Registres des arrêtés du maire de Dammarie-les-Lys

Recueils de lettres d'écrivains et d'artistes du 19e siècle provenant de la bibliothèque d’Auguste Vincent, professeur de piano, compositeur et bibliophile (1829-1888), léguée à la Ville de Melun en 1918.

Registres des délibérations de Dammarie-les-Lys

Ce fonds est constitué de 830 plans et calques des chantiers de fouilles de Melun, ainsi que de relevés, datant du XXe siècle.

Près de 1300 tirages sur papier albuminé consacrés principalement aux « Vues du Vieux Paris » avaient été acquis par la Bibliothèque des arts décoratifs entre 1900 et 1926. Les photographies avaient été classées et collées dans la Collection iconographique Maciet et ont été retirées dans les années 1990 pour être restaurées et conservées en réserve. Ces photographies illustrent les thèmes suivants : Architecture, Ferronnerie, Décoration, Jardins, Mobilier religieux, Plantes, Sculpture, Vases, etc.

Ce fonds est constitué de 1130 cartes et plans de la ville de Melun datant du XVIIe au XXe siècle.

Cette collection du musée de Melun est composée de 300 dessins de François-Julien Decourbe représentant la ville de Melun et ses habitants au XIXe siècle.

Registres de délibérations du conseil municipal : Savigny-le-Temple, 1896-2006

Le fonds comporte : 9 registres paroissiaux de 1599 à 1779, les registres des mariages et décès de Chessy de 1793 à l'an XIII, ainsi qu'un parchemin concernant une Opposition de biens (1545).

Le fonds de cartes postales des Archives départementales de Seine-et-Marne compte plus de 16.000 pièces, en majorité antérieures à 1930. Elles ont été rassemblées dans le but de servir de complément et d'illustrations aux sources écrites concernant le département.

Photographies du « vieux Paris » et de ses environs (Versailles, Saint-Cloud, Fontainebleau, Sceaux, Etampes, Beauvais...), Rouen, La Rochelle, Saint Riquiers (Somme). Ces images, représentant essentiellement des architectures, des ornements, des façades de commerces et des paysages, furent prises entre 1900 et 1927. Un grand nombre d'épreuves furent tirées sur des papiers albuminés, souvent virées d'après des plaques au gélatino-bromure d'argent. Elles étaient vendues deux fois par an à l'Ecole des beaux-arts par Atget, seul photographe inscrit sous son nom dans les registres d'entrée des collections.

Registres paroissiaux et d'état civil de la ville de Chelles

Acquise en 1996, la collection de 192 plans et dessins des architectes Victor (1810-1889) et Paul Delefortrie (1843-1910) permet de reconstituer en partie leur œuvre architecturale et décorative dans les départements de la Somme, l’Oise, l’Aisne, la Seine-et-Marne, la Seine-Maritime, et la principauté de Monaco.Très diversifiée, leur production est le fruit de commandes publiques nombreuses (écoles, hôpitaux, églises) dont les archives de la Somme conservent d’autres sources (Série O) et de commandes privées (couvents, châteaux et hôtels particuliers).Leur œuvre architecturale témoigne de tous les courants néo-moyennâgeux de la création, renouvelés par l’éclectisme puis transfigurés par la naissance de l’art nouveau.Cette collection entièrement numérisée s’inscrit dans le projet « Patrimoine bâti de Picardie. »

Ce fonds est composé de 50 registres de délibérations de plus de 100 ans.

La collection du service archéologique de Melun se compose de 29 relevés mis au net sur calque de format A4 et A3, 215 dessins mis au net sur calque de format A4 et A3, VHS « Meludunum sur Seine », 1990, par le GRAS et « chantier médiathèque », 2001, par le GRAM) respectivement de 12 minutes et 2 x 15 mn.

Il s'agit des délibérations du conseil municipal, budget, arrêtés permanents de voirie et décisions du maire.

Cette collection se compose de 1782 affiches concernant les loisirs, les cérémonies, la politique, l'économie, la vie quotidienne à Melun et en Seine-et-Marne, et de 1550 cartes postales de Melun au XIXe siècle.

Fonds local du XIXe siècle composé de 100 livres et brochures sur la ville de Melun, dont l'"Histoire de Melun" par Gabriel Leroy.

Ce musée présente les coutumes et modes de vie seine-et-marnais, tout en rendant hommage à l'écrivain Pierre Mac Orlan qui a longtemps résidé dans ce village. Le Musée des Pays de Seine-et-Marne a comme terrain d'étude la mémoire et l'évolution contemporaine de l'est de l'Ile-de-France. Il présente une collection d'objets de plus de 3 000 pièces, composée d'instruments agricoles ou artisanaux, qui permettent de retracer l'histoire paysanne briarde et ses traditions.L'agriculture, l'élevage, l'artisanat villageois, l'exploitation des matières premières ou encore l'habitat rural sont ainsi évoqués. Cette collection ethnographique permet également de découvrir des coiffes féminines collectées dans les années 1940 par des folkloristes, qui rendent compte de l'investigation "folklorique" dont la Brie fit l'objet à cette époque.

Il s'agit des registres paroissiaux (1669-1792) et les registres d'état civil (1793-1899) de Moissy-Cramayel.

L'opération de numérisation porte sur les 556 phototypes des plans d'intendance - documents uniques, de grand format et aquarellés, conservés aux Archives départementales de Seine-et-Marne. Les 528 plans d'intendance de Seine-et-Marne sont "les plans cadastraux de paroisses dressés par les soins de l'administration de la Généralité de l'Ile-de-France de 1777 à 1789... Ils constituent une source vraiment incomparable pour la géographie humaine du passé et nous souhaitons que tous ceux qui s'intéressent à l'histoire du sol, de l'habitat et de l'économie rurale en sachent comprendre l'intérêt et la valeur." (Jean Hubert, avant-propos au nouvel inventaire de la série C) A cette valeur informative importante, il faut ajouter l'intérêt esthétique que suscite la très grande qualité graphique des dessins et la fraîcheur des couleurs : "Ces plans et ces procès-verbaux d'arpentage constituent un ensemble d'une valeur inappréciable pour l'histoire. Ils furent dressés de 1777 à 1789, en exécution de la Déclaration du roi du 11 août 1776, sous l'administration de l'intendant Berthier de Sauvigny, puis sous la direction de la Commission provinciale de l'Ile-de-France, aidée de ses bureaux intermédiaires. Ils devaient permettre une meilleure répartition de l'impôt de la taille. Quelques-uns furent exécutés par des arpenteurs de médiocre talent mais beaucoup sont de véritables œuvres d'art et tous sont le résultat de relevés faits sur le terrain avec une grande précision. Ce sont des documents de premier ordre car on y a noté tout le détail de la topographie des lieux habités, les abbayes, châteaux et parcs (dont beaucoup ont aujourd'hui disparu), les anciennes routes et les principales cultures." (Paulette Cavailler, préface au même). Près de trente ans plus tard, ces lignes gardent toute leur pertinence.Les plans d'intendance sont l'objet de demandes répétées de consultation et de reproduction, nécessitant des manipulations particulièrement néfastes pour ces documents fragiles. Plusieurs couvertures photographiques ont été réalisées (1970 - 1987 - 1996), cependant la dégradation rapide des phototypes (couleurs virées, etc) suscite pour la majorité des reproductions demandées le recours aux originaux. La numérisation mettra fin à ces manipulations constantes, garantira la bonne conservation et l'accès de tous à ces plans d'intendance.

Deux collections privées prêtées pour numérisation :- Collection Gilles Lanoux : 21 photographies (1963-1978)- Collection Michel Petit (1889-1977) : photo de sapeurs pompiers (vers 1889), divers documents familiaux sur la période de guerre, correspondance entre ses parents, carnet de notes de son père pendant sa captivité, Agendas Menier (1929 et 1936) appartenant à sa mère sur lesquelles elle notait heures travaillées, salaire reçu, grève, Agenda Coop (1934) ...

Plans cadastraux de Moissy-Cramayel de 1809, 1812 et 1840.

Registres mortuaires de l'Hôtel-Dieu de Provins, XVIIIe siècle

Les registres des délibérations du Conseil Municipal constituent une source essentielle pour appréhender l'Histoire d’une ville, l'action d’une municipalité, le pouvoir institutionnel local.Les citoyens, les chercheurs comme les services de la ville s’y réfèrent également très fréquemment à des titres diverses.

Le fonds d'atelier d'Henri Le Secq (1818-1882), considéré comme l'un des primitifs français de la photographie, a été donné par son fils en 1905. Ce fonds, conservé en réserve, se compose de près de 500 tirages sur papier salé et de 400 négatifs papier ciré sec (calotypes). Il comprend notamment des vues des monuments photographiés au cours de la « Mission héliographique » de 1851 commandée par les Monuments historiques à cinq photographes dont Henri le Secq pour l'Est de la France.Le Secq s'est par la suite attaché à photographier une série de monuments au cours d'autres campagnes (Amiens, Auxerre, Chartres, Sens…) ainsi que les "Démolitions de Paris" en 1852-1853.Il faut noter par ailleurs, que la Bibliothèque est la seule à posséder des vues de terrains. Elle possède également une série de natures mortes tirées sur papier bleu ou « cyanotypes ».

Recueils de lettres d'écrivains et d'artistes du 19e siècle provenant de la bibliothèque d’Auguste Vincent, professeur de piano, compositeur et bibliophile (1829-1888), léguée à la Ville de Melun en 1918.

Le fonds est composé de 10 carnets d’érudits locaux (messieurs Leroy, Mallet, Louviot), lettres et études manuscrites datant du XIXe siècle.