Le fonds est composé des registres matricules militaires du département de l’Ariège, en particulier de ceux qui correspondent à la période de la guerre 1914-1918 (avec indexation : possibilité de recherche par nom de personne et par lieu de naissance).Les registres matricules militaires sont une source de tout premier plan pour l’histoire des personnes et donc des familles. La demande généalogique est forte. Les registres de la période de la Première Guerre mondiale ont un intérêt supplémentaire. Dans le cadre du centenaire de cette guerre, les demandes se multiplient, non seulement demandes individuelles de descendants mais aussi demandes collectives d’associations et de communes qui souhaitent élaborer des outils d’hommage aux « poilus » : listes, livres d’or et autres publications., avec souvent un volet scolaire de ces initiatives.

Minutes de notaires de l'Ariège, XVIIe siècle.

Registres paroissiaux et état civil de l'Ariège, XVIe-XIXe siècle

Ces collections issues du fonds du COMDT (Centre Occitan des Musiques et Danses Traditionnelles, Toulouse Midi-Pyrénées) ont été réalisées dans plusieurs régions occitanes : Gascogne (Landes, Armagnac, Couserans, Lomagne, Bazadais, Béarn), Languedoc (Gévaudan, Périgord), Limousin, Auvergne et vallées occitanes (Piémont italien). Elles portent sur la musique instrumentale et vocale, la danse et la littérature orale (contes et récits). Les enregistrements sonores contiennent essentiellement des œuvres interprétées (chants, contes, récits, morceaux instrumentaux) ainsi que des témoignages et des récits de vie. Ils sont en français et en occitan et ont été effectués entre 1961 et 1982.

Les registres matricules disponibles aux Archives départementales de la Haute-Garonne couvrent la période 1867-1938. Le centenaire de la Grande Guerre conduit à numériser l’ensemble des registres depuis l’origine jusqu’à 1921 (499 volumes).Il est à noter que la numérisation des registres de la Haute-Garonne rendra également service au département de l’Ariège, dans la mesure où le bureau de recrutement de Saint-Gaudens a couvert au XIXe siècle l’arrondissement de Saint-Girons.