Dossiers provenant du bureau de liaison rattaché au cabinet du préfet de l'Aube, qui était chargé des relations avec les autorités allemandes d'occupation. Il s'agit de correspondances en allemand accompagnées de leur traduction en français et de dossiers relatifs à toutes les affaires gérées par la préfecture en application des ordres de l'Occupant : réquisitions, lutte contre la Résistance, réfugiés, application des lois contre les juifs, etc.Le fonds est intéressant par son caractère complet et la richesse des informations sur les événements qui ont marqué la période, jour après jour, de novembre 1940 à août 1944.Sa conservation matérielle est très menacée, en raison de la médiocrité et de la fragilité des supports et des encres utilisés : papier pelure, copies au carbone, etc.Récemment classé et inventorié en entier, le fonds est désormais disponible pour la recherche scientifique : la totalité des dossiers est communicable sans restriction.

Le Musée Arthur Rimbaud et la bibliothèque municipale de Charleville-Mézières regroupent plus de 5000 documents ayant trait au poète. Ils font l'objet de demandes régulières.La bibliothèque municipale a numérisé les manuscrits d'Arthur Rimbaud, de sa famille, la correspondance d'amis et d'écrivains (2000 pages), les éditions originales et ouvrages de référence pour l'étude de la vie et de l'oeuvre (2000 pages) ainsi que diverses archives (500 pages). Il est à noter également la numérisation d'illustrations de certaines éditions bibliophiliques de l'oeuvre de Rimbaud.Le musée Rimbaud qui s'est joint au projet, a mis à disposition la collection du libraire Matarasso donnée à la ville en 1954 (objets ayant appartenu au poète, fac-similés, fonds iconographiques), et un fonds d'oeuvres d'artistes du XXe siècle faisant référence à Rimbaud, films documents audio et vidéo.De plus, la numérisation de la revue "Parade Sauvage" a été réalisée.

Listes nominatives des recensements de la population de l'Aube.

Fonds constitué de documents iconographiques (photographies, cartes et plans, dessins et gravures) ayant trait aux cinq communes qui ont fusionné en 1966 pour former Charleville-Mézières.

Cette collections rassemble deux inventaires photographiques du patrimoine aubois : la collection Biver, répertoire photographique des verrières des églises de l'Aube(Sous-série 6Fi) et la collection Boutillier du Rétail, fonds de la conservation des antiquités et des objets d'arts de l'Aube (Sous-série 7Fi).Le 27 août 1910, le Conseil général de l'Aube alloue la somme de 1500 francs à Armand Boutillier du Rétail afin qu'il constitue un répertoire photographique des verrières et objets d'art des églises de l'Aube. Cette somme, reconduite durant plusieurs années, permettra la création du premier véritable inventaire photographique de l'Aube. Dans le même temps, Boutillier du Rétail autorise le comte Paul Biver, historien de l'art, à profiter de l'opération pour faire réaliser par le photographe Brunon les photographies qui lui permettront d'établir le répertoire des verrières de la Champagne méridionale. Ce faisant, Biver repèrera notamment un phénomène de reprise multiple de compositions formant des séries entières d'œuvres, répétées d'après les mêmes cartons à grandeur. L'analyse de ce phénomène sera à l'origine de la notion d' « École troyenne de peinture sur verre », appelée à une longue postérité en histoire de l'art.

Les dossiers de l'Inventaire présentent une documentation hiérarchisée et complète sur le patrimoine architectural et mobilier : textes (analyse historique, description, bibliographie, sources d'archives), documents graphiques et photographiques, plans... Ces dossiers concernent des inventaires topographiques ou thématiques. Ils sont indexés par une notice synthétique dans les bases Mérimée (architecture) ou Palissy (objets mobiliers). Leur version papier est consultable dans l'établissement de conservation.Pour la région Champagne-Ardenne sont numérisés ou en cours de numérisation :- Inventaire du patrimoine du canton de Montmort-Lucy ; 407 dossiers ; 3180 pages - numérisé- Inventaire du patrimoine du canton de Nouzonville ; 173 dossiers ; 1257 pages - numérisé- Inventaire du patrimoine industriel de l'Aube ; 343 dossiers ; 2937 pages - programmé- Inventaire du vitrail en Champagne-Ardenne ; 1721 dossiers ; 5378 pages - programmé

Le fonds est constitué de 3700 cartes postales en noir et blanc, sépia ou couleurs. La numérisation se fait en couleurs.

Le recensement de la ville de Reims de 1817 indique dans ses rubriques : les rues, les numéros des maisons, les noms et prénoms des citoyens, les lieux de naissance, les âges, "mariés, veufs ou célibataires", l'état ou la profession, les observations.Le recensement de la ville de Reims de 1911 a été dressé sur un territoire divisé en 4 cantons, chacun subdivisé en 2 sections. Il est composé de 16 registres (8 tables alphabétiques et 8 registres de recensement). A chaque registre de recensement correspond une table.Un registre renseigne les rubriques suivantes : nom de rue, numéros des maisons, numéros des ménages, numéros des individus, noms de famille, prénoms, année de naissance, lieu de naissance, nationalité, situation dans la famille par rapport au chef de ménage, profession, pour les patrons, chefs d'entreprise, ouvriers à domicile, inscrire patron, pour les ouvriers ou employés indiquer le nom du patron ou de l'entreprise, qui les emplie.La recherche se faisant par canton puis par rues, une liste alphabétique des noms de rues et de leur canton respectif est fournie.

Cette collection numérisée porte sur le sacre des rois de France. Elle regroupe des livres officiels, cérémoniaux, formulaires manuscrits et imprimés, traités anciens sur le sacre des rois, poèmes, discours et odes rédigés à l'occasion de sacres royaux, édits, placards imprimés à Reims pour organiser les préparatifs de la venue du cortège royal à Reims..L'ensemble de ces pièces proviennent des anciennes saisies révolutionnaires (manuscrits) mais aussi des acquisitions et dons du XIXe siècle.L'année 2011 a été l'occasion de célébrer le 800e anniversaire de la cathédrale de Reims, cathédrale du sacre des rois, évènement essentiel de l'histoire de ce monument.

La numérisation porte sur les plans de remembrement de la Haute-Marne, pour le vingtième siècle.

Le fonds Gourjault rassemble plusieurs fonds privés donnés à la Bibliothèque de Sedan, actuelle Médiathèque, au début du XXe siècle : les documents du marquis de Gourjault, créateur et utilisateur de ce fonds, les monographies de sites ardennais données par le docteur Anasthase Lapierre etc. L’ensemble de ce fonds est réparti dans deux cent six cartons de contenance inégale.Le fonds Gourjault comprend des documents originaux émanant des chancelleries royales, des bailliages royaux et seigneuriaux, des documents d’origine ecclésiastique, de police, des documents fiscaux et « administratifs » émanant des différents organes du pouvoir monarchique, sur une période allant de la fin du XIIIe siècle au siècle des Lumières.Le fonds Gourjault comprend également des documents originaux privés consistant en une imposante correspondance, et de nombreux actes notariés dont des contrats de mariage, des documents originaux contemporains (affiches, périodiques, journaux, faire-parts, cartes postales, cartes de visite...), des travaux ou extraits d’ouvrages réalisés au XIXe et XXe siècles dont l’ensemble des monographies locales et quelques extraits de certaines revues savantes, des copies modernes de documents de la période médiévale puis de la période d’Ancien Régime (chartes, actes notariés, extraits de registre du Consistoire de Sedan…)Un ensemble d’une très grande richesse, essentiel pour l’étude de l’histoire de Sedan et du Pays Sedanais.

Ouvrage par Jean-Gabriel Legendre, 1765, Imprimerie de Praux, Paris : "Description de la place de Louis XV que l'on construit à Reims, des ouvrages à continuer aux environs de cette place et de ceux à faire dans la suite pour l'utilité…". Ouvrage contenant la présentation par Jean-Gabriel Legendre de la place Royale de Reims : contexte de sa création et acteurs, description de sa conception, de ses édifices et de la statue de Louis XV sculptée par Jean-Baptiste Pigalle et fondue par Pierre Gor. Illustration des édifices et de la statue par sept planches. État des travaux projetés : rues, places et portes.

Dossiers de presse datant de 1911 relatant les évènements de la révolte des vignerons en Champagne.Cote FCPE19.

"Le Petit Ardennais" était un des principaux titres de la presse quotidienne ardennaise. Fondé par l'industriel Emile Corneau en 1880 et qui parut jusqu'en 1944. Ce fût l'incarnation de la presse radical-socialiste, donnant volontiers dans l'anticléricalisme au point d'être surnommé "le Pétard". Le journal acquit à la Belle Epoque une suprématie qui dura jusqu'à l'aube de la Deuxième Guerre mondiale.

Le fonds concerne les tables décennales d'état civil des départements des Ardennes, de l'Aube, de la Marne et de la Haute-Marne. Objets d'une campagne de microfilmage, ces documents doivent faire face à l'afflux des demandes de consultation du grand public, préoccupé de généalogie familiale, mais également des chercheurs en histoire des migrations de population. Le fonds est constitué de 164.650 microfilms.

Ces tables décennales concernent l'intégralité des communes de la Haute-Marne.

La bibliothèque municipale de Langres existe depuis 1786. Le fonds ancien est constitué de 57 manuscrits médiévaux, recueillis au cours du temps, et fruit de nombreuses donations. Ce fonds bénéficia très peu des confiscations révolutionnaires qui sont allées à la ville du district : Chaumont.Les 14 manuscrits enluminés de la bibliothèque ont été numérisés par le Ministère de la Culture et de la Communication dans le cadre de la campagne de numérisation.Parmi les pièces les plus remarquables nous pouvons signaler, le "Missel de Langres" daté du XVe siècle, provenant du chapitre, offert par un aumônier de Philippe le Bon, le chanoine Jean Travaillot. Les enluminures sont intéressantes par leur style, qui se différencie du décor habituel des manuscrits.Le "Livre d'heures à l'usage de Langres" est également du XVe siècle. Ce très beau volume sur vélin aux encadrements de grande fantaisie, est orné de 3 miniatures dont deux scènes représentant saint Mammès : prédiction aux animaux et fabrication du fromage.

Le fonds dessins et estampes de la médiathèque d'Epernay se compose d'œuvres de deux auteurs du XIXe siècle : Pierre Saint-Ange Poterlet (1804-1881) et Emile-Louis Gastebois (1853-1882) né dans la Marne à Sézanne.Les 2 albums de dessins de Gastebois sont composés de 55 planches (crayon, plume, aquarelle) représentant des vues monumentales de la Marne (églises, sculptures, pavements, ruines). Cote FCTY7.L'album de Poterlet se compose de 44 dessins, croquis, et esquisses portant principalement sur des vues du Portail Saint-Martin à Epernay. Cite FCBR6.Ce fonds a été constitué à partir d'un legs de Raoul Chandon de Briailles en 1908.

Répertoire alphabétique des registres matricules de l'Aube, 1867-1935

La numérisation porte sur le Fonds Jolibois, coté 19 J, entré par voie extraordinaire.

Correspondance du front (Ouessant, la Marne, l’Aisne, 1914-janv.1915) ; puis témoignages sur l’hôpital militaire de Saint-Laurent-sur-Sèvre, en Vendée (1915-1918): 26 plaques de verre et 178 vues stéréoscopiques (1916-1918) relatives à la convalescence et la rééducation des soldats, 2 carnets recensant l’occupation des lits.

Principale source de généalogie, les registres paroissiaux et d'état civil regroupent les actes de baptêmes/naissances, mariages, sépultures/décès des habitants des 503 communes correspondant aux 463 communes que compte actuellement le département des Ardennes.Près d'1,5 millions d'images sont disponibles en ligne et interrogeables grâce à une grille de recherche multicritères.La collection s'étend des origines jusqu'en 1890. Dans les Ardennes, les registres les plus anciens sont ceux des communes de Revin (depuis 1555) et Mézières (depuis 1585).Les tables décennales de l'état civil sont des listes établies par commune qui recensent les naissances, les mariages et les décès, classées par ordre alphabétique des patronymes. Elles couvrent la période 1792-1892.

Joseph Trompette et François Rothier sont deux photographes rémois qui ont réalisé plusieurs centaines de clichés de la cathédrale de Reims à la fin du XIXe s. et au début du XXe s. Ces deux artistes sont aujourd'hui dans le domaine public.Leur travail permet de renseigner sur la cathédrale avant les destructions de la Première Guerre mondiale, à l'époque des restaurations du XIXe siècle.Certains clichés portent sur la basilique Saint-Remi de Reims à la même époque.

La bibliothèque de l'Abbaye de Clairvaux est dans un état de conservation exceptionnel. Elle s'est constituée, depuis le XIIe siècle avec persévérance, grâce à son scriptorium dans un premier temps, puis par échanges, achats, dons et legs.L'essentiel des collections, est conservé à la bibliothèque de Troyes. 1 200 manuscrits sur 1 400 appartiennent à l'Etat.Le rayonnement de Clairvaux a permis de nombreux échanges. Les enluminures témoignent de multiples influences. La bibliothèque est à la fois le reflet des évolutions techniques et des curiosités intellectuelles.Le programme de numérisation porte sur les pages enluminées qui ont été microfilmées par l'Institut de Recherche de l'Histoire des Textes (8 000 images pleine page et en détail des XIIe et XIIIe siècle).

Diffusées dans l'espace public, les affiches s'adressent à un grand nombre d'individus. Présentes dans la vie quotidienne, elles sont particulièrement révélatrices de l'esprit du temps et des préoccupations de ses contemporains. Publicité, propagande et informations légales attestent de la variété des messages véhiculés par ce média de masse. L'évolution des techniques d'impression modernise l'esthétisme de ces documents parfois proche de l'œuvre d'art.Constituée par acquisitions successives, la collection d'affiches anciennes conservée aux Archives départementales des Ardennes a été numérisée en 2010.

Une grande partie du fonds ancien (19 manuscrits) de la bibliothèque d'Epernay provient des confiscations révolutionnaires faites aux communautés religieuses de la région (l'abbaye Saint-Martin, le couvent de Minimes et des Ursulines, d'Hautvillers, d'Argensolles, d'Avenay et de la Charmoye) et aux émigrés de la région. Dons, legs, achats ont progressivement augmenté le fonds. Le Ministère de la Culture et de la Communication a numérisé les 5 manuscrits enluminés de la bibliothèque dans le cadre de la campagne de numérisation.La pièce la plus remarquable du fonds est l'"Evangéliaire d'Ebbon" réalisé vers 845 à l'abbaye de Hautvillers. L'ouvrage est un des fleurons de l'enluminure carolingienne, il est très richement et finement décoré. La bibliothèque conserve aussi un évangéliaire enluminé, du début du XIIe siècle.

Projet de numérisation de la bibliothèque municipale de Troyes :- bois gravé utilisé par les imprimeurs troyens du XVIe au milieu du XIXe siècle.- livrets de la Bibliothèque bleue, c'est un fonds composé de 2570 fascicules édités entre 1660 et 1860. Les livrets de la Bibliothèque bleue étaient édités à Troyes et dans d'autres villes (Caen, Rouen, Epinal, Montbéliard, Limoges...). Il comporte aussi un certain nombre d'almanachs de colportage des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Ces collections importantes ont été réunies par Charles-Edmond Mitantier (1817-1887) et furent léguées par sa femme.

Mémoire de près de 25 ans de création chorégraphique de Stéphanie Aubin. Formée auprès des fondateurs de la post-moderne danse et plus particulièrement auprès de Trisha Brown, Stéphanie Aubin fonde sa compagnie en 1984. Une trentaine de créations (dont 2 opéras) ont affirmé une écriture qui inscrit des passerelles entre la danse et les autres disciplines des arts vivants.Il s'agit des captations de spectacle et de répétition, ainsi que des enregistrements vidéo d'interview et des manifestations "L'art en scène".

Les registres matricules sont les documents renseignés lors du recrutement militaire et du suivi de carrière. Chaque individu possède une notice mentionnant : son état civil, ses dates et lieu de naissance, profession, domicile, mariage, divorce, noms et domicile des parents, signalement physique, degré d'instruction, détail des services et mutation, décorations et récompenses, renseignements divers (sait-il nager, monter à cheval, jouer d'un instrument, etc). Ces sources sont inestimables au regard des recherches généalogiques et sur les personnes.Les registres matricules et leurs tables alphabétiques font partie de la sous-série 1R des Archives départementales des Ardennes. Ils couvrent la tranche chronologique 1867-1940.Les tables alphabétiques (1867-1936) ont été numérisées en 2009. Les premiers registres (1867-1890) ont été numérisés en 2010. La seconde tranche (1891-1905) fera l’objet d’un second projet (appel à projets de numérisation en 2014).

Photographies

Il s'agit de la numérisation d'un recueil factice contenant des chromolithographies et divers cartes commerciales et documents publicitaires des grands magasins parisiens (Maison de la Belle jardinière, Au bon marché, A la place de Clichy, A la ménagère, Au printemps,…). Ce recueil date de la fin du XIXe siècle et a été compulsés par Gustave Dutailly, député de la Haute-Marne et donateur en 1906 d'une importante collection d'affiches de la même nature et époque, déjà numérisée, en ligne sur le site de la médiathèque et sur Gallica.Le fonds est composé au total d'une trentaine de recueil factices, regroupant sous des thématiques (Géographie, Musique, Botanique, …) des documents publiés du vivant de Dutailly.Ces albums reliés témoignent de la diversité de la production imprimée permises par les nouvelles innovations techniques de l'imprimerie dans la deuxième moitié du XIXe siècle.

Acquise en 1996, la collection de 192 plans et dessins des architectes Victor (1810-1889) et Paul Delefortrie (1843-1910) permet de reconstituer en partie leur œuvre architecturale et décorative dans les départements de la Somme, l’Oise, l’Aisne, la Seine-et-Marne, la Seine-Maritime, et la principauté de Monaco.Très diversifiée, leur production est le fruit de commandes publiques nombreuses (écoles, hôpitaux, églises) dont les archives de la Somme conservent d’autres sources (Série O) et de commandes privées (couvents, châteaux et hôtels particuliers).Leur œuvre architecturale témoigne de tous les courants néo-moyennâgeux de la création, renouvelés par l’éclectisme puis transfigurés par la naissance de l’art nouveau.Cette collection entièrement numérisée s’inscrit dans le projet « Patrimoine bâti de Picardie. »

Les tables décennales, réalisées généralement à partir de 1802, concernent toutes les communes de l'Aube. Elles donnent accès à l'ensemble des actes d'état civil (naissances, mariages et décès) du XIXe siècle, classés par communes et par tranche de 10 ans. On peut y retrouver des noms de familles classés alphabétiquement et par type d'actes.Leur numérisation s'est inscrite dans un programme de général (1998) concernant les tables décennales conservées dans les services d'archives départementales de la région Champagne-Ardenne

Important fonds de manuscrits originaux contenant les notices généalogiques de 2702 familles haut-marnaises. (fonds 22 J 1-10)

Projet de numérisation des manuscrits provenant de la bibliothèque de l'abbaye de Clairvaux et d'établissements monastiques en relation avec elle. Cette bibliothèque constitua, depuis le XIIe siècle, un fonds important de manuscrits, grâce à son scriptorium dans un premier temps, puis par échanges, achats, dons et legs. Elle est encore dans un état de conservation exceptionnel.Le projet consiste à numériser la collection de microfilms réalisés par l'Insititut de recherche d'histoire des textes (IRHT), en partenariat avec les BMVR de Châlons-en-Champagne et Reims.Cette opération est un prolongement de la numérisation des miniatures de Clairvaux (réalisée) et des miniatures des manuscrits de Châlons-en-Champagne (en projet, avec l'IRHT et la Direction du livre et de la lecture). Elle permettra la diffusion sur Internet et sur supports électroniques d'une collection exceptionnelle de textes médiévaux.

Ce fonds composé de livres et de brochures du XVIIIe siècle au XXe siècle constitue le coeur de notre collection. Il comporte des ouvrages sur l'histoire, les techniques, l'économie du vin de Champagne mais aussi la poésie et du théâtre mentionnant ce domaine. Ainsi 250 ouvrages ont été numérisés parmi lesquels des recueils de poésie tels que "le vin de champagne, poèmes lyrique en huit chants et poésies diverses" (1860) de Gonzalla ou encore des pièces de théâtre telles que "Le sérail en goguette" (1824) de Lafortelle Merle...

Les plans cadastraux anciens, dits "cadastre napoléonien", constituent l'ensemble de plans le plus cohérent conservé aux Archives départementales. Réalisés entre 1810 et 1850, ils offrent aux chercheurs une source irremplaçable pour l'histoire foncière, rurale et urbaine.

Le fonds est composé de "L'écho sparnacien", journal publié à Épernay de 1840 à 1871 (inventorié sous la cote FCPE4) et du "Courrier du Nord Est. Echo Sparnacien", qui est la suite de "L'Echo Sparnacien", imprimé à Epernay de mars 1848 à octobre 1871. Le titre devient alors "Le Courrier du Nord-Est. Echo sparnacien", puis fusionne avec le Champenois pour devenir "Le Courrier du Nord-Est et Champenois", puis de la Champagne et des Ardennes. Tout au long de son existence, ce titre paraît donc de 1848 à 1921 et couvre ainsi toute une période riches en événements : guerres de 1870 et 1914 entre autres.Ce quotidien donne des informations sur la politique de département, son commerce, son agriculture, ses finances, son industrie et sa littérature.

Registres paroissiaux et d'état civil de l'Aube (hors ville de Troyes, déjà numérisée et mise en ligne en septembre 2011). Numérisés en 2012 - 2013.

La commune de La Neuvillette a été rattachée à la ville de Reims en 1970, à sa demande, car une charge fiscale trop lourde pesait sur elle en raison des nombreux travaux d'urbanisation et d'installation d'équipements collectifs.Elle a été rattachée avec effet à compter du 30 décembre 1970 par arrêté préfectoral du 2 novembre 1970 modifié par arrêté préfectoral du 28 décembre 1970. Nous conservons quelques archives de cette commune, dont les registres d'état civil de 1873 à 1902 :- tables décennales 1873-1902 et aux registres des naissances, mariages et décès de la période 1873 à 1902.De 1823 à 1870, cette commune était rattachée à celle de Courcy. Pour cette période, ses archives d'état civil sont conservées aux Archives départementales de la Marne.- 4E1 : registres des naissances, mariages et décès du 7 février 1873 au 29 décembre 1882.Contient des tables annuelles et décennales.- 4E2 : registres des naissances, mariages et décès du 2 janvier 1883 au 10 septembre 1892.Contient des tables annuelles et décennales.- 4E3 : registres des naissances, mariages et décès du 3 janvier 1893 au 16 décembre 1902.Contient des tables annuelles et décennales.

Les Archives départementales ont constitué par acquisitions successives une collection de 11000 cartes postales anciennes.Tantôt support de communication, publicitaire ou de propagande, ce média de masse témoigne de la vie quotidienne des Ardennais au début du siècle dernier.La carte postale est une source précieuse pour l'étude de la toponymie, de l'urbanisme et de l'évolution des paysages.

Numérisation des microfilms de 607 manuscrits médiévaux ayant appartenu au Chapitre de la cathédrale de Reims et à l'abbaye de Saint-Thierry, en prolongement de la numérisation des enluminures photographiées par l'Institut de Recherche et d'Histoire des Textes et de la numérisation des reliures médiévales de la bibliothèque de Reims (dans le cadre du catalogue des reliures médiévales de Reims réalisé par l'IRHT).Le fonds provenant du Chapitre de la cathédrale de Reims est composé à l'essentiel des oeuvres des Pères de l'Eglise, d'oeuvres de théologie, mais aussi de droit canon, d'ouvrages d'histoire, de médecine ou de géographie et notament du célèbre "Evangéliaire slavon" rédigé en cyrillique et en glagolitique. Un nombre significatif de ces documents est en langue vernaculaire.Les manuscrits de l'abbaye de Saint-Thierry sont surtout des textes religieux, des ouvrages de théologie et des textes bibliques, dont beaucoup datent du IXe et du Xe siècles.Ces manuscrits sont entrés à la bibliothèque municipale de Reims suite aux confiscations révolutionnaires : ils appartiennent donc à l'Etat.

Le projet vise à mettre à la disposition d'un large public la documentation iconographique rassemblée et élaborée par le service régional de l’Inventaire de la DRAC.Ce fonds photographique concerne les études sur les cantons de Montmort (2580 phototypes) et Ville-sur-Tourbe, et le patrimoine industriel (5000 phototypes). Pour la réalisation de la numérisation, une priorité sera donnée aux fonds dont les notices sont déjà saisies sur la base de données Illustration.La numérisation des phototypes relatifs à cette documentation permettra d'alimenter la base de données nationale image Mémoire et ainsi d'illustrer les notices des bases de données Mérimée (architecture) et Palissy (objet) sur Internet.

Journal hebdomadaire intitulé "Le Polygraphe, journal d'Epernay" (cote FCTY6) publiant un dessin lithographique , une gravure ou des vignettes sur bois.

Le projet de numérisation concerne la documentation iconographique relative à la carte archéologique et aux rapports de fouilles de la région.Le service régional de l’archéologie élabore des dossiers relatifs à chaque site, environ 3000 sites pour la prospection aérienne, 16.000 sites pour l’intégralité de la carte archéologique. Nous pouvons évaluer le fonds photographique à environ 10.000 diapositives.Les phototypes rattachés aux rapports de fouilles regroupent plus de 20.000 diapositives et négatifs.L’indexation des données sera suivie d’une sélection des phototypes à numériser.

Cinématographe et photographe d'origine tunisienne, a travaillé pendant le conflit de 1914-1918, comme opérateur de l'armée (code armée L).Les 52 autochromes d’Albert Samama-Chikli, montrant la vie des troupes tunisiennes, le front et les tranchées, les personnalités militaires et diplomatiques sont numérisés. Plusieurs centaines de tirages sur papier noir et blanc de la série L et de ses sous-séries (LO, LM) « fonds Guerre », conservés aux Archives photographiques, sont en cours de traitement.

La presse étudiante est particulièrement éphémère et irrégulière. L'objectif ici, grâce à une numérisation partagée de fonds, est de reconstituer numériquement des collections les plus complètes possibles de périodiques étudiants matériellement éclatées dans différents lieux de conservation. La presse étudiante numérisée comprend près de 80 titres dont:- "L'étudiant de France", journal national de l'UNEF- "Grenoble université", le journal de l'AGE de Grenoble - "Reims U", journal de l'AGE de Reims - "Clarté", journal de l'UEC- Le Bulletin d'information de l'association Guy Renard- La revue Existences, puis AGEMC (AGE Maison de cure) INFORM ou encore Les cahiers de l'AGES- Le Bulletin d'information de la FSEF- Les publications 'Mnef informe' et 'Mnefomane'- PH7 des étudiants en pharmacie de Reims

Fonds de l’abbaye cistercienne d’Auberive (1 H), 24e fille de Cîteaux, fondée en 1135 : cartulaires, inventaires de titres, charte de fondation, bulles, privilèges, procès-verbaux de visites, confraternités, comptes, bien, droits divers. Les pièces les plus précieuses du fonds ont été numérisées.

Textes et actes conservés par la Bibliothèque nationale et les Archives nationales, dans lesquelles intervient un membre de la famille de Chabot ( XIe-XVIIIe siècles): transcriptions intégrales, analyses et index par le vicomte Paul de Chabot (1864-1950) en 18 volumes manuscrits.

En 2002 et 2011, la bibliothèque de Châlons-en-Champagne a numérisé des cartes et plans anciens et modernes. La période concernée s'étend sur l'ensemble du fonds, soit du XVIe siècle au XXe siècle.485 cartes et plans sur un ensemble de total de 1530 documents ont été numérisés.La ville de Châlons-en-Champagne et ses édifices civils et religieux sont particulièrement bien représentés, mais cette collection concerne également la Marne et la Haute-Marne, l'Aube, et les Ardennes.

Le fonds Vital (Sous-série 3J) correspond aux archives de cette entreprise de travaux publics spécialisée dans la restauration des monuments historiques de 1838 à 1909.L'entreprise Vital, dirigée par Pierre VITAL, puis par ses deux fils, est qualifiée en 1904 d'entreprise « bien connue de travaux publics ». Installée à Troyes, à partir des années 1880, l'entreprise réalise un certain nombre d'édifices civils à Bordeaux, Nantes, Paris, Troyes… tout en se spécialisant dans la restauration du patrimoine, tant religieux que civil. Pierre Vital participe ainsi au chantier de l'église néogothique Saint-Nicolas de Nantes, œuvre de Jean-Baptiste Lassus, puis enchaîne les chantiers patrimoniaux. Outre de nombreuses restaurations d'églises classées à Troyes et dans l'Aube, ses deux principaux chantiers concernent les cathédrales de Troyes et de Beauvais.Le fonds, donné aux Archives départementales en 1955, demeure riche et très diversifié : les plans et les cahiers d’attachement permettent de suivre au plus près l'avancement de la plupart des opérations majeures de l'entreprise, tandis que les factures, les dossiers relatifs aux ouvriers et la correspondance témoignent parfaitement du fonctionnement d'une entreprise « patrimoniale » au XIXe siècle.

Le fonds est composé de :- 73 registres annuels de naissances avec tables annuelles, de 1840 à 1911.- 26 registres annuels de mariages et divorces avec tables annuelles, de 1888 à 1911.- 15 registres annuels de décès avec tables annuelles, de 1898 à 1911.

Parmi un florilège de sceaux du XIIe au XVIIIe siècle, provenant des fonds ecclésiastiques conservés aux archives de la Somme, figurent évêques d’Amiens, seigneurs, maires et échevins, sièges de justice d’Ancien Régime .Intégrés dans la base de consultation du public, les images numérisées des sceaux seront intégrées peu à peu dans la base scientifique en cours d’élaboration.

Une grande partie du fonds ancien (141 manuscrits) de la bibliothèque de Châlons en Champagne provient des confiscations révolutionnaires faites aux communautés religieuses et aux émigrés de la région. Dons, legs, achats ont eux aussi grandement contribué à l'accroissement des fonds. Le Ministère de la Culture et de la Communication a numérisé pour l'instant 43 manuscrits enluminés de la bibliothèque dans le cadre de la campagne de numérisation.Parmi les ouvrages les plus remarquables, nous pouvons citer plusieurs manuscrits médiévaux enluminés : une bible latine du XIIIe siècle, un exemplaire des "Confessions" de saint Augustin (fin du XIe siècle), un "Pontifical à l'usage de l'évêque de Châlons" (de la fin du XIIIe siècle, avec une belle reliure enluminée). De par son origine, le fonds est constitué de livres liturgiques, livres d'heures (dont un du XIVe siècle) et de livres de prières. De la donation Jules Garinet (avocat du XVIIIe siècle, bibliophile et collectionneur), la bibliothèque conserve un très bel exemplaire du "Roman de la rose".

Parmi les riches fonds anciens des Archives départementales de l'Aube, les archives de l'abbaye de Clairvaux occupent une place toute particulière, à la fois par leur volume, mais aussi par l'importance du nombre de documents originaux et de sceaux du Moyen Age classique (XIIe-XIIIe siècles).La collection se compose de trois volets complémentaires :- Le cartulaire du XIIIe siècle (1662 actes de 1121 à 1260 ; 200 chartes originales). L'ensemble des chartes de la période 1120-1260 actuellement encore conservées représente une richesse exceptionnelle, qui correspond à la constitution de la très grande puissance foncière que devint rapidement l'abbaye de Clairvaux pendant cette période.- Les nombreux sceaux de la période concernée, qui sont appendus aux actes originaux, reflètent le rayonnement de l'abbaye cistercienne dans toute la Chrétienté.(230 chartes scellées). Nous y retrouvons aussi 7 fonds d'abbayes de l'ordre de Cîteaux, 5 fonds d'abbayes ou de prieurés de l'ordre de Saint-Benoît, 3 fonds hospitaliers, 2 fonds d'abbaye de l'ordre de Prémontré, 2 fonds d'abbaye de l'ordre de Saint-Augustin, le fonds du couvent de l'ordre des Chartreux de Troyes ainsi que celui de la ministrerie de l'ordre des trinitaires de Troyes et enfin celui de la commanderie de l'ordre des Teutoniques de Beauvoir.- Quarante liasses des XIIe-XVIIIe siècle relatives à la spiritualité, aux locaux et au mobilier de l’abbaye viennent enrichir le fonds numérisé.La collection comporte également les fonds de l'hôpital Saint-Nicolas de Bar-sur-Aube (cartulaire), de l'évêché de Troyes (cartulaire, inventaires des titres et statuts synodaux du diocèse de Troyes de la période 1373-1450), du chapitre de la cathédrale de Troyes (cartulaires, inventaires des titres et 15 registres médiévaux de l'officialité de la période 1390-1499), de l'abbaye Saint-Pierre d'Oyes (cartulaire) et de la collégiale Saint-Étienne de Troyes.

Les pièces d'archives de la collection Chandon de Briailles sont majoritairement liées à l'histoire de la Champagne et des familles champenoises.La richesse de cet ensemble réside à la fois dans son importance quantitative (près de 30 000 pièces) et dans la qualité de conservation et la rareté des documents. La collection comprend également un certain nombre de dossiers thématiques ayant trait à l'héraldique, la sigillographie ou le commerce, recélant des pièces très rares. L'ensemble a fait l'objet d'un inventaire minutieux qui confère à la collection une valeur supplémentaire, en la rendant entièrement et immédiatement communicable aux chercheurs.Deux parties de ce fonds font l'objet de numérisation :- 12 000 notices biographiques du fichier Chandon (financement de la collectivité territoriale)- une sélection de 150 pièces choisies parmi les plus spectaculaires (enluminures, arbres généalogiques ornés) ou les plus importantes historiquement telles les autographes de personnages célèbres (financement 2007 du plan de numérisation).Ces pièces sont destinées à être mises à disposition du public sous forme d'un jeu de chasse au trésor en ligne (secret caché dans le château de la Cordelière dans l'Aube).

Collection de sceaux détachés (288 empreintes de sceaux, 168 empreintes de contre-sceaux). Les revers ont également été numérisés. Cette collection, particulièrement bien conservée, rassemble des sceaux laïcs et ecclésiastiques essentiellement champenois. Les inédits sont nombreux : sceaux du comte Gautier II de Brienne, de la comtesse Marie de France, de son fils Henri II, du duc d’Autriche Léopold V de Babenberg, de seigneurs, de cardinaux et de tabellions

Les 194 manuscrits de Clairvaux conservés à Troyes, œuvres des pères de l'Eglise et d'auteurs ecclésiastiques. Cet ensemble est particulièrement intéressant. Il rassemble certains des manuscrits les plus anciens de l'abbaye, signalés dans le catalogue du XIIe siècle. Les efforts des moines de Clairvaux sont particulièrement remarquables pour les œuvres de saint Augustin. Dès le XIIe siècle Clairvaux avait rassemblé les œuvres complètes de cet auteur, selon les connaissances de l'époque. Les moines ont certainement recouru à la bibliothèque de Pontigny, qui avait devancé Clairvaux dans le travail de collecte et d'édition des œuvres de ce Père de l'Eglise.Cet ensemble sera intégé dans la bibliothèque virtuelle de Clairvaux, projet que la Médiathèque du Grand Troyes souhaite mettre en en ligne à l’horizon 2015.

Les tables de successions et absences constituent une mine d'information pour les généalogistes et les historiens. Elles contiennent en effet pour une période donnée, la liste des personnes décédées et les éléments permettant de régler leur succession : état civil, informations sur les héritiers, référence des testaments, déclarations de succession…Cotée en sous-série 3Q (et très partiellement en 2 C pour les registres antérieurs à la Révolution), la collection conservée aux Archives départementales des Ardennes est lacunaire suite aux destructions des deux guerres mondiales. Par ailleurs, seules les tables de successions et absences microfilmées sont ici disponibles, la suite de la numérisation viendra donc compléter cet ensemble. Néanmoins plus de 30000 pages vous permettent actuellement de rechercher vos ancêtres jusqu'en 1958.Les tables des successions et absences sont organisées par bureaux d'enregistrement, correspondant à des circonscriptions territoriales proches des cantons. Le lieu de décès détermine celui de l'enregistrement. Initialement le département des Ardennes était découpé en 29 bureaux. Lorsqu'un bureau ferme, ses compétences sont reprises par le bureau voisin.Au sein d’une même table, le classement se fait par ordre alphabétique de l'initiale du patronyme puis chronologiquement selon la date du décès.

Plans cadastraux de Reims

Documents iconographiques entrés par voie de dons, legs, dépôts ou réintégrations : affiches, cartes postales anciennes, plans, cartes d’état major et de l’IGN, clichés typographiques, plaques, négatifs, fonds documentaire illustré de l’inventaire départemental des Objets mobiliers…

Cartes postales et photos sur Reims, cote 2Fi

Auteur d'une série de photographies sur l'architecture religieuse et civile en France, principalement ceux de Picardie et de Normandie. Membre de la Société des antiquaires de Picardie, de la Société d'émulation d'Abbeville, depuis 1914, il fait partie du Conseil d'administration de la Société française d'archéologie. En 1930, il devient inspecteur divisionnaire pour la Picardie, la Flandre et l'Artois.Le fonds conservé aux Archives photographiques est un dépôt de la Société française d'archéologie. Il totalise plus de 3600 négatifs.

"Journal d'Epernay", feuille politique de l'arrondissement : agriculture, commerce, industrie, culture, littérature, nouvelles locales et annonces judiciaires. (Parution hebdomadaire).La médiathèque d'Epernay possède les années 1846 à 1860, mais le journal semble exister depuis 1791.Cote Fcpe 14

Numérisation en 2002 d'une partie des phototypes anciens des Archives départementales (1852 - 1950 environ) regroupés en différents fonds, représentant 3890 clichés.Le fonds Pasquis, photographe professionnel et éditeur de cartes postales à L'Aigle au début du XXe siècle constitue l'essentiel (2550 clichés). Il s'agit de clichés de monuments, d'événements, de scènes de vie de famille, d'activités industrielles pris dans le Pays d'Ouche essentiellement (Orne, Eure), mais aussi de photographies prises à l'occasion de voyages, notamment en Egypte.Le fonds Bernard compte 95 photographies du front en 1917.Le fonds Henrard comprend 221 vues aériennes des villes de l'Orne dans les années 1950.Le fonds de la Société historique et archéologique de l'Orne (SHAO) compte plusieurs tirages des années 1852 - 1880.Ces clichés sur plaque de verre (pour l'essentiel), sur négatif souple ou sous forme de tirages anciens sont actuellement inaccessibles en raison de leur fragilité, et aucune copie de substitution n'a été effectuée à ce jour. Il n'ont pas fait l'objet d'un inventaire.La numérisation permettra de mettre ces clichés à la disposition du public, d'en effectuer l'inventaire et l'identification avec le concours d'habitants des régions concernées.

Fonds composé de 262 plans faisant partie du fonds ancien, antérieurs à 1789 (plans de Reims, de bâtiments, de machines, de places et rues, cartes)et des plans Ford, Legendre, Colin, Gauchoux.

Le fonds photographique « Roger VINCENT » est entré à la Médiathèque municipale en 2003 dans le cadre d’une donation effectuée par le Docteur Philippe VINCENT et Madame Françoise DECHIROT, fils et fille de Roger VINCENT.Roger VINCENT, photographe installé Place de la Halle à Sedan, était correspondant du quotidien local et photographe de la Chambre de Commerce et de l’Industrie. La très riche collection qu’il a réuni tout au long de sa carrière de photographe se compose d’environ 3.000 plaques de verre auxquelles s’ajoutent environ 6000 négatifs couvrant une période allant de 1950 à 1975.Le fonds « Roger VINCENT » présente une page de la vie de Sedan et de sa région : la reconstruction après la guerre, les faits divers, l’activité économique et industrielle à travers les foires, les usines…, l’instruction publique avec les écoles, collèges…, la vie socioculturelle à travers les fêtes patronales, les sports (football, cyclisme, gymnastique, etc.), les conditions climatiques (crues et inondations).

La région Champagne-Ardenne comprend un patrimoine particulièrement riche dans le domaine du vitrail. Un recensement, effectué dans le cadre d’un projet national, a permis d’alimenter les bases de données nationales Palissy et Mémoire. Aussi le fonds photographique s’y rapportant a été traité en prirorité en matière de numérisation.Il existe 5500 notices Illustration sur le vitrail. Toutefois, seuls les phototypes couleur ont fait, et feront l’objet d’une numérisation.

Les atlas des routes de France dits Atlas de Trudaine constituent une collection unique et homogène de soixante-deux volumes totalisant plus de 3 000 planches manuscrites soigneusement aquarellées. Ils portent, aux Archives Nationales (anciennement Centre historique des Archives nationales (CHAN)) à Paris, les cotes CP/F/14/*8443 à 8507. Réalisés entre 1745 et 1780 sur ordre de Charles Daniel Trudaine, administrateur des Ponts et Chaussées, ils comportent les routes faites ou à faire (et leurs abords immédiats) dans les vingt-deux généralités des pays d'élections régies par des intendants. Les pays d'états (Bourgogne, Provence, Languedoc et Bretagne) ainsi que les pays d'imposition (régions frontalières conquises sous Louis XIV) sont exclus de cette couverture cartographique, sauf la généralité de Metz (trois atlas) et le Haut-Cambrésis (trois atlas aussi).Ces atlas forment une documentation précieuse et très recherchée sur les paysages français du XVIIIe siècle. On y trouve notamment la représentation des lieux habités, des bois, des cours d'eau et des routes, des édifices isolés (croix, calvaires, châteaux, moulins, usines, carrières...), les plans de masse des ouvrages d'art proches des routes ou construits sur celles-ci.

Ensemble non homogène composé de 2600 plans de formes et tailles très variées dont les supports diffèrent : papier, papier chiffon, parchemin. Certains de ces documents sont aquarellés, d'autres seulement tracés à l'encre noire.

Le fonds d'atelier d'Henri Le Secq (1818-1882), considéré comme l'un des primitifs français de la photographie, a été donné par son fils en 1905. Ce fonds, conservé en réserve, se compose de près de 500 tirages sur papier salé et de 400 négatifs papier ciré sec (calotypes). Il comprend notamment des vues des monuments photographiés au cours de la « Mission héliographique » de 1851 commandée par les Monuments historiques à cinq photographes dont Henri le Secq pour l'Est de la France.Le Secq s'est par la suite attaché à photographier une série de monuments au cours d'autres campagnes (Amiens, Auxerre, Chartres, Sens…) ainsi que les "Démolitions de Paris" en 1852-1853.Il faut noter par ailleurs, que la Bibliothèque est la seule à posséder des vues de terrains. Elle possède également une série de natures mortes tirées sur papier bleu ou « cyanotypes ».

La numérisation de ce fonds permet de mettre en valeur 2000 photographies sur plaques de verre d’Eugène-Éloi Commessy dit Charles Commessy (1856-1941), instituteur mais aussi et surtout passionné de photographie. Ses photographies (fin XIXe début XXe siècle) sont très diverses (scènes villageoises, travaux des champs, artisans, écoliers de villages, bohémiens, fêtes populaires et religieuses, manifestations sportives, monuments, habitat rural….). L’immense majorité de ces photographies ont été prises dans quelques communes rurales du Beauvaisis (Allonne, Beauvais, Blacourt, Bongenoult, Therdonne, Troissereux, Voisinlieu, Villers-sur-Thère). Les autres photographies représentent des vues de villes et des paysages de l’Oise (Chantilly, Compiègne, Creil, Ermenonville, Noyon, Trie-Château, Senlis), de la Somme (Ault-Onival, Amiens, Cayeux-sur-Mer), de l’Aisne (Longpont, Soissons), de la Normandie (Caen, Etretat, Gisors, Le Tréport, Le Mont-Saint-Michel, Les Andelys, Vernon), de Reims, de Paris (Exposition Universelle de 1900) et de Belgique (Bruges, Bruxelles, Dinant).

127 affiches réalisées par Charles Hallo (Alo), de 1913 à 1936 pour les différentes compagnies privées de chemin de fer français. Un bel ensemble d’affiches touristiques représentatives de cet art graphique de l’entre-deux guerres.

Manuscrit carolingien - V.830 - Cote Ms1S'il est en effet entièrement écrit à l'encre d'or, sur vélin, en minuscule Caroline et en capitale rustique, pour la dédicace, le manuscrit contient, outre le texte des quatre Evangiles et les prologues de Saint Jérôme, les éléments caractéristiques de l'évangéliaire carolingien qui en font un livre liturgique destiné à la lecture pendant l'office : les tables des canons et le capitulare Evangeliorum. Sa présence dans la bibliothèque d'Hautvillers jusqu'à la révolution permettent de l'attribuer au scriptorium d'Hautvilliers.

La bibliothèque de Charleville-Mezières, comme beaucoup de bibliothèques municipales a hérité d'un important fonds ancien par les confiscations révolutionnaires faites aux couvents, abbayes, et aux émigrés.Les fonds proviennent surtout des couvents ardennais : de l'abbaye cistercienne de Signy, de la chartreuse du Mont-Dieu, de l'abbaye de Belval, mais aussi de l'abbaye de Mouzon, de Novy, de Laval-Dieu, d'Elan, les couvents de Minimes de Rethel, des Recollets et des Capucins de Charleville. De nombreux legs et dons ont eux aussi alimenté le fonds ancien. Au total, 129 manuscrits enluminés sont numérisés.

Fonds de 700 volumes imprimés au XVe siècle (et au tout début du XVIe siècle), représentatif de la production des premiers temps de l'imprimerie. Le fonds provient majoritairement de l'abbaye de Clairvaux, mais aussi de la collection d'une dynastie de bibliophiles dijonnais, les Bouhier, et d'autres bibliothèques ecclésiastiques ou aristocratiques nationalisées et confisquées à la Révolution. On y trouve des textes religieux, les œuvres de l'Antiquité classique, mais aussi de nombreux livres en français : romans de chevalerie, histoire, poésie, ouvrages politiques…1ère tranche : 90 incunables ont été numérisés dans le cadre de l'appel à projets 2003 : manuscrits médiévaux et modernes, manuscrits du fonds janséniste, livrets de colportage, ouvrages anciens divers et documents d'intérêt local.2e tranche : 102 incunables latins dans le cadre de l'appel à projets 2007.3e tranche : 64 volumes pour 113 titres (18317 images) ont été numérisés dans le cadre de l'appel à projets 2008.

Journal créé en 1873 par Emile Manceau. Il est publié jusqu'en 1915 et sera recréé en 1918 grâce à Emile Manceau sous le nom "Vigneron de la Champagne".Cette revue diffuse des informations relatives à la viticulture, l'agriculture, l'horticulture, le commerce et l'industrie.Cote Fcpe 20

Il s'agit de numériser le fonds contemporain, soit depuis 1789, des délibérations du Conseil de Ville puis conseil de district puis Conseil Municipal. Nous avons fait numériser les registres jusque 1815. Nous espérons poursuivre jusque la Guerre de 1870 puis peut-être jusque celle de 1914-18. L'intérêt pour l'histoire locale est incontestable d'autant qu'il existe deux ouvrages seulement sur cette période, rédigés par des érudits locaux du XIXe siècle finissant.Dans le même temps nous avons fait microfilmer les registres de recensement de 1851 à 1898 - mais nous avons suspendu en 2008. Nous espérons reprendre jusque 1954.

La collection se compose de 623 lettres, correspondance suivie d’un agriculteur provençal à sa famille de 1914 à 1919 qui raconte de manière détaillée le quotidien du Poilu et ses pérégrinations, ses doutes, ses espoirs… en dépit de la censure qu'il connaît et éprouve.L’originalité de ce fonds est qu'il apporte le point de vue d'un simple citoyen, un provençal mobilisé, combattant plusieurs fois à Verdun, en Belgique, en Champagne, et qui ne fut vraiment démobilisé qu'à l’été 1919.A travers la correspondance active d’Hervé Lambert, on observe les différents états d'esprit du soldat : l'enthousiasme et le patriotisme des premiers mois, la désillusion progressive, quelques récits de combats, la description des très difficiles conditions de vie, les blessures reçues, l'espoir de la « bonne blessure », les stages et formations effectués pour survivre et échapper à l'enfer, la colère contre les gradés, les mouvements de troupes…Le fonds contient des pièces iconographiques : photographies d’Hervé, photographies de groupes, mais aussi cartes postales, papier à entête des YMCA, etc.

Les manuscrits constituent la principale richesse du fonds ancien de la bibliothèque municipale de Reims. Un grand nombre provient des abbayes et églises environnantes (la bibliothèque du collège des jésuites, l'abbaye Saint Remi, l'abbaye Saint Thierry, le chapitre de la cathédrale), via les confiscations révolutionnaires et de nombreux dons.105 manuscrits médiévaux enluminés datant du IXe au XVe siècle sont pour l'instant numérisés. Une grande partie sont des textes religieux avec entre autres des évangiles (Evangiles de Saint-Thierry dit d'Hincmar), des bibles, de la littérature religieuse. Les documents recèlent des trésors comme de belles initiales ornées et lettres historiées, des enluminures richement décorées, par exemple par l'école de peinture rémoise du IXe siècle, l'une des plus réputées de l'époque carolingienne ou encore un missel du XIVe siècle de l'abbaye de Saint Nicaise (recouvert d'une étoffe de type oriental, au style perse sassanide du VIe siècle ou du VIIe siècle).

Numérisation de journaux et périodiques locaux du 19e siècle comme le Petit Troyen, Annuaire de l'Aube, Revue de Champagne et de Brie, etc.

Ces registres, d'origine communale et départementale, concernent l’intégralité des communes de la Haute-Marne.

Cette collection rassemble un vaste ensemble de pièces (livres, brochures et placards) regroupées par les bibliothécaires et conservateurs troyens à la fin du XIXe siècle et au tout début du XXe siècle. L'ensemble porte sur des aspects de la vie sociale, culturelle et religieuse de la population troyenne et par extension du département de l'Aube, de la Révolution à l'extrême fin du XIXe siècle. Il correspond à une série de recueils factices regroupée sous la cote "cartons locaux". Il possède un double intérêt : illustrer la vie des groupes sociaux composant la population troyenne et leur interaction et dresser un tableau synoptique de l'histoire locale tout au long du XIXe siècle.

Cette collection est issue de la numérisation des microfilms des manuscrits de la bibliothèque de Châlons-en-Champagne.Ils représentent 729 manuscrits sur les 1731 manuscrits que comprend la bibliothèque, jusqu'ici disponibles au public sous forme de 108 microfilms.Ils couvrent une période large allant de l'époque médiévale jusqu'à la seconde guerre mondiale.On peut classer les manuscrits microfilmés concernés par l'opération en plusieurs catégories suivant les thématiques concernées : les recherches biographiques, généalogiques et les armoriaux concernant des familles de la région ; les recueils de chansons ; les œuvres poétiques et littéraires ; les mémoires savants et les instruments de recherche historiques et archéologiques ; les sources historiques (archives : lettres, suppliques, rapports…) ; les sources et les traités savants concernant le patrimoine bâti (constructions, plans, études). De façon générale, l'intérêt historique des documents est prédominant, qu'il s'agisse d'histoire religieuse, d'histoire sociale (confréries, corps de métiers) ou militaire (les deux conflits mondiaux de 1914-1918 et 1939-1945 sont bien représentés). Ces manuscrits ne relèvent pas d'un fonds unique, mais ont des provenances diverses (dons, achats…).

Henri Deneux (1874-1969), architecte en chef des Monuments historiques, chargé de la restauration de la cathédrale de Reims, après la première guerre mondiale, a rassemblé une importante documentation iconographique sur le bâtiment (photographies et croquis, au total 2500 vues). Ces documents furent donnés à la bibliothèque en 1994. Ils complètent d'autres fonds photographiques rassemblés par Deneux (à la médiathèque du patrimoine et à la DRAC Champagne-Ardenne).

La numérisation porte sur les listes de recrutement militaire du département de la Haute-Marne.

Henri Deneux (1874-1969). Reçu premier au concours d'architecte en chef des Monuments historiques de 1905, à ce titre, il est successivement chargé par le Gouvernement des monuments historiques des départements du Nord, de la Somme, de l'arrondissement de Saint-Quentin et de la restauration de Saint-Martin-des-Champs à Paris. Pendant la guerre 1914-1918 fait en plus l'intérim des départements de l'Aube, de la Côte d'Or, de I'Yonne, de la Haute-Marne et de la cathédrale de Toulouse. Chargé dès janvier 1915 des Monuments historiques de la Ville de Reims, démissionne de tout ce qui précède pour se consacrer exclusivement aux trois édifices religieux de Reims (cathédrale, église Saint-Remi et église Saint-Jacques), et ce jusqu'en fin 1938.Le fonds conservé aux Archives photographiques est en grande partie inventorié et numérisé. Restent à traiter quelques départements français, les pays étrangers, les plaques de projection des cours de métrophotographie.

Ce fonds permet l'accès à "L'Industriel de la Champagne", deuxième grand périodique d'information rémois. Fondé sous la Monarchie de Juillet (1835), il paraît d'abord trois fois par semaine, puis quotidiennement, jusqu'en 1853. On y trouve quelques informations nationales et internationales, mais aussi et surtout des informations régionales et locales qui, par leur rareté, fournissent à l'historien une documentation exceptionnelle sur la vie culturelle, politique et économique de Reims sa région : informations sur la ville, annonces de spectacles, publicités pour des entreprises rémoises.

Tables de l'enregistrement (successions et absences) de l'Aube, an IV-1839.

La numérisation porte sur le fonds Diderot-Caroillon de Vandeul, coté 2E.

Journal républicain quotidien intitulé "Observateur sparnacien" (cote FCPE6).

La numérisation porte sur les archives de la Société historique et archéologique de Langres.

Journal Républicain, politique, littéraire, agricole et commercial basé à Epernay, rue Flodoard.Ce journal est paru de 1876 à 1898. La médiathèque d'Epernay possède les numéros des années 1879 à 1883.Cote Fcpe 37

Le projet vise à mettre à la disposition d'un large public la documentation iconographique rassemblée et élaborée par la Conservation régionale des Monuments Historiques de la DRAC concernant les monuments classés et inscrits (1347).La numérisation des phototypes ( environ 15 000 diapositives et 25 000 négatifs ) relatifs à cette documentation permettra d'alimenter la base de données nationale image Mémoire et ainsi d'illustrer les notices des bases de données Mérimée (architecture) et Palissy (objet) sur Internet.L’indexation de ce fonds est en cours de réalisation.

De nombreux cartulaires ont été numérisés par les Archives départementales de l'Aube, on retrouve :- En 2011 : 186 cartulaires, terriers, censiers et fragments d’histoire de 15 abbayes et commanderies auboises, constitués entre le XIIe et le XVIIIe siècle. Issues des confiscations révolutionnaires de 1796, ces archives concernent des établissements monastiques prestigieux (Saint-Loup de Troyes, Montiéramey, Montier-la-Celle, Le Paraclet, Hôtel-Dieu-le-Comte de Troyes), mais l’abbaye de Clairvaux et les commanderies d’Avalleur et de Troyes occupent une place particulière, tant par leur histoire que par le nombre de documents numérisés.- En 2012 les cartulaires de Champagne - 7 cartulaires, 15 registres d’officialité, 91 censiers et terriers de 6 établissements ecclésiastiques aubois, constitués entre le XIIe et le XVIIIe siècle. Issues des confiscations révolutionnaires de 1796, ces archives concernent les fonds de l’évêché de Troyes, de l’officialité de Troyes, de l’hôpital Saint-Nicolas de Bar-sur-Aube, de l’abbaye Saint-Pierre d’Oyes, du chapitre cathédral de Troyes et de la collégiale Saint-Étienne de Troyes (chapelle palatiale et nécropole des comtes de Champagne).

Les registres de délibérations du Conseil municipal de la fin du XIXe, concentrent une partie essentielle de l'histoire de la ville. En effet, le fonds municipal du XIXe est lacunaire pour la période 1830-1899 car une grande partie des archives ont brûlé dans l'incendie de l'hôtel de ville du 3 mai 1917.Il s’agit de registres papier imprimés.

Cartes postales sur le département de l'Aube.

Plans à vue d'oiseau de tous les terrains appartenant à toutes les communes du département de la Haute-Marne, établis entre 1800-1865, aquarellés en couleur, portant les numéros de parcelles renvoyant aux matrices cadastrales établies dans un but fiscal. Ce fonds concerne entre autres les villes de Chaumont, Langres, Saint-Dizier, Wassy, Colombey-les-Deux-Eglises, Andelot...