600, en plan et en élévation, ayant servi à la construction des plans-reliefs de Marsal, de Bitche et de Metz (épures et cahiers de développement) ;- les plans de montage des plans-reliefs et de leurs piétements ;- diverses pièces écrites contenant des informations nécessaires aux ouvriers pour la construction du plan-relief (description des villes de Marsal, de Bitche et de Metz, en 1835, 1826 et 1825 et de la campagne environnante), sur les matériaux utilisés pour la construction de la maquette, etc.

Registres de délibérations communales de Thionville, 1918-1940.

Cartes postales de Thionville, 1900-1970

Cette collection met en valeur le fonds documentaire du Centre Dramatique National de Thionville-Lorraine.En 1963, l'auteur et metteur en scène Jacques Kraemer et quelques comédiens déposent à Metz les statuts d'une coopérative ouvrière sous le nom de Théâtre Populaire de Lorraine (TPL). L'activité de cette coopérative s'établit sur la création dramatique (4 à 5 créations par saison) et la diffusion de ses créations non seulement dans la ville mais aussi sur le territoire nord lorrain. En 1977, la ville de Thionville signe une convention avec le TPL qui s'installe dans le théâtre municipal. C'est à partir de cette date que les documents (papiers et iconographiques) commencent à être rassemblés notamment sur les créations "maison". Elles sont signées Jacques Kraemer, Charles Tordjman, Gil Champagne, Moni Grego, Aristide Demonice, Yves Gourvil puis Stéphanie Loïk à partir de 1992. En janvier 2004, Laurent Gutmann prend la direction du Théâtre Populaire de Lorraine – Centre Dramatique Régional, structure qui s’appellera désormais Centre Dramatique de Thionville-Lorraine, avant d'obtenir le label de CDN au 1er janvier 2008.Cette collection regroupe les programmes de saison, les programmes des spectacles,les dossiers dramaturgiques, dossiers de presse et dossiers pédagogiques, les bulletins d'information, ainsi que les photographies et autres documents iconographiques (sous réserve que leurs auteurs aient pu être identifiés et aient donné leur accord).

Collection d'échantillons de papiers peints fabriqués chaque année (1869-1939) par l'usine Grantil puis la Manufacture de papiers peints Grantil et Didion à Montigny-lès-Metz (sous-série 14 J).Il s'agit d'archives privées déposées par contrat aux Archives départementales de la Marne en 1970.La communication est réservée pendant un délai de 50 ans à compter de la date du contrat.

Le fonds rassemble les documents anciens et graphiques de plusieurs campagnes sur l'architecture rurale en Lorraine menées par le service régional de l'Inventaire :L'opération d'inventaire a donné lieu à une campagne de protection au titre des Monuments historiques, à des publications - 2 "Itinéraires du Patrimoine", articles, "Cahier du Patrimoine" et à un projet d'exposition.Le pan de bois de la MeuseAux confins de la Champagne, du massif de l'Argonne au nord, aux bords de la Marne au sud, le département de la Meuse conserve dans 46 communes d'intéressants témoins d'architecture rurale en pan de bois dont la grande diversité tient à la géographie et à la chronologie. Torchis, pierre calcaire, gaize et brique forment une riche palette de matériaux, enrichie par une mise en œuvre variée des bois. Aux formes très décoratives en vogue du XVIe siècle au début du XVIIIe siècle vont succéder des compositions plus sages, marquées par la prédominance des éléments verticaux qui perdurent jusqu'au milieu du XIXe siècle, époque de la disparition du pan de bois.Le pan de bois de la MoselleDans l'Est de la Moselle, aux confins de l'Alsace et du Palatinat, sont encore bien présentes des maisons rurales en pan de bois pouvant remonter, pour certaines d'entres elles, à la fin du XVIIe siècle. L'architecture en pan de bois souvent associé à la pierre, a largement évolué dans le temps, passant de structures hautement décoratives à mise en œuvre coûteuse à des formes plus simples à la veille de sa disparition autour de 1850. Aujourd'hui fortement menacé par les mutations du monde rural et privé des savoir-faire indispensables à son maintien, le pan de bois mosellan est en danger. Sa meilleure connaissance est une condition indispensable à sa sauvegarde.L'architecture rurale de la montagne vosgienneL'aire d'étude comprend les Vosges cristallines au sud et une partie des Vosges gréseuses au nord, régions de moyenne montagne comprises entre 500 et 1000 mètres d'altitude. L'architecture rurale de la Montagne vosgienne présente des caractéristiques spécifiques dues à des structures agraires particulières (absence de contrainte agraire, de vaine pâture ou d'assolement), alliées à une importante dispersion de l'habitat (plus de 60%), circonstances qui ont modelé un paysage original.Une enquête thématique a été effectuée de façon systématique sur l'ensemble des fermes d'estive de Haute-Vosges. Connues localement sous le nom de marcairies elles avaient également une fonction fromagère.

Le fonds graphique représente les dessins et les relevés réalisés par le service régional de l'Inventaire depuis 1976 dans le cadre des programmes d'inventaire topographique. Ils portent pour l'essentiel sur les travaux réalisés en milieu rural en Tarn-et-Garonne, Hautes-Pyrénées et Gers ainsi que sur la ville de Cahors. Les édifices concernés sont donc très variés.Parmi les édifices majeurs de l'architecture religieuse on compte l'abbaye de Moissac, l'abbaye de Beaulieu (en Rouergue), l'abbaye de Grandselve, la cathédrale de Cahors ; des grands châteaux comme celui de Cornusson (Tarn-et-Garonne), le palais Duèze (Cahors).De nombreux relevés photogrammétriques concernant les élévations de nombreuses demeures médiévales des XIIIe, XIVe et XVe siècles dans les cités comme Cahors, Caylus et Saint-Antonin-Noble-Val. L'essentiel est cependant constitué par de nombreuses églises rurales de toutes époques et l'architecture vernaculaire du Bas-Quercy comme dans la vallée de la moyenne Garonne, de la Gascogne (Lomagne) et les vallées pyrénéennes.L'objectif est donc d'améliorer la diffusion de cette documentation graphique susceptible d'intéresser les domaines de la recherche, de la restauration des monuments, de l'enseignement ou tout simplement le grand public qui a accès aujourd'hui par Internet aux bases Mémoire et Mérimée. La numérisation de ce fonds contribue aussi à la sauvegarde des documents graphiques originaux.

Les plans cadastraux dits "napoléoniens" constituent aux Archives départementales de la Moselle la sous-série 35 P. Ils sont composés d'un tableau d'assemblage, représentant l'ensemble du ban communal qui permet de déterminer la section dans laquelle est située la parcelle recherchée, et des feuilles parcellaires sur lesquelles figure le numéro correspondant à la parcelle. Ces plans concernent 895 communes mosellanes qui présentent chacune un plan d'assemblage et plusieurs feuilles parcellaires. A ces plans qui constituaient la base de l'assiette de l'impôt foncier à partir de 1807, il convient d'ajouter un fonds plus modeste composé de 47 plans du cadastre par nature de culture cotés en CP et antérieurs aux "napoléoniens" (1804-1807).

La collection des registres de délibérations du conseil municipal pour la période 1789-1911 est composée de 143 registres de formats, de tailles et de paginations différentes.Ces registres représentent une source emblématique de l'histoire de la commune et sont très régulièrement consultés en salle de lecture. En effet, les registres de délibérations sont un reflet de la vie de la commune à une époque donnée. Ils font connaitre les décisions adoptées par l'administration municipale, ainsi que l'influence exercée par le pouvoir central, ou encore les bouleversements occasionnés par la politique générale et les guerres. Il est possible pour un chercheur expérimenté ou non d'obtenir les décisions sur un sujet précis, de relever les faits d'une période donnée, d'étudier l'action du conseil municipal pendant la Révolution ou encore sous la Première Annexion allemande. Les délibérations apportent également de précieux renseignements sur les différents aménagements communaux ainsi que les rapports entre la municipalité et les habitants. Ce sont des documents qui peuvent être riches en anecdotes et qui orientent les recherches vers d'autres sources conservées aux Archives.

Le fonds d'atelier d'Henri Le Secq (1818-1882), considéré comme l'un des primitifs français de la photographie, a été donné par son fils en 1905. Ce fonds, conservé en réserve, se compose de près de 500 tirages sur papier salé et de 400 négatifs papier ciré sec (calotypes). Il comprend notamment des vues des monuments photographiés au cours de la « Mission héliographique » de 1851 commandée par les Monuments historiques à cinq photographes dont Henri le Secq pour l'Est de la France.Le Secq s'est par la suite attaché à photographier une série de monuments au cours d'autres campagnes (Amiens, Auxerre, Chartres, Sens…) ainsi que les "Démolitions de Paris" en 1852-1853.Il faut noter par ailleurs, que la Bibliothèque est la seule à posséder des vues de terrains. Elle possède également une série de natures mortes tirées sur papier bleu ou « cyanotypes ».

Alors que l'image d'Épinal fait partie du patrimoine national, l'imagerie messine (1835-1892) est totalement inconnue du grand public. Et pourtant, en 1860, 18 % des images colportées sur le territoire français sortaient des presses de Gangel à Metz, la production de Pellerin à Épinal ne représentant que 2 % du total ! Sous les raisons sociales Dembour, puis Dembour et Gangel puis Gangel et Didion, puis Delhalt, les imagiers messins vont éditer environ 3 500 à 5 000 images différentes, lithographies à la parisienne ; sur des thèmes satiriques, d'actualité ou religieux, ou rééditions de xylogravures plus anciennes, rachetées du fonds de Desfeuilles et Lacour à Nancy, de Clerc à Belfort et de Deckherr de Montbéliard.Trois beaux fonds d'images de Metz sont conservés à Metz :- un fonds d'État aux Archives départementales de la Moselle, constitué des images déposées à la préfecture de la Moselle par les imprimeurs, en application de la loi du 9 septembre 1835, toutes datées et signées, et, pour les images censurées, portant les annotations préfectorales expliquant le refus d'impression ; ce fonds est l'équivalent de celui du Cabinet des estampes de la Bibliothèque nationale de France (BnF) ;- une collection municipale à la Bibliothèque-Médiathèque de Metz, qui s'enrichit régulièrement de nouvelles acquisitions, notamment dans le domaine des histoires, des constructions, des théâtres à découper, etc. La spécificité de la collection d'images de la médiathèque réside dans l'exceptionnelle qualité des tirages mis en couleurs et souvent dorés, alors que les séries départementales provenant du Dépôt Légal ne sont que des exemplaires en noir pour justifier au plus juste de l'obligation de dépôt. Ces dernières images sont cependant scientifiquement incontournables car elles sont toutes datées, ce qui est indispensable pour reconstituer les séries chronologiques.- trois albums d'images religieuses déposés par le musée national des Arts et Traditions populaires (MNATP) aux musées de la Cour d'or à Metz. Le projet consiste à numériser l'ensemble des images, et à proposer un support de substitution destiné à protéger des collections, extrêmement fragiles du fait de la mauvaise qualité du papier sur lequel ces images ont été imprimées.

Les dossiers de l'Inventaire présentent une documentation hiérarchisée et complète sur le patrimoine architectural et mobilier : textes (analyse historique, description, bibliographie, sources d'archives), documents graphiques et photographiques, plans... Ces dossiers concernent des inventaires topographiques ou thématiques. Ils sont indexés par une notice synthétique dans les bases Mérimée (architecture) ou Palissy (objets mobiliers). Leur version papier est consultable dans l'établissement de conservation.Pour la région Lorraine est numérisé :- Inventaire thématique "Pans de bois" en Moselle ; 129 dossiers ; 2132 pages - numérisé- Inventaire topographique du canton de Longwy (Meurthe-et-Moselle) : 85 dossiers architecture et 79 dossiers objets- Inventaire topographique du canton de Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle): 106 dossiers architecture et 174 dossiers objets- Inventaire topographique du canton de Bitche (Moselle): 342 dossiers architecture et 232 dossiers objets- Inventaire topographique du canton de Volmunster (Moselle) : 301 dossiers architecture et 154 dossiers objets