Le fonds est constitué des collectes qui ont été réalisées sur le territoire de la région Limousin, sauf quelques enquêtes conduites au nord de la Dordogne et dans l'est de la Charente (toutes comprises dans l'aire dialectale occitane limousine).Il s'agit de contenus variés : rites calendaires, année du paysan, contes, comptines, chansons, proverbes et dictons, savoir-faire, toponymie et littératures orales, etc.Ce fonds contient également des collections privées mises à disposition (fonds occitans audio, vidéo et photos) comme les fonds Françoise Etay, Hubert Marcheix, Philippe Rouvet, Jan dau Melhau, Robert Danias, Françoise Etay, Hubert Marcheix, Philippe Rouvet, Jan dau Melhau, Jan et Danisa Urroz, Baldit, Myette Marouby-Hebrant, etc.

Numérisation d'un fonds de 390 affiches de la seconde guerre mondiale conservées aux Archives départementales de la Creuse. Le fonds concerne les aspects suivants : affiches essentiellement locales émanant des autorités civiles et d'occupation localisées à Guéret, affiches de propagande vichyste, affiches des mouvements de Résistance, affiches de l'immédiat après-guerre émanant des autorités mises en place à la Libération, des mouvements de Résistance et des partis politiques relatives aux événements de la guerre, à la vie quotidienne des creusois et à la reprise de la vie politique à la Libération.

La numérisation porte sur les plans cadastraux napoléoniens du département de la Creuse conservés soit en atlas cantonaux soit en planches individuelles.Certains de ces plans, aquarellés en couleur, fixent l'image du territoire départemental dans la première moitié du XIXe siècle (1807-1852).

La collection se compose de 50 objets représentatifs de la chaîne opératoire en basse lisse : ces objets techniques seront numérisés en 3D afin de « faire le tour » des items : du peigne de lissier en buis au métier à tisser, en passant par le matériel du teinturier, la table du dessinateur cartonnier, aux machines à carder des filateurs, c’est tout un ensemble qui sera alors à découvrir.

Plans d’arpentement du fonds du Collège de Limoges (série D / 9 Num), levés au XVIIIe siècle.

Fonds de l'union des fabricants de porcelaine de Limoges (1960-1980).L'industrie porcelainière n'a cessé d'évoluer au cours du siècle précédent, pourtant, aussi étonnant que cela puisse paraitre, les documents sont rares.Collection singulière montrant à la fois le travail en usine et les films publicitaires de la production. (16mm, U-Matic et Bétacam)

269 dossiers d’architecture et 326 dossiers d’objets mobiliers concernant 10 communes.Architecture rurale traditionnelle avec quelques influences berrichones et poitevines.Intéressants vestiges gallo-romains sur l’ensemble du canton (coffres funéraires).Le chef-lieu du canton est caractérisé par un noyau urbain médiéval encore sensible, avec notamment l’église Notre-Dame (XIe-XVe s. restaurée au XIXe s.), la lanterne des morts (déplacée), les vestiges des fortifications.Vestiges d’architecture féodale autour de la « Tour » de Bridiers (XIIIe-XIVe s.), et château de Saint-Germain-Beaupré, « reconstruit » au XIXe siècle.

Les photos concernant Felletin apportent à la connaissance documentaire les particularités d’une ville creusoise, riche d’un patrimoine architectural et d’un savoir artisanal, né au milieu du XVe siècle et lié à la fabrication de la tapisserie et des tapis.Ville murée, la plus importante de la Marche, Felletin comptait trois églises et trois chapelles de confréries qui abritaient un mobilier et des objets de qualité. Le secteur intra-muros regroupe des demeures du XVe ou du XVIe siècle encore bien conservées et de grandes demeures du XVIIIe ou du début du XIXe siècle, pouvant s’apparenter à un hôtel particulier, au décor intérieur soigné.Le début du XXe siècle a connu l’activité d’une diamanterie et la création d’une école des métiers du bâtiment ; celle-ci, devenue par la suite lycée national, forme les élèves à l’art de bâtir, tradition ancestrale de ce secteur creusois. Quant à la tradition tapissière , elle se poursuit dans un seul atelier et donne régulièrement lieu à des « tombées de métier » de pièces uniques.

La tapisserie d'Aubusson est labellisée par l'UNESCO depuis le 29 septembre 2009. Ce fonds est constitué d'enregistrements sonores (enquête ethnographique; Enregistrements suite aux rencontres des "jeudis de la tapisserie"); D'un fonds iconographique en lien avec le savoir-faire de la tapisserie; D'un fonds de films présentant certains savoir-faire d'Aubusson (restauration de tapisseries anciennes, teinture des laines..).

Ces quatre cantons se situent sur la « montagne limousine », aux confins de la Combraille et de la chaîne des Puy. Leur patrimoine architectural marqué par le granite ambiant est tout imprégné de ruralité. Il faut en chercher les plus belles expressions dans les églises médiévales, les croix de chemin, et les fermes des XVIIIe et XIXe siècles.

Les dossiers de l'Inventaire présentent une documentation hiérarchisée et complète sur le patrimoine architectural et mobilier : textes (analyse historique, description, bibliographie, sources d'archives), documents graphiques et photographiques, plans... Ces dossiers concernent des inventaires topographiques ou thématiques. Ils sont indexés par une notice synthétique dans les bases Mérimée (architecture) ou Palissy (objets mobiliers). Leur version papier est consultable dans l'établissement de conservation.Pour la région Limousin sont numérisés ou en cours de numérisation :- Inventaire de la préfecture de région (Limoges, Haute-Vienne) : architecture, programme décoratif, objets mobiliers ; 311 pages - numérisé- Inventaire du patrimoine du canton de La Souterraine (Creuse) : 269 dossiers d’architecture et 326 dossiers d’objets mobiliers concernant 10 communes ; 4834 pages - numérisé- Inventaire du patrimoine des cantons de Crocq, La Courtine, Gentioux-Pigerolles et Royère-de-Vassivière (plateau de Millevaches, Creuse) : 1645 dossiers ; 7182 pages - programmé- Inventaire du patrimoine du canton de Saint-Léonard-de-Noblat (Haute-Vienne) : 4872 pages - abandonné

Ce fonds traite de la vie du monde rural sur le plateau de Millevaches et la haute Corrèze dans les années 1970.

Le fonds photographique constitué depuis 1997 par le service régional de l'Inventaire et la conservation régionale des Monuments historiques du Limousin sur les objets classés des 3 départements (Corrèze, Creuse, Haute-Vienne), à l'occasion d'une mise à jour systématique de la documentation sur les objets mobiliers protégés, représente plus de 10 000 clichés en noir et blanc et en couleurs (chaque "couleur" étant doublée en principe en "noir").La numérisation a porté sur une partie raisonnée de ce fonds, définie par les clichés nécessaires et suffisants pour une parfaite identification de chaque œuvre, la préférence étant donnée aux clichés couleurs.Outre la diffusion sur Internet, la constitution de CD Images, dont un exemplaire pourrait être déposé dans chaque préfecture de département, assurera en cas de vol ou de détérioration, une reconnaissance immédiate des œuvres, et permettra à tous les services concernés d'agir plus rapidement et plus sûrement.

Ce fonds traite de la disparition de métiers ruraux (sabotier, tonnelier, bouilleur de cru, ramasseur de vipères…)Filmé au milieu des années 1970 par un professeur des écoles, le monde rural livre ici une palette de près de 30 métiers aujourd'hui disparus.

La collection numérisée met en avant 100 tapisseries parmi les 330 pièces de la collection du musée. Au sein d’une chronologie complète, deux pôles forts sont mis en avant :- La tapisserie au XVIIe siècle, comme support au développement de cycles narratifs appuyés sur l’iconographie des graveurs et peintres européens contemporains (Vignon, Poerson, Moillon, Bosse, Tempesta, Chauveau, Le Brun, etc.)- Le Renouveau de la tapisserie au XXe siècle. La collection est représentative du mouvement des peintres cartonniers initié par Jean Lurçat à partir de 1937-1938.

Fonds du cinéaste Jean-Pierre Valladeau – plus de 30 films et documentaires, récompensés à Cannes, Barcelone, Mendoza, Melbourne, Malte …Un des plus grands cinéastes Limousin des années 1970-1980 dont l'œuvre est aujourd'hui méconnue – Ses films d'animations, tel le "Moutier d'Ahun", témoignent d'un savoir faire du tournage image par image. Le fonds comprend une cinquantaine de bobines (principalement 16mm, mais aussi quelques 8mm).Le fonds contient également :-"Industrie de la ganterie à St Junien" (1970)-"Ostensions de S-Junien" (1967 – 1974 – 1981 - 1988 et 1995)