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Le Musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Compiègne est né de la générosité d'un mécène local : Antoine Vivenel. Entrepreneur-architecte,il fit fortune à Paris sous le règne de Louis-Philippe. Il rassembla alors une importante collection où se développe son goût pour l'Antiquité classique et la Renaissance. Dès 1839, il décida d'offrir la totalité de ce patrimoine à sa ville natale.Cette collection est exceptionnelle notamment par un bel ensemble de céramiques grecques. Emaux de Limoges, faïences de Palissy, verreries de Venise, majoliques d’Italie, grès rhénans, étains de Nuremberg rappellent les fastes de la Renaissance Européenne. Des tableaux, peintures, sculptures et objets d’arts des 18ème et 19ème siècles complètent cet ensemble.La numérisation se répartit comme suit :- Peinture : 127- Arts graphiques : 774 dessins, 19 enluminures, 938 estampes- Arts décoratifs : 1468 dont 103 accessoires de mode, 97 bijoux, 871 céramiques, 15 horlogeries, 4 instruments de musique, 7 orfèvreries, 64 textiles, 133 verreries…- Archéologie : 1016- Histoire : 39- Architecture : 7- Numismatique : 4- Ethnographie : 192
Collection numérisée
L'ECPAD possède un ensemble de collections d'origine privée, d'importance numérique très variable, entrées par donation ou par achat. Ces fonds privés permettent de compléter ses propres collections, en particulier pour les périodes antérieures à 1915 (date de création de la section photographique des armées) ou de l'Entre-deux-guerres (suppression de la section).Les thèmes en sont très variés, mais toujours en rapport avec l'histoire militaire de la France, qu'il s'agisse d'images ayant directement trait à la guerre : combats, armement, vie des troupes etc. ou qu'il s'agisse de sujets photographiés par un militaire en poste, présentant ainsi le point de vue particulier de tel ou tel acteur, différent du point de vue de la section officielle des photographes de l'armée.L'histoire de la colonisation et de la décolonisation est l'un des thèmes le plus illustré ; on peut citer parmi les collections notables :- La collection Imbert, réalisée par deux frères, tous deux militaires, qui constitue un excellent témoignage sur la vie coloniale en Algérie, au Tonkin et à Madagascar avant la première guerre mondiale ;- La collection Audouin-Dubreuil, qui présente une mission transsaharienne, la mission Saoura-Tidikelt, effectuée par des militaires en vue d'établir une liaison nord - sud entre l'Algérie et le Niger, par voie routière, ferroviaire et aérienne ;- La collection Baron, témoignage sur la guerre d'Indochine vécue par un jeune lieutenant ;- La collection Petitpierre, qui présente le travail de reconstruction des ponts détruits par sabotage durant la guerre d'Indochine.
Collection numérisée
Le document cartographique le plus remarquable de la Bibliothèque est contemporain du premier siècle d’existence du Havre. Il s'agit d'un portulan espagnol pour lequel diverses attributions ont été avancées sans jamais l'emporter totalement. Quoique ne portant pas de signature, le portulan est attribué au cartographe espagnol, Bartolomeo Olives. Ce dernier est le plus célèbre des membres d'une famille qui s'est distinguée dans la confection de cartes à Majorque, entre 1532 et 1588.
Collection numérisée
Videomuseum est un réseau de musées et d’organismes gérant des collections d’art moderne et contemporain (musées nationaux, régionaux, départementaux ou municipaux, Fnac, Frac, fondations) qui se sont regroupés pour développer, en commun, des méthodes et des outils utilisant les nouvelles technologies de traitement de l’information afin de mieux recenser et diffuser la connaissance de leur patrimoine muséographique. Videomuseum fédère 56 collections et recense à ce jour 20 000 artistes, 220 000 œuvres et 110 000 images, consultables dans chaque organisme (octobre 2005).Les méthodes et outils utilisés dans ce réseau permettent :• L’informatisation de la documentation et de la gestion des collections par le logiciel Gcoll (inventaire, photothèque, médias numériques, régie, ateliers, constats d’état, restauration, mouvements des œuvres…).• La diffusion de la connaissance de ces mêmes collections par le logiciel Navigart (Internet, CD-Rom) ou par les catalogues de collection.
Collection numérisée
Ce fonds essentiellement photographique concerne les fouilles sous-marines du domaine maritime français ou l'étude des sites subaquatiques (eaux non salées), couvrant une période s'étalant de la préhistoire au XXe siècle. Ce fonds unique témoigne des fouilles archéologiques sous-marines et subaquatiques réalisées en France ou lors de missions à l'étranger depuis les débuts de la plongée en scaphandre autonome dans les années 50.A terme ce sont 90000 clichés mais aussi des bandes magnétiques et des archives scientifiques qui seront accessibles aux chercheurs comme au grand public.Ce fonds est complété par un apport de 30.000 photographies liées à une autorisation de fouille archéologique sous-marine : photos sous-marines des différentes étapes de la fouille, photos de travail sur les embarcations et à terre, photo d'inventaire mobilier, photos d'archives..Ces photos couvrent la période début des années 1950 à 2006.En outre, en 2013, d'importants fonds photographiques viennent encore enrichir la base -et remplir les lacunes-, avec les photos de fouilles d'intervenants extérieurs au DRASSM. Ces fouilles sous-marines ont été réalisées dans le domaine public maritime en Atlantique, Manche, mer du Nord et Outre-mer, par, en particulier, Jean-Marc Retornaz, Max Guérout, René Ogor, Michel Cloatre, Gilles Millot, Jacques Ouchakoff, Gérard Bousquet, André Lorin, Bernard de Maisonneuve et Alain Richard. Il s’agit essentiellement d’épaves modernes et contemporaines, de mouillages d’époque moderne, de sites d’estran et de nombreuses épaves métalliques photographiées à plusieurs années d’intervalles. La numérisation concerne également les fonds photographiques des pionniers de l’archéologie sous-marine en Corse, Sérafini, Ambroggi, Léderer, Grosjean… Il s’agit là d’épaves antiques avant pillage.
Collection numérisée
Ce projet consiste à numériser un premier ensemble du fonds photographique de l'agence de la France d'outre-mer. L'agence de la France d'outre-mer, créée en 1919, avait pour mission de centraliser et mettre à la disposition du public métropolitain des renseignements de tous ordres sur les colonies françaises. Son fonds documentaire, aujourd'hui conservé par le Centre des archives d'Outre-mer, comporte d'importantes collections photographiques. Les photos de la première série, prises par des administrateurs coloniaux en tournée ou par des membres de missions scientifiques, touchent à des domaines aussi variés que le milieu naturel, l'urbanisme, les infrastructures, l'ethnologie, les activités économiques, les arts, la religion ou la vie quotidienne des populations. On y trouve également des photos de notabilités. Ce fonds, riche de 13.000 photos, dresse un portrait encyclopédique des anciennes colonies françaises en Afrique, en Asie, aux Antilles et dans l'Océan indien, ainsi qu'en Océanie pour la période 1938 à 1958.
Collection numérisée
Les Archives Nationales (anciennement Centre historique des Archives nationales (CHAN)) conservent au sein des archives du ministère de la Justice l'ensemble des décrets originaux realtifs à la nationalité française de 1814 à 1930. Parmi ceux-ci, les décrets datant des années 1883 à 1930, estimés au nombre de 20 000 (150 000 pages) conservés dans 87 cartons d'archives cotés BB/34/387 à 473.L'objectif de ce projet est de mettre ces décrets à la disposition du public, qu'il s'agisse du lectorat classique ou des correspondants éloignés, sous la forme d'une banque d'images numériques consultable sur Internet. Ces documents sont à la fois des sources primaires et des instruments de recherche.En effet, les décrets de naturalisation sont une des sources administratives de l'histoire de l'intégration des populations étrangères (immigrés) ou des populations placées sous la domination française (populations natives des colonies françaises de l'époque) dans la population française. Chercheurs en histoire politique ou sociale, particuliers en quête de leurs ancêtres, ou motivés par la nécessité de produire la preuve de leur nationalité par filiation, services des ministères des Affaires étrangères et des Affaires sociales (situés à Nantes), ont besoin de consulter cette collection. Or, bien que communicables de droit, ces documents originaux sont fragiles et ne supporteraient pas des manipulations répétées. Les décrets sont certes publiés au Bulletin des lois et décrets (jusqu'en 1923) puis au Journal officiel ; mais la publication s'est faite de façon discontinue par livraisons successives, souvent de façon différée, et toujours au sein de volumes contenant l'ensemble énorme des décisions de nature ponctuelle ; tout ceci complique les recherches basées sur un intervalle de dates.D'autre part seuls les décrets originaux portent en marge le numéro des dossiers de naturalisation correspondants, eux-mêmes conservés aux Archives nationales, qui contiennent les pièces rassemblées lors de l'instruction de la demande de naturalisation : de très nombreux et précieux extraits d'actes de naissance ou de mariage de personnes nées ou mariées à l'étranger, des enquêtes policières, des fiches de renseignements individuels.La numérisation directe des décrets et leur intégration dans une banque d'images permettra donc d'améliorer considérablement le service du public en général et de faciliter l'accès à des données administratives fondamentales.
Collection numérisée
La bibliothèque du Tourisme et des Voyages a découvert ce volume dans la collection de la bibliothèque du Touring-Club de France, conservée dans ses fonds. Les magnifiques cartes gravées et coloriées de ce volume ont justifié sa numérisation. Il présente l'Espagne, le Portugal, l'Italie et le sud de l'Europe, l'Asie, l'Afrique et l'Amérique. On peut y découvrir la représentation du monde à l'époque, et apprécier l'imagination décorative des cartographes (animaux, végétation, cartouches, etc.)Les pages de gravures alternent avec des pages de textes, souvent savoureux, en français, sur les pays représentés.Il fait partie d'un ensemble de 7 volumes, dont 6 par Guillaume et Ioan Blaeu aux gravures non coloriées.Il est à noter que Hondius-Janssonius et les Blaeu, tous deux installés à Amsterdam, étaient des éditeurs d'atlas concurrents au XVIIe siècle où la cartographie hollandaise faisait autorité.Ces atlas étaient les livres les plus chers vendus sur le marché à l'époque, et la concurrence entre les différents éditeurs stimulait une production de luxe européenne puisqu'ils étaient édités en plusieurs langues.
Collection numérisée
L'origine du fonds est l'Exposition coloniale de Vincennes (1931) et le Congrès de musique du Caire (1932) au cours desquels des enregistrements de rassemblements de musiciens d'Orient furent effectués sous l'égide de Philippe Stern, conservateur du musée Guimet.A ces archives sonores se sont ajoutés des fonds d'origine chinoise et japonaise, mais aussi d'autres pays de civilisation orientale, dont les traditions musicales tendaient à l'appauvrissement voire à la disparition du fait des aléas de l'Histoire et du colonialisme en particulier.Des missions ethnographiques sont à l'origine aussi de documents sonores inédits des années 1950-1960.Les régions concernées par ces fonds sonores sont l'Asie, le Moyen-Orient, l'Afrique du Nord et l'Afrique sub-saharienne.Les types de support se répartissent en cylindres, disques, microsillons, bandes magnétiques, cassettes et CD.
Collection numérisée
L'Agence photographique de la Réunion des musées nationaux dispose d'un fonds constitué de plus de 300 000 images couleur grand format (fichiers haute définition) et de 500 000 négatifs noir et blanc se rapportant essentiellement aux œuvres conservées dans les musées nationaux français : peintures, sculptures, objets d'art, dessins, photographies.Ce fonds, qui ne cesse de s'enrichir, offre un panorama représentatif de l'histoire de l'art, de l'archéologie, de l'architecture et de l'ethnologie au travers des domaines suivants : archéologie française, égyptienne, orientale, gréco-romaine ; civilisations asiatiques (Inde, Chine, Japon, ...) ; Islam ; arts du Moyen-Age, de la Renaissance, des XVlle, XVllle et XlXe siècles et début du XXe siècle ; arts d'Afrique et d'Océanie.
Collection numérisée
Fonds de 28 000 courts métrages sur cassettes VHS inscrits au Festival du court métrage de Clermont-Ferrand avec un accroissement annuel de 4 000 cassettes. 70 % de films européens dont 25 % français. Durée moyenne de 15 minutes.Numérisation pour archivage et consultation sur serveur vidéo. Permettre la consultation sur des bornes vidéo au Centre de documentation de La Jetée, mais aussi sur le réseau câblé de bibliothèques de Clermont--Communauté et par Internet, sous abonnement, aux collèges, lycées et universités ainsi que vers le monde professionnel (d'organismes, festivals, télévisions).
Collection numérisée
Couverture photographique (simultanément sur supports argentique et numérique) des collections dans le cadre de l'inventaire.
Collection numérisée
Le M.A.A.O.A tente de concilier la contemplation avec les informations scientifiques sur les hommes et les sociétés.- Donation Guerre : composée de 87 masques et sculptures dont la majorité provient de l'Ouest de l'Afrique. Un nombre important d'objets a figuré dans les plus grandes expositions internationales : le masque des Marka (Mali), les trois reliquaires des Fang (Gabon), le masque des Gouro-Bété (Côte d'Ivoire)- Donation Gastaut : série unique au monde regroupant 90 crânes humains sculptés, peints, gravés, surmodelés ou réduits (crânes de la vallée du fleuve Sépik, en Papouasie-Nouvelle-Guinée ; crânes du Vanuatu ; têtes réduites des indiens d'Amazonie, les Jivaros...), ainsi que de magnifiques "objets" tels que la tête des indiens Mundurucu (Brésil), les trois masques de Nouvelle-Bretagne, les crânes de Nouvelle-Bretagne (Papouasie-Nouvelle-Guinée) Ensemble exceptionnel de 150 pièces et objets rituels de l’île de Malakula, archipel du Pacifique.Le projet a pour but de numériser 2 registres d'inventaires, 650 objets ainsi que des films qui s'ajoutent aux 2800 objets déjà numérisés.
Collection numérisée
Ensemble de 335 clichés verre stéréoscopiques 10,8x4,5 cm positifs et négatifs réalisés entre 1897 et 1901 par le capitaine Henri Gaden. Excepté quelques photos de famille, ces clichés ont été pris lors d'expéditions militaires menées en Afrique de l'ouest, il en ressort un vif intérêt pour la vie indigène doublé d’une parfaite maîtrise de l'art et de la technique photographique dans des conditions extrêmes. Henri Gaden fait de nos jours référence en matière d’ethnologie. La famille d'Henri Gaden a fait don en 1975 aux Archives municipales de Bordeaux de cette série de clichés, sachant que d’autres collections existent, notamment aux Archives nationales d'Outre-mer (Aix-en-Provence).
Collection numérisée
Les oeuvres numérisées l’ont été sans plan d’ensemble mais au coup par coup, pour répondre à des demandes ponctuelles. Plus de mille images ont été ainsi numérisées, parmi lesquelles : maquettes de la Dordogne et de la Garonne (sculptures allégories – XIXème s. – plâtre) ; corniche au bouffon au bonnet d’âne (XIXème s. – bois) ; masque sculpté au visage grotesque (1607 ? – pierre) ; vierge de Lufasson (XVIIème s. – bois) ; trophée d’angle « l’Amérique » (XVIIIème s. – sculpture en marbre) ; portrait de madame de Brèzets (XVIIèmes s. – peinture) .
Collection numérisée
Reportages de 3 à 8 minutes sur des fouilles archéologiques réalisés par l'Inrap.Les quelques 2000 chantiers d'archéologie préventive, en nombre croissant, qui s'ouvrent chaque année ont révolutionné nos connaissances. Grâce à eux, l'archéologie a changé d'échelle. Désormais, un campement préhistorique sera étudié dans sa totalité, sur plusieurs hectares. En ouvrant des "fenêtres" continues sur plusieurs dizaines d'hectares, les archéologues reconstituent l'histoire d'un paysage au long des millénaires. Ce ne sont pas toujours les monuments en pierre qui nous apportent les connaissances les plus précieuses sur les sociétés anciennes, mais souvent des traces à peine perceptibles. Toutes les informations recueillies sont mises en forme (dessinées, photographiées, décomptées, traitées sur ordinateur, etc.) classées et comparées, avec le concours de nombreuses disciplines scientifiques.Ainsi, la convergence de tous les moyens actuellement connus pour observer notre sol et son contenu permet désormais de définir l'archéologie comme l'étude des sociétés humaines à travers leurs traces matérielles.
Collection numérisée
Catherine Miller a enregistré 57 enquêtes au Sud Soudan sur deux années : 1981 et 1984. Dans cette région d'Afrique de l'Est, charnière entre le monde arabo-musulman et le monde africain, s'est développée à partir de 1956 une variété d'arabe vernaculaire appelé juba-arabic. Ce phénomène a particulièrement été observé à Juba, capitale de la Province d'Equatoria au Sud Soudan où ont été réalisées la plupart des enquêtes. A partir de ces matériaux, Catherine Miller a étudié l'expansion du juba-arabic au détriment des langues vernaculaires et les enjeux culturels, économiques, politiques et éducatifs de l'arabisation dans cette région du pays.
Collection numérisée
Archives iconographiques composées de photographies, de cartes et plans manuscrits et imprimés et de films 16 mm. Ces documents intéressent en particulier l'Océanie (Nouvelle-Calédonie, Tahiti), l'Afrique (Cameroun, Gabon, Togo, Zambie, Madagascar), et la France, sur la période 1880-1971. Les films 16mm ont tous été réalisés dans les années 1950.On peut citer par exemple, les fonds photographiques Siméon Delord et Magnus-Perrot qui documentent la période 1880-1920 et qui sont particulièrement intéressant pour l’histoire coloniale de la France à Madagascar, ou le fonds Broussous, qui illustre l’art des chefferies Bamileke au Cameroun dans les années 1950.En lien avec ces collections, on notera aussi des documents ayant trait à l'ethnologue Maurice Leenhardt, missionnaire de la Société des missions évangéliques de Paris (SMEP), au sein des archives de Nouvelle-Calédonie ou des Archives d'Outre-Mer (ex. CAOM). La Bibliothèque Nationale de France (BnF) possède un exemplaire d'un album de François Coillard, explorateur et missionnaire au Zambèze à la fin du XIXe siècle.
Collection numérisée
Collection d'objets provenant d'Afrique, d'Amérique et des îles océaniennes.
Collection numérisée
Le fonds à numériser comprend les films d'animations présentés en sélection officielle les des différentes éditions du festival international du film d'animation. A ce jour, 3 864 films sont à numériser, plus 10 567 films soumis à autorisation. Les films sont actuellement stockés sur cassette vidéos (VHS, Betacam, Umatic) et sur pellicule (35 et 16 mm).
Collection numérisée
Ces collections sont composées en grande majorité d'objets d'Afrique et d'Océanie. On trouve également des collections minimes issues du Grand Nord, de Madagascar, d'Asie et d'Amérique du SudLe tout représente environ 1000 objets.
Collection numérisée
Constitué par le Centre de Documentation REGARDS (ex-CEGET) à partir de 1968, le fonds Madagascar est l’un des fonds contenant des cartes topographiques correspondant aux débuts de la cartographie régulière de ce pays (fin du XIXe siècle et début du XXe siècle). Outre des cartes topographiques de reconnaissance à diverses échelles, le fonds contient des cartes topographiques régulières à des échelles complémentaires (1/20.000ème à 1/200.000ème) et des cartes thématiques. Les programmes de recherche actuels de l’UMR ADES sur Madagascar sont utilisateurs de ces fonds cartographiques. Leur diffusion via le CN2SV permettra à d’autres chercheurs de connaître leur existence.
Collection numérisée
L'association Africultures qui travaille sur l’immigration africaine (maghrébine et subsaharienne) s’est rapprochée de Génériques pour qu’un partenariat en lien avec le catalogue Odysséo et la numérisation de documents puisse être mis en œuvre.La collection se compose d’archives privées collectées par l'association Africultures appartenant à des Africains résidant en foyers de migrants. Un des projets d’Africultures sur les foyers de migrants comprend un volet de recueil de témoignages. Ce recueil permettra la collecte de documents annexes et d'archives privées (photographies et autres).
Collection numérisée
L’objet de ce programme est de mettre à disposition des correspondances d'artistes, et des papiers d'archéologues (égyptologie, antiquités grecques, étrusques et romaines, antiquités orientales), d'historiens de l'art et de conservateurs.Cette opération est menée dans le cadre des projets de l’Institut national d’histoire de l’art.
Collection numérisée
Michel Leiris écrivain et ethnologue est né à Paris en 1930 et mort en 1971.Il fut le secrétaire de la mission ethnologique Dakar-Djibouti (1931 - 1933) et témoigna de son expérience dans son journal de voyage, L'Afrique fantôme (1934). Il poursuivit ses recherches sur les sociétés primitives au musée de l'Homme et au CNRS, soutint sa thèse sur la Langue secrète des Dogons (1939) et fonda avec Roger Caillois et Georges Bataille le Collège de sociologie. Il dirigea le département Afrique noire du Musée d’ethnographie (puis Musée de l’homme) de 1934 à 1948. Entré au CNRS en 1943, il terminera sa carrière en tant que directeur de recherche. Leiris fut également un intellectuel engagé dans les conflits coloniaux et politiques du XXe siècle.Le laboratoire d’anthropologie sociale conserve dans ses archives les documents se rapportant à la carrière d'ethnographe de Michel Leiris : pièces administratives, correspondances, notes de cours, dossiers d'expositions, enquêtes et manuscrits.La correspondance inclut des courriers de personnalités du monde des musées, des institutions internationales de la culture et de l'éducation, de collectionneurs, ethnologues, écrivains et artistes, ou encore des militants de la cause noire (Afrique-Antilles).Les archives littéraires de Michel Leiris sont déposées à la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet.
Collection numérisée
Numérisation progressive de l’ensemble des collections dans le cadre du chantier de récolement. Ceci comprend de l’archéologie régionale et méditerranéenne ; beaux-arts et arts décoratifs ; archéologie extra-européenne (Amérique, Océanie, Afrique et Asie) ; numismatique, arts graphiques ; manuscrits ; incunables ; autographe (usage : affichage écran pour consultation documentaire).
Collection numérisée
Le service photographique de la Présidence de la République est chargé de couvrir par ses reportages l'ensemble des activités du Président ; ses archives, qui sont versées aux Archives Nationales (anciennement Centre historique des Archives nationales (CHAN)), représentent un témoignage de première importance pour l'histoire intérieure et internationale de la France, au travers de l'institution présidentielle.Pour les septennats de F. Mitterrand, les Archives Nationales disposent de 16 500 tirages, qui sont une sélection opérée par le service photographique, à partir d'un ensemble de plus de 100 000 clichés.Pour le septennat de V. Giscard d'Estaing, les Archives Nationales disposent de 1 815 reportages, soit environ 102 000 clichés.Une meilleure conservation de ces ensembles qui portent sur la période 1974-1995, leur plus large diffusion et par là même leur valorisation passent par leur numérisation exhaustive.
Collection numérisée
La Bibliothèque en ligne de l'Agence universitaire de la francophonie a pour objectif de diffuser les publications originales des réseaux de chercheurs de l'AUF (monographies de recherche et actes de journées scientifiques) ; de contribuer à rendre ces publications savantes accessibles au plus grand nombre grâce au vecteur électronique ; de participer à la conservation de fonds documentaires scientifiques francophones de titres définitivement épuisés dans leur version originale imprimée.Plus de 80 livres numérisés sont actuellement consultables gratuitement en texte intégral.
Collection numérisée
Le fonds concerne l’évolution d’une industrie stratégique pour l’électrification de la France pendant l’entre-deux guerres et dont le développement après-guerre a fortement influé sur l’économie et la politique de certains pays africains avant et après la décolonisation (Cameroun, Guinée). Il permet à travers les témoignages des dirigeants du premier groupe industriel privé français dans les années 1970 de comprendre certains aspects de la politique industrielle du président Pompidou (champions nationaux).Le fonds est composé de témoignages oraux enregistrés sur cassettes analogiques 60 minutes, demandés à des acteurs représentatifs de l'industrie de l'aluminium.Ce fonds de 150 entretiens sera porté à 195 d'ici à 2008 (384 heures, moyenne des entretiens : deux heures). Il aborde l'histoire des sites industriels, leur environnement, le management de la décision, l'histoire de la recherche et du développement, les rapports sociaux et le marketing.Il couvre non seulement l'ensemble de la France mais d'autres zones géographiques concernées par l'industrie de l'aluminium : Amérique du Nord, Afrique sub-saharienne, Océanie et, en Europe, les Pays-Bas.Ce fonds est unique par sa cohérence et par la connaissance transversale du domaine qu'il permet d'acquérir.
Collection numérisée
Les collections d'ethnographie africaine ont été collectées tout au long du XIXe siècle et au début du XXe siècle par des officiers de marine ou des voyageurs cherbourgeois. Ils ont recueilli dans les régions connues des Européens, c'est-à-dire près des côtes et le long de quelques fleuves, sans préciser le lieu exact et les conditions de ces collectes, ni les fabricants des objets, suivant en cela un ancien schéma d’acquisition.Les collections se répartissent en 6 catégories :- objets cultuels (masques, statues)- objets liés au pouvoir temporel (cannes, tabourets, récades)- armes- objets de la vie quotidienne- instruments de musique- ornementsLes objets proviennent principalement du Gabon, de la Côte d'Ivoire, du Congo, du Dahomey, du Tchad et du Sénégal. A noter également, un petit fonds d'objets algériens.
Collection numérisée
Le Musée des Arts africains et asiatiques (maison du missionnaire) aide à la connaissance du patrimoine artistique extra-européen. Il présente les richesses et les diversités des contacts entre civilisations.Les œuvres pour la collection asiatique proviennent essentiellement de Chine et d'Asie du Sud Est, conséquence de la présence coloniale française en Indochine: le Vietnam, le Laos, le Cambodge sont bien représentés.Grâce à la reconnaissance d'utilité publique acquise en 1928, l'association fut habilitée à recevoir des dons et des legs. Tout au long du XXe siècle, de généreux donateurs complétèrent les collections ; ce sont eux qui, aujourd'hui, continuent à faire exister le Musée des Arts d'Afrique et d'Asie.Dans la collection africaine, les œuvres témoignent aujourd'hui de la richesse et de la diversité des arts traditionnels africains. Trois grandes aires géographiques sont couvertes : le Maghreb, l'Afrique de l'ouest (Côte d'Ivoire, Burkina Faso, Mali, Bénin) et l'Afrique centrale (Gabon, République du Congo, République démocratique du Congo).Ces œuvres seront bientôt disponibles sur la base "Joconde".
Collection numérisée
Revue sur la littérature de jeunesse francophone et la lecture des jeunes dans le monde arabe, en Afrique et dans la Caraïbe : analyse critique des nouveautés, dossier thématique sur la littérature et la lecture jeunesse, actualités de la littérature jeunesse et de la lecture jeunesse (prix, salons, expos, actualités dans les écoles, réseau critique etc…)
Collection numérisée
Le musée a été ouvert grâce aux collections de l'École de dessin de Dijon fondée par François Desvoge (peintures, copies de maîtres romains, sculptures copies d'antiques...), auxquelles se sont ajoutés les saisies révolutionnaires et les envois impériaux (1803, 1809, 1812).Antiquités étrangères, grecques et romaines, égyptiennes, art moderne et contemporain, arts décoratifs (céramique, mobilier, orfèvrerie, textiles, verrerie), Beaux-Arts (dessin, estampe, peinture, sculpture), civilisations extraeuropéennes, collections militaires, moulages, numismatique.Le musée compte environ 100.000 oeuvres.
Collection numérisée
L' Institut CGT d'histoire sociale comprend 220 000 photographies portant sur l'histoire sociale et culturelle de la France et notamment sur les mouvements sociaux du XXe siècle.Il s'agit aussi d'une importante représentation du monde du travail et de groupes sociaux comme les immigrés, les retraités, les femmes...Une partie du fonds concerne également une centaine de pays étrangers.Il vient de s'enrichir de quelques photographies de la collection d'affiches et du matériel syndical de la CGT (ex : les unes de nos organes syndicaux).
Collection numérisée
Créée en 1992, la Bibliothèque numérique de la BnF compte actuellement 90000 ouvrages numérisés en mode image, 1250 titres en mode texte et 300000 images fixes. Les fonds numérisés constituent une bibliothèque patrimoniale et encyclopédique. Les fonds d'images fixes proviennent des collections spécialisées de la BnF ainsi que de nombreuses collaborations avec des établissements publics et privés. Sur les sites de la BnF, un intranet donne accès à tous les documents libres de droits ou relevant de conventions avec les éditeurs. Sur Internet, le site Gallica ne diffuse que des fonds du domaine public, soit 50000 imprimés, 80000 images et quatre heures de documents sonores. Ces documents sont imprimables et téléchargeables par le lecteur, dans le cadre d'un usage strictement privé.
Collection numérisée
L’objet de ce programme, menée dans le cadre du programme de numérisation de l’INHA, est de mettre à disposition l’ensemble des catalogues imprimés du musée du Louvre antérieurs à 1920. Un première phase, menée en 2002, a permis le traitement de 73 catalogues du département des Antiquités Grecques, Etrusques et Romaines, datant de 1800 à 1918.
Collection numérisée
± 2.700 heures de documents sonores non publiés. Essentiellement, musiques traditionnelles des cinq continents. Enregistrements les plus anciens : 1900.
Collection numérisée
La collection sur la seconde guerre mondiale regroupe différents fonds photographiques.Les fonds alliés (environ 112000 clichés)- la Drôle de guerre (septembre 1939 - mai 1940) : ce fonds témoigne de la vie en campagne des armées françaises, de la mer du Nord à la frontière italienne, entre la déclaration de guerre et le début de la campagne de France. Il est particulièrement riche en matériel militaire, on y trouve également de nombreux clichés sur les rencontres sportives, les prises d'armes, la ligne Maginot, la participation des mobilisés aux travaux agricoles, les usines d'armement. Les combats de la Campagne de France ne sont pas abordés ;- Vichy (octobre 1940 - début 1944) : ce fonds concerne les activités protocolaires du gouvernement de Vichy et celles de l'armée d'Armistice, essentiellement en zone libre mais également en Afrique du Nord, avant le débarquement allié ;- l'armée de Libération : fonds le plus important sur l'armée française durant la seconde guerre mondiale, il retrace les principaux combats des armées françaises de libération de l'Afrique du Nord à l'Europe, depuis Alger en novembre 1942 jusqu'à la libération des camps de concentration en 1945, en passant par la Corse, l'île d'Elbe, l'Italie, la libération du territoire national, le franchissement du Rhin et la campagne d'Allemagne ;- les Forces Françaises Libres : le fonds photographique est hétéroclite, de valeur inégale. Toutefois un ensemble de reportages sur le gouvernement provisoire du général De Gaulle à Londres permet de présenter les principales figures civiles et militaires ralliées au général, les unités françaises en formation en Angleterre sont également représentées. Le principal handicap du fonds est l'absence de nombreuses légendes et de dates.Le fonds allemand (environ 350000 clichés)Ces photos, réalisées par les Propaganda Kompanien allemandes, constituent la part française d'une prise de guerre faite par les Alliés à la fin de la dernière guerre.
Collection numérisée
Les archives du XVIIIe siècle de la chambre de commerce de La Rochelle constituent un fonds exceptionnel pour comprendre l'histoire commerciale et économique de cette période considérée comme l'âge d'or de la cité rochelaise. La Rochelle est alors un des grands ports du royaume de France et à ce titre, une des premières villes dotées d'une chambre de commerce dont la création remonte à 1719.La chambre de commerce est dirigée par un Directeur, assisté de quatre syndics, désignés pour deux ans par le Roi sur proposition d'une assemblée des 30 principaux négociants rochelais. Un secrétaire permanent est chargé de la rédaction des mémoires, de la tenue des divers registres (assemblées générales, polices d’assurances, copie de lettres). Comme les autres Chambres, l'établissement consulaire de La Rochelle envoie un "député" au Conseil du commerce à Paris. La chambre de commerce intervient de différentes manières sur tout ce qui a trait à la circulation commerciale, en particulier quand il s'agit de trafic maritime. Elle veille à préserver les intérêts de la place de La Rochelle, à garantir aux marchands et notamment aux armateurs le maintien ou l'extension des privilèges qui leur ont été concédés par les autorités publiques.Le fonds de la chambre de commerce de La Rochelle permet également d'étudier les différentes questions relatives à la traite négrière au départ des ports de l'Aunis (La Rochelle et Rochefort). En effet, selon les estimations des historiens, quatre cent vingt-sept navires négriers sont partis de La Rochelle au XVIIIe siècle. Ils ont chargé environ cent trente mille captifs en Afrique, à destination des colonies de l'Amérique et principalement de Saint-Domingue. Pratiqué par plusieurs dizaines de négociants qui vont chercher les capitaux dans les provinces du royaume, à Paris et jusqu'à Londres, Barcelone ou Bâle, le commerce négrier rochelais alimente aussi les ateliers, les échoppes, les chais et les greniers où se fabriquent, se vendent et se conservent les marchandises destinées à l'achat des captifs en Afrique Il irrigue les cabinets des hommes de loi et des comptables dont les écritures et les actes jalonnent le déroulement des expéditions ; il donne du travail aux chantiers navals et assure chaque année la subsistance de plusieurs centaines de matelots, de crocheteurs, de voituriers ou de portefaix.Le fonds est composé de documents textuels papiers constitués de 272 liasses.
Collection numérisée
Documents figurés des archives municipales de Marseille :- Fonds de plaques de verre de la Société des Excursionnistes Marseillais et Photographies de Marseille aux XIXème siècle et XXème siècle (sous-série 33 Fi, 14 Fi, ...) soit 7700 images. Certaines de ces images ont été publiées avec un article "Les photographies des Excursionnistes Marseillais, témoignage d’une « conquête » de la Provence (1897-1914)".- les albums photographiques des Excursionnistes Marseillais soit environ 2000 images du début du XXe siècle,- les portraits sur cartes photographiques du XIXe siècle soit une soixantaine de portraits de personnalités du spectacle.- Fonds photographique du Canal- Fonds photographique Louis Sciarli- Collection photographique attribuée à Eugène Isnardon (1873-1947)- Collection photographique de Jules Simon (1886-1960)- Collection photographique d'Edouard Cornet (1862-1930)- Collection photographique d'Edouard Michel (1871-vers 1951)- Collection photographique de Charles Baron (1866-1927)- Fonds photographique de Victor de Gaudemaris (1835-1918) et des auteurs du Musée de la Photographie Documentaire de Provence (MPDP)- Fonds photographique de la société des Huileries Puget- Fonds Rudolf Kundera- Fonds sur l'Hôpital auxiliaire Belle-de-Mai- Collection André Chevrot- Collection Edouard Laugier
Collection numérisée
Cette collection est composée de l'ensemble des archives publiques de la ville de Saint-Brieuc, de 1559 à 1797 et comprend la série des délibérations de la communauté de ville de 1605 à 1790, les documents en rapport avec les travaux du port du Légué au 18e siècle, les impôts et les comptes de la ville, etc.
Collection numérisée
Cette collection constitue un ensemble exceptionnel de documents sur la thématique de l'esclavage concernant la participation de la France à la traite maritime des esclaves : les journaux de bord des expéditions négrières effectuées par sa principale compagnie commerciale au XVIIIe siècle.A travers ces 128 journaux de bord (conservés aux Archives nationales, Marine 4JJ), les expéditions négrières de la Compagnie des Indes (1721-1757) sont décrites sous trois angles : captifs, équipages et bâtiments.Première et souvent unique trace de milliers de vies emportées dans les migrations forcées de main d'œuvre ayant frappé une grande partie du continent africain, ils inscrivent un passé douloureux au sein de la conscience historique nationale.Avant tout de caractère hydrographique, les journaux de bord sont également les documents premiers de la traite négrière maritime. Le pilote ou le capitaine y relatent les négociations avec les intermédiaires africains pour l'achat des captifs, l'aménagement des navires pour les recevoir, la vie à bord pendant les mois de traversée et ses épreuves (maladies, accidents, disette, décès) ; ils font le décompte de leur cargaison humaine au départ et à l'arrivée, notent les morts, indiquent le prix d'achat et de vente des captifs. Les notations sont parfois agrémentées de dessins à l'encre, certains rehaussés de couleurs.
Collection numérisée
Collection d'estampes (15Fi) et de documents divers (5Fi) sur la Martinique et les Antilles. Ces documents couvrent diversement de nombreux thèmes : faune, flore, types ethnographiques, costumes, architectures, métiers, mœurs et coutumes d'antan, portraits, paysages, cérémonies, catastrophes naturelles et concernent assez largement la traite négrière et l'esclavage.
Collection numérisée
Fonds iconographiques conservés aux Archives départementales ainsi que dans d'autres institutions culturelles réunionnaises qui détiennent d'importantes sources iconographiques sur l’Océan Indien :- Archives départementales : collections iconographiques propres (dont 3000 cartes postales anciennes), estampes, aquarelles, carnets de croquis, collections relatives à l'esclavage, images d'archives sur la Réunion, Madagascar, Seychelles, Comores, Canal de Suez, Djibouti- Bibliothèque départementale : cartes postales et photographies, Exposition universelle 1900- Muséum d'histoire naturelle de La Réunion : photographies, gravures et aquarelles- Musée Léon Dierx : cartes postales, photographies, gravures, dessins, aquarelles- Musée historique de Villèle : cartes postales, photographies, gravures, dessins, aquarelles.
Collection numérisée
Journaux de navigation ou de traite de cinq navires : Le Roy Dahomey, La Suzanne-Marguerite, La Créole, Le Pactole, L'Isle de France (1772-1789).
Collection numérisée
Les textes sources de ce fond (4 247 volumes) rassemblent deux ensembles principaux couvrant principalement le XIX ème siècle : les récits de voyage et les guides de voyage.Le fonds géographie comprend quatre sous-ensembles : les monographies, les ouvrages modernes, les documents sur l'histoire de la géographie et les «Dictionnaires topographiques» de Joanne. Des revues complètent ce fonds : les séries de géographie universelle ou d'ethnologie («L'Ethnographie», «les Annales de géographie de Paris», «la Revue maritime et coloniale»…) ainsi que des titres spécialisés dans les voyages (le «Journal des voyages», le «Tour du monde»…Le fonds ethnologie regroupe des monographies en ethnographie et anthropologie sur l'Afrique et l'Amérique : série du «Smithsonian Institute» sur la civilisation des Indiens d'Amérique du Nord, des œuvres de Delafosse...Ce fonds est riche de documents spécialisés comme les cartes de la collection Bourguignon d'Anville, de photographies de la Société de géographie, portant sur l'Afrique, d'images provenant du Musée de l'Homme et enfin des heures de fonds sonore, issues des «Archives de la Parole».
Collection numérisée
En 2009, la Société photographique et cinématographique de Picardie, présidé par Monsieur Christian Lainé, a fait don aux Archives départementales de la Somme de ses archives. Cet ensemble est composé de plaques photographiques en verre et de négatifs souples mais aussi des archives papier de la Société.Cette association a une histoire plus que centenaire.Le 20 juin 1892, 18 membres fondateurs se réunissent dans les locaux de la "Photographie Moderne" à Amiens pour constituer une association de photographie. La création de la "Société photographique de Picardie" est autorisée par l'arrêté préfectoral du 9 septembre 1892 et la première réunion publique se déroule le 28 septembre 1892 sous la Présidence de Monsieur Hévin.La création de cette société photographique amiénoise n'est pas un phénomène isolé. D'ailleurs, l'Union nationale des sociétés photographiques de France, présidée par Jules Janssen, voit aussi le jour en 1892.A cette époque, les évolutions des techniques photographiques, notamment l'invention de la plaque sèche, permettent aux amateurs éclairés, mais toutefois aisés, de pratiquer la photographie de manière relativement simple et mobile.La Société photographique organise des concours, des expositions, des conférences et des sorties, voir des expéditions, photographiques.La première guerre mondiale interrompt pendant six ans l'activité de l'association. Le 25 mars 1920, sous l'impulsion de Monsieur Emile Ponche, celle-ci renaît de ses cendres, mais le constat est amer. En effet, la société est ruinée. Le matériel, la bibliothèque et les collections photographiques ont été entièrement détruits par les bombardements de la ville d'Amiens en 1918.De 1921 à 1939, grâce à son président, Monsieur Santeul, et au dynamisme et la qualité de ses photographes, la Société photographique de Picardie rayonne tant en France qu'à l'étranger.Le 9 janvier 1931, la Société photographique de Picardie devient la Société photographique et cinématographique de Picardie.La seconde guerre mondiale va ruiner une seconde fois l'association. Mais, grâce la détermination de ses membres, la société se reconstitue et reprend ses nombreuses activités sans interruption jusqu'à aujourd'hui.Cette collection photographique, composée de 7 363 clichés, est essentiellement l'œuvre de Marie Alfred Camille Biendiné, dit "Camille Biendiné", né à Amiens le 27 juillet 1862. Il est issu d'une famille plutôt aisée. Son père, Bon Amable Constant Biendiné est voyageur de commerce et sa mère, Sophie Marie Adèle Deforceville est propriétaire rentière. Célibataire, sans enfant, il consacre sa vie à cette passion pour la photographie. Il décède à Amiens le 27 janvier 1941. Tombées dans l'oubli après son décès, les fragiles photographies ont été sauvées in extremis d'une destruction irrémédiable, par Monsieur René Bernaux. La collection est alors précieusement conservée dans les locaux de l'association, avant de rejoindre les Archives départementales de la Somme en 2009.Camille Biendiné participe activement aux activités de la Société dès sa création. Il en est le trésorier à compter du 25 avril 1896 et le restera pendant plusieurs décennies. Témoin de son temps, il parcourt le département de la Somme à bicyclette, son matériel photographique sur le dos, et fixe sans relâche sur verre des scènes de la vie rurale, des ambiances urbaines ou campagnardes, des sites et monuments, des scènes de manœuvres militaires en Picardie à la veille de la première guerre mondiale. Par ailleurs, ce fonds photographique comporte également de nombreuses vues réalisées lors de voyages d'études ou de conférences photographiques dans d'autres régions de France (Alpes, Paris, Pyrénées, etc.), en Europe (Italie, Suisse) mais aussi dans des contrées plus lointaines (Madagascar, Egypte, Maroc, Algérie).Un des intérêts du fonds réside dans la présence, à côté des photographies elles-mêmes, d’archives papier de nature à les éclairer. Les registres des délibérations de l'assemblée générale de la Société photographique et cinématographique de Picardie ont d'ailleurs été numérisés pour la période 1892-1965.Cette collection est une source documentaire remarquable pour illustrer des recherches : cadre de vie, métiers, études sociologiques, géographie et évolution de la morphologie urbaine et rurale, histoire de l'art, monuments et sites remarquables, histoire militaire, ethnologie, l'art et les techniques de la photographie, histoire rurale, etc.
Collection numérisée
Numérisation des plaques de verre d'une dizaine de fonds conservés aux archives départementales de l'Ain. Ces plaques de verre couvrent la période 1890-1950. Elles sont de nature et de dimensions diverses : négatifs, positifs, plaques de verre stéréo, autochromes. L'iconographie est elle aussi variée : paysages, monuments, événements historiques ou de la vie sociale, familles, portraits. Elle intéresse essentiellement l'Ain mais aussi d'autres régions limitrophes ou plus lointaines, notamment le Tchad.Les derniers fonds sont numérisés en 2012, dont l’exceptionnel fonds Bernard, d’une lignée de photographes belleysans.
Collection numérisée
La collection sur la première guerre mondiale regroupe l'ensemble des clichés pris par les photographes de la Section Photographique des Armées (SPA), de 1915, date de sa création, à 1919, date de sa suppression. Le Grand Quartier Général en avait fixé les objectifs dès mai 1915 : " prendre tous clichés intéressants : au point de vue historique (destructions, ruines...), au point de vue de la propagande par l'image à l'étranger, au point de vue des opérations militaires, par la constitution d'archives documentaires. "Au total, 120 000 clichés environ ont été réalisés, sur plaques de verre de tous formats, notamment en relief et panoramique.On trouve d'abord dans ce fonds les images directement liées à la guerre : le front (front ouest et front d'Orient), les poilus, l'entraînement, le service de santé, les prisonniers etc. Mais on y trouve également nombre de vues d'oeuvres d'art, de monuments, de musées etc., photographiés avant ou après destruction ; on y trouve encore l'effort économique de l'arrière, en métropole comme dans les colonies : les usines, le rationnement, les femmes au travail, la production agricole... ; on y trouve enfin des clichés sur la vie politique et diplomatique : les visites officielles de chefs d'État ou de délégations étrangères, le traité de Versailles, etc.Ces différentes facettes trouvent leur explication dans l'organisation de la SPA, qui était une création conjointe des ministères de la Guerre, de l'Instruction publique et des Beaux-Arts et des Affaires Étrangères.En dehors des prises de vue effectuées sur tous les fronts, la SPA réalisait un travail très complet, permettant d'assurer la conservation et la communication des images de façon très rapide :- développement et tirage des clichés, en particulier à destination des journaux, des pays étrangers et des Alliés ;- indexation, classement et archivage des clichés ;- publications et organisation d'expositions, en France et à l'étranger.
Collection numérisée
Deux catégories de films constituent cette collection consacrée à la Seconde Guerre mondiale : les films français d'actualité et les films de synthèse.Les films français d'actualité correspondent à deux phases du conflit :1939-1940 : La drôle de guerreDès le début du conflit, un " Journal de guerre " est créé pour les armées et services officiels. Diffusé dans les pays alliés ou neutres, il permet de contrer le cinéma de propagande allemand. Trente-trois numéros de ce Journal, montés pour la plupart par Jean Delannoy, se succèdent ainsi sur un rythme hebdomadaire d'oct. 1939 à juin 1940.1944-1945 : la libération de l'EuropeEn 1944, avec la libération progressive de l'Europe, la production de magazines d'actualités reprend sous trois formes : " France Libre Actualités " produit par le Comité de Libération du Cinéma Français (sept. 1944 - janv. 1945), " Magazine du SCA " (nov. 1944 - nov. 1945) et " Journal filmé de l'armée " (avr. - sept. 1945).Les films de synthèseDès 1944, le Service Cinématographique des Armées réalise des films de synthèse sur la Seconde Guerre mondiale, en adoptant le plus souvent le point de vue des Forces Françaises Libres. Montés avec les images tournées par les opérateurs en Afrique du Nord puis en Europe (Italie, France et Allemagne), ces films retracent soit l'ensemble du conflit, comme dans " La grande épreuve " (référence SCA 13) et plus récemment " La France libérée " de Yves et Ada Rémy (1994), soit un événement particulier, tel le débarquement de Provence en août 1944 (référence SCA 7).
Collection numérisée
Ce fonds privé rassemble une collection de photographies sur plaques de verre.Le fonds "Nessler-Rioton" est constitué d'un ensemble de photographies réalisées à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par Charles Nessler. Ce dernier, confiseur de métier à Chartres, était passionné de photographie et de voyages. Il a ainsi pu réaliser un grand nombre de clichés de tout ordre, tant au cours de sa vie chartraine, qu'au cours des nombreuses pérégrinations qui l'ont conduit à parcourir le monde. Charles Nessler étant resté sans descendance, l'ensemble de ses photographies a été récupéré au milieu du XXe siècle par André Rioton, autre chartrain, qui fut conseiller municipal de la ville et qui contribua à faire découvrir ce fonds très riche. Il en a fait don aux archives départementales d'Eure-et-Loir en juillet 2009, afin d'en assurer la préservation, d'en faciliter et d'en élargir la communication au public. Ce fonds présente des images inédites de divers pays à la charnière des XIXe et XXe siècles : la France, l'Europe (Allemagne, Angleterre, Espagne, Italie, Russie…), l'Afrique (Maroc, Algérie, Soudan occidental, Sénégal…), l'Asie (Indochine, Cambodge, Japon, Corée…).Ce fonds photographique est conservé sous forme de plaques de verre négatives et positives. On y trouve une grande variété de formats. Les vues peuvent être simples ou stéréoscopiques, et sont toutes en noir et blanc.
Collection numérisée
127 affiches réalisées par Charles Hallo (Alo), de 1913 à 1936 pour les différentes compagnies privées de chemin de fer français. Un bel ensemble d’affiches touristiques représentatives de cet art graphique de l’entre-deux guerres.
Collection numérisée
Fondé en 1867 sur ordre de Napoléon III par le Marquis Léon de Laborde, alors directeur des Archives impériales, le musée de l’Histoire de France conserve les documents les plus prestigieux des Archives nationales.Cinq séries documentaires, comptant plus de 4000 articles, ont été définies dès l’origine pour accueillir des pièces prélevées dans les diverses séries des Archives impériales. Les trois premières comportent exclusivement des documents graphiques et se répartissent comme suit :- en AEI figurent les documents fondateurs de l’histoire nationale : les traités les plus importants, l’état civil des familles royale et impériale, les constitutions de la France.- AE II constitue le cœur des collections de musée, avec plus de 3500 articles, documents de formes extrêmement diverses allant du début du VIe siècle à la fin du XXe siècle.- AE III conserve les documents relatifs aux relations entre la France et les puissances étrangères. Elle comporte essentiellement des traités, du Moyen Age à nos jours.L’essentiel des collections est constitué de documents uniques et particulièrement précieux, tant au plan de leur importance historique que pour leurs caractéristiques matérielles : chartes scellées sur parchemin, livres médiévaux ou modernes richement illustrés, notamment de vignettes peintes de grande qualité…
Collection numérisée