Plans originaux des Documents d’évaluation du patrimoine archéologique des villes de France (DEPAVF)(1990 à 2002).Villes concernées : Aix-en-Provence ; Angers ; Arles ; Auxerre ; Bayeux ; Besançon ; Béthune ; Bourges ; Castres ; Cluny ; Compiègne ; Douai ; Grenoble ; Metz ; Parthenay ; Saint-Amand-Montrond ; Saint-Pierre (Martinique) ; Soissons ; Strasbourg ; Verdun.Plans originaux des Esquisses de topographie historique et d’évaluation archéologique (ETHEA) (1996 et 1998).Villes concernées : Épinal ; Pont-à-Mousson.

Naissances, mariages, décès (1877-1899), tables décennales (an II-1899), conservés dans la série E.

Registres d'état civil de Trélazé.

67 registres des délibérations du Conseil Municipale de Cholet couvrant la période An IV - 1994

Plans cadastraux de 105x75 cm environ, dont 5000 plans non reliés et 360 plans de complément en 12 atlas reliés qui n'ont pas été déreliés pour la numérisation.Le public peut faire des reproductions.Cote : 3 P

Cet inventaire regroupe 1232 photos noir/blanc et couleur portant sur l'ensemble du patrimoine bâti et des objets religieux du canton : vues générales et détails. Les points forts sont le château médiéval de Baugé et un riche patrimoine rural de châteaux, manoirs et églises.

660 cartes et plans.Plans d'architecte de C.Arnault et M.Laurentin: Cholet, XIXe-XXe siècle

Les Archives départementales conservent les tables alphabétiques des registres de recrutement militaire (ou registres matricules) des trois bureaux se trouvant dans le département pour la période 1878-1929 (sous-série 1R).Organisées par classe et par bureau de recrutement, ces tables permettent de retrouver le numéro de matricule des jeunes gens ayant fait leur service militaire afin de consulter leur état signalétique, qui retrace l'ensemble de leur parcours au sein de l'armée.Le public peut les consulter et faire des impressions en noir et blanc sur Internet et dans les salles de lecture.

Ce fonds retrace l'œuvre et les créations du chorégraphe Yvann Alexandre (1993-2011) dans le domaine de la danse contemporaine.La première phase du projet (1993 à 2008) a consisté à conserver tous les projets de la Compagnie (écrits, partitions, programmes, affiches, photographies, billets de spectacles, feuilles de route, captations vidéo des répétitions-spectacles-action culturelle…) En 2008, une banque d'archives a ensuite été constituée par le plasticien Sébastien Simon. Elle permet d'accéder à toute les étapes, des débuts d'une création à sa révélation : de la partition chorégraphique aux images, livrets de résidence, dépliants, bibles, dossiers, articles de presse…Entre 2008 et 2011, la deuxième phase a été celle du transfert de supports vidéo cassette vers des DVD-vidéo (créations, spectacles, répétitions, masters class, conférence,…) Des vidéos teasers, des montages réalisés à partir d'images prises lors des représentations, des copies de reportages complètent les données vidéo de la compagnie. Cela constitue un fonds vidéo intégral (1993-2011).Ce projet permettra la sauvegarde du répertoire chorégraphique de la Compagnie et les traces des collaborations et des invités (C. Bastin, I. Liptay, O. Bodin, R. Chopinot, L. Levasseur, J. Pomarès, M. Lawton, Drouard, K. Bruneel, H. Rhéaume, L. Bédard...)

Le territoire du département de Maine-et-Loire fut le théâtre, durant la Révolution, d'affrontements meurtriers prenant la forme, au sud de la Loire, d'une véritable guerre opposant, entre 1793 et 1795 principalement, les défenseurs du régime monarchique aux armées de la Révolution. Ces guerres, au nombre de cinq successivement jusqu'en 1815, sont communément appelées guerres de Vendée. Au nord de la Loire, des combats plus sporadiques, mais également violents, se livraient pour la même cause, que l'histoire retient sous le nom de Chouannerie.Après la Restauration en 1814, des dispositions intervinrent à la demande des chefs chouans survivants et notamment du général d'Autichamp pour indemniser les soldats ayant combattu dans les armées défendant la cause de la monarchie, qui n'émargeaient pas sur les rôles officiels des pensions et secours des armées. Ainsi, par ordonnance du 14 août 1814, est-il décidé que les soldats de ces armées ayant subi des blessures graves, leurs veuves ou les femmes ayant perdu des enfants pour faits de guerre, pouvaient solliciter une indemnisation qui pourrait prendre la forme soit d'un versement d'indemnité ponctuelle, soit d’une pension viagère. Une commission fut constituée sous la présidence du préfet de département, qui comportait des représentants des armées, ainsi que des officiers de santé chargés de vérifier la véracité des dommages allégués.L'ensemble des dossiers constitués en vue de ces indemnisations, au nombre de 8000, ont été conservés. Leur contenu comporte, outre la lettre de demande, différents documents attestant de la situation du demandeur tels que extraits d'état-civil, états des services rendus, certificat du maire de la commune et de personnes se portant garant, état des ressources. Ils représentent une source de premiers plan pour l'histoire des familles, mais aussi pour l'histoire de la Révolution.

Précieusement conservée par Georges Perrusson, photographe installé au n°57 de la rue d’Orléans en 1952, la collection comprend 290 négatifs sur verre, derniers vestiges de la production de ses prédécesseurs : Joseph Le Roch, le tout premier photographe professionnel de Saumur, exerçant de 1862 à 1869, Victor Coué, de 1870 à 1912, Maurice David, de 1913 à 1921, et Eugène Leconte jusqu’en 1952.Essentiellement portraitistes, les photographes nous ont transmis de nombreuses représentations de la bourgeoisie locale, et puisque nous sommes à Saumur, des officiers de l’Ecole de cavalerie. Mais le patrimoine architectural constitue également une part importante de la collection. Ainsi, nous découvrons le château de Montreuil-Bellay en cours de restauration en 1862-1863, ou bien encore le théâtre de Saumur peu de temps après sa construction en 1866.

Vues aériennes conservées dans la sous-série 19 Fi (1935-1966).

Ce fonds retrace trente années d'invention de la danse contemporaine (1978-2012). Ces ressources recoupent des pans et styles divers de l'histoire de la danse. On y trouve des pièces d'auteurs de renom mais très peu connues, voire oubliées ou encore certains des premiers moments chorégraphiques de jeunes artistes.- Vidéos et documents sonores sur les années 1991 à 2010 témoignant d'une évolution des projets artistiques et pédagogiques du CNDC.- Les photographies sur les années 1979 à 2004 retraçant des moments de l'école, du CNDC, des spectacles et répétitions.- Les affiches concernant l'intégralité du centre et qui présentent des graphismes élaborés.En 2012, la numérisation porte sur le fonds vidéo d'Emmanuelle Huynh.

Journal à périodicité variable et à l’orientation « droite conservatrice et catholique », fondé en 1841 par l’imprimeur Paul Godet et qui disparaît en 1939. Les plus anciens numéros conservés datent de 1853.Les années 1853-1891 ont été numérisées. La mise en ligne concerne actuellement les années 1853-1882, et s’accompagne d’un module de recherche avancée. Cote 6Per.

232 plans d'urbanisme

Recensement de 1769 en trois registres in-folio.

Photographies faisant partie du fonds Heurtier, conservé en 18 Fi (1960-1970).

Les dossiers de l'Inventaire présentent une documentation hiérarchisée et complète sur le patrimoine architectural et mobilier : textes (analyse historique, description, bibliographie, sources d'archives), documents graphiques et photographiques, plans... Ces dossiers concernent des inventaires topographiques ou thématiques. Ils sont indexés par une notice synthétique dans les bases Mérimée (architecture) ou Palissy (objets mobiliers). Leur version papier est consultable dans l'établissement de conservation.La collection rassemble les inventaires du patrimoine des cantons de Candé-Ségréen, Noyant, Baugé, Vihiers, Montreuil-Bellay, Longué-Jumelles, Allonnes, Evron, Montsûrs, des Sables-d’Olonne, du Marais poitevin, de la Rivière de Mayenne, Clisson, Saumur, du Pays segréen et Fontenay-le-Comte.

Matrices cadastrales de Trélazé.

Affiches administratives de la mairie d'Angers, des institutions départementales, des associations, écoles et institutions diverses d'Angers (XVIIIe-XXe siècles) conservées dans la sous-série 6 Fi.

Fonds de l’académie et du collège protestants créés à Saumur par le gouverneur de la ville, Philippe Duplessis-Mornay, en 1599.Les documents numérisés consistent en:- 2 registres des conseils ordinaire et extraordinaire de l’académie et du collège protestants pour les périodes 1613-1673 et 1683-1684. Les thèmes abordés dans ces deux documents sont les suivants : l’enseignement délivré, la nomination des recteurs, professeurs, principaux et régents, l’admission des étudiants et des écoliers, la vie quotidienne, les règlements, les charges de chacun, la discipline, les querelles, la fin de l’académie et du collège, etc.- 1 registre de comptabilité pour la période 1631-1685.

Cartes postales de 9x14 cm environ, représentant le département (classement par communes), signées Duvivier, Yvon, Evers, Bruel, Dorange, Rivière, Artaud et Frères etc. Quelques cartes thématiques, sur les coiffes notamment. Le fonds, qui compte actuellement 7913 cartes, s'accroît chaque année.La base numérisée sera mise à jour régulièrement.Cote : 6 Fi.

Plans de la ville d'Angers contenus dans la sous-série 1 Fi (XVIIIe-XXe siècles).

On y trouve le règlement et le tableau des frères de la loge maçonnique de Saumur, la Persévérance (1868), de nombreux placards révolutionnaires ainsi que dix affiches de propagande des guerres 1914-1918 et 1939-1945

Pages de l'hebdomadaire l'Intérêt Public couvrant la période 1859 - 1944.

Registres des paroisses Notre-Dame et Saint-Pierre de Cholet (1668-1790), registres paroissiaux de Saint-Melaine (1689-1790).Registres d'état-civil couvrant la période (1790-1906) et registres d'état-civil de la commune associée du Puy-Saint-Bonnet (1813-1973).

51 registres de recensement de population

607 affiches (série 2Fi)

Cartes postales représentant la ville de Saumur et les communes environnantes. On y trouve également les sympathiques caricatures des officiers de la célèbre École de cavalerie, ainsi que les cartes publicitaires des maisons de vins Ackermann, Bouvet-Ladubay, Veuve Amiot, etc.(série 25 Fi)

1500 cartes postales couvrant la période 1900-1915

Registres des procès verbaux et délibérations du conseil municipal de la ville d'Angers (1945-1968, 1970-1992)et de l'administration communale de 1479 à 1790 et de 1790 à 1877.un inventaire des collections est accessible en ligne via le site internet de la ville d'Angers.

Cette collection se compose de deux titres particulièrement représentatifs de la vie locale:- « Affiches d’Angers, capitale de l’apanage de Monseigneur le comte de Provence, et de la province d’Anjou ». Premier titre paru en Maine-et-Loire le 3 juillet 1773, dont l’amplitude porte sur la période 1773-1811 et dont l’intérêt historique est majeur puisque cet organe de presse n’a jamais cessé de paraître durant la Révolution. Il devient « le journal politique et littéraire du département de Maine-et-Loire » jusqu’en 1830, puis le « Journal de Maine-et-Loire » jusqu’en 1925.- « Le Petit Courrier, organe de l’appel au peuple pour le département de Maine-et-Loire, puis organe de l’Union républicaine ». Paraît pour la première fois le 10 juin 1883, conservé aux Archives de Maine-et-Loire du 1er janvier 1896 au 10 août 1944, date de la suspension de sa parution. Il s’agit du titre le plus diffusé en Maine-et-Loire et le plus riche en informations à caractère local. Il a été poursuivi après la Libération par « Le Courrier de l’Ouest », encore existant.

En 1982, les Archives départementales de Maine-et-Loire recevaient le don d’une importante collection de plans et dessins d’architecture, émanant de l’activité d’une même famille, ayant exercé à Angers durant plus d’un siècle, de 1803 à 1917. Cette collection, désignée par le nom de fonds Dainville, selon le patronyme de celui qui la constitua, reflète en réalité l’oeuvre de trois architectes successifs : Louis François (1754-1836), son second fils Jacques-Louis François (1791-1870) et son petit-fils Ernest Dainville (1821-1917), neveu du précédent.D’une activité inlassable principalement déployée dans le ressort du département, la dynastie Dainville a particulièrement marqué l’Anjou et imprimé sa marque tant sur les bâtiments civils, publics et privés, que religieux.Les 4 228 plans et dessins qui composent la collection ont fait l’objet en 1995 d’un répertoire numérique détaillé publié à l’occasion d’une exposition rétrospective consacrée à l’oeuvre de ces architectes. La numérisation de l’ensemble des plans, accompagnée de la mise à disposition des informations (introduction, appareil critique, notices descriptives) contenues dans l’inventaire et d’une indexation précise, permettra leur consultation à distance et facilitera leur exploitation pour toutes les fins de recherche scientifique ou d’opportunité. Elle évitera aussi la manipulation de ces supports fragiles (calques notamment) qui sont aujourd’hui seulement accessibles au public par consultation directe lors de la visite sur site.Cote : 90 J

Recensements de population de Trélazé (Maine-et-Loire), 1831-1968.

Bulletins de paie

Plans cadastre napoléonien de 1813 (35 planches), plan cadastre rénové de 1970 (107 planches) et matrices cadastrales de 1811 à 1969.

La Région des Pays de la Loire dispose d’une photothèque de 115 000 fichiers numériques qu’elle a pour projet de mettre en ligne. Cette collection concerne les photographies indexées et liées au dossier de l'inventaire du patrimoine des divers canton des Pays de la Loire.La collection en cours de numérisation comprend 30 000 ektachromes et 20 000 photographies noir et blanc.

Cartes postales conservées dans la sous-série 4 Fi.