Registres paroissiaux et d’état civil de plus de 100 ans des communes de la vallée du Gier (départements du Rhône et de la Loire).L'opération porte sur les exemplaires conservés dans les mairies d'une cinquantaine de communes.

Il s’agit des plans cadastraux (tableaux d’assemblage et sections) dit napoléoniens de la commune de Saint-Etienne et de ses communes annexées : Montaud, Outrefuran, Valbenoite, Saint-Victor, Rochetaillée, Terrenoire.

Il s’agit des registres d’état civil (et des tables) de la commune de Saint-Etienne et de ses communes annexées : Beaubrun, Montaud, Outrefuran, Valbenoite, Saint-Victor, Rochetaillée.

Ensemble des archives de l’archéologue Joseph Déchelette (1982-1914) conservées à la bibliothèque du musée des beaux-arts et d'archéologie Joseph Déchelette.Ces archives sont composées d’un ensemble d’éléments divers dont les plus importants sont : l’ensemble de la correspondance (6000 lettres), les carnets de notes de voyages, les archives de fouilles (oppidum du Mont Beuvray/Bibracte, fouilles Bulliot et Déchelette 1867-1901 et oppidum du Crêt Châtelard, fouilles A. Chaverondier et V. Durand 1871-1895), dossiers d’enquêtes menées dans le cadre de l’inventaire général des richesses d’art et monuments historiques de la France, documents préparatoires aux différentes publications, collections de cartes postales, ensembles de tirages photographiques. Une partie concerne le patrimoine régional - et un ensemble de plaques de verre (positifs et négatifs) et films concernant l’archéologie et le patrimoine régional.

Il s’agit des registres paroissiaux (et des tables) de la commune de Saint-Etienne et de ses communes annexées ; et des registres de sépultures de la maison de la Charité (qui à ouvert en 1682).

Il s’agit des archives de la commune de Saint-Etienne antérieures à 1790 et classées selon le cadre réglementaire des archives communales. A l’exception de la série des registres paroissiaux, les documents antérieurs à la Révolution sont peu nombreux. Les séries BB à JJ sont constituées de 311 articles : 196 registres paroissiaux ou cahiers et 115 articles pour les autres séries.

Fonds Ennemonde Diard (27 J) :Ennemonde Diard (1898-1943) a été journaliste sportive de 1920 à 1943.Aviatrice et parachutiste, elle faisait partie de l’Aéro-Club de Bouthéon. Membre du Parti Populaire Français (parti de droite, de Jacques Doriot), elle a été une ardente propagandiste de la collaboration lors de la Seconde guerre mondiale.Le fonds comporte 38 albums de photographies essentiellement consacrés à des manifestations sportives (meetings aériens, courses cyclistes…). Le premier album est consacré à l’aviateur Roland Garros.

Auguste Bouquet de la Grÿe, officier du 1er Empire : 25 lettres autographes envoyées de Paris, Berlin, de Pologne par Auguste Bouquet de la Grÿe, officier du 1er Empire et adressées à ses parents résidant au château d'Ambierle (1805-1808). coté 1J820.

Les bulletins du conseil municipal sont imprimés et reliés par année puis semestre et trimestre depuis 1881. Pour la période 1881-1995, un sommaire thématique détaillé clos le volume de chaque année. Pour la période 1996 à nos jours, l'outil de visualisation offre la possibilité de faire des recherches par thème. Dans tous les cas, un ordre du jour ouvre chaque séance.

Parmi les textes foréziens célèbres qui ont été numérisés citons l'Astrée et la Gazette Françoise.L'Astrée d'Honoré d'Urfé (1567-1625), gentilhomme cultivé et bretteur du Forez, comporte près de cinq mille pages, soit cinq parties divisées chacune en douze livres. Les trois premières parties sont publiées en 1607, 1610 et 1619, et lorsque d'Urfé meurt en 1625, son secrétaire Baro achève la quatrième partie et lui donne une suite (1632-1633). L'Astrée, dont les intrigues romanesques et précieuses ont pour théâtre les bords du Lignon, est un roman pastoral dont l'influence sera considérable au dix-septième siècle.La Gazette Françoise de Marcellin Allard est quant à elle une suite de chroniques rédigées par un habitant de Saint-Etienne et destinées à un Romain anonyme. Le texte est remarquable par son style rabelaisien. On y remarquera la description d'une ville déjà marquée par l'industrie, sous le règne d'Henri IV.

Les cartes et plans de la ville concernent l'aménagement des quartiers (Montaud, Montreynaud, Saint-Victor-sur-Loire...), la vie municipale de l'époque (1790-1855 ou 1970) : délimitation des communes, construction des hôtels de ville, églises, cimetières, aménagement de la voirie,...) et la construction de grands équipements : certains existent toujours (équipements sportifs, établissements scolaires, bourse du travail...) mais d'autres, emblématiques, ont disparu (abattoirs, vélodrome, théâtre...).Ces documents datent du XIXe et XXe siècles et c'est à cette époque que Saint-Étienne, jusque là petite bourgade de la vallée du Furan, se développe avec la Révolution industrielle : économie, construction des équipements, annexion des communes suburbaines en 1855, obtention de la préfecture en 1856, réhabilitation des quartiers vétustes...

Rapports des renseignements généraux sur l'état de l'opinion dans la Loire (1939-1944).

Apparu au début du XVIIe siècle, le jansénisme est la principale modalité de la Contre-Réforme en France. Une longue querelle oppose les jansénistes à la papauté, aux jésuites et au pouvoir royal.C'est au XVIIIe siècle que le jansénisme s'implante en Forez en s'appuyant sur les collèges oratoriens : Montbrison et Notre-Dame de Grâce. A l'exigeant Jacques-Joseph Duguet, auteur des Lettres de Morale et de Piété, succèdent des prêtres influencés par le jansénisme convulsionnaire : ils sont à l'origine des sectes « margouillistes » qui se manifestent durant les périodes révolutionnaire et impériale et, avec le béguinisme, jusqu'à nos jours. Avec l'appui de l'Université Jean Monnet et de nos collègues de Saint-Chamond, Montbrison, Roanne et Saint-Bonnet-le-Château, nous vous proposons de découvrir ce patrimoine.

La bibliothèque municipale a reçu en 1997, le dépôt d'un important fonds provenant de l'École Nationale Supérieure des Mines de Saint-Étienne (12 000 titres) qui fut la première à former en France des ingénieurs civils, cadres industriels mettant leur science non plus au service de l'État ou du Prince, mais au service d'entrepreneurs privés : premières compagnies houillères, maîtres de forges à l'anglaise, constructeurs de chemins de fer...Cette collection concerne les périodes XVIIIe siècle au milieu du XXe, et décrit l'art des mines et l'histoire industrielle de Saint-Étienne.L'accent serait mis sur les périodes pré-industrielle (XVIIIe siècle), proto-industrielle (premier XIXe, lorsque l'on assiste à l'intensification des processus de production traditionnels) et industrielle (1850-1880) et sur les domaines de la sidérurgie et métallurgie.

Livre de la résistance de l’Armée Secrète du département de la Loire constitué par le capitaine Monier, ex-Rodolphe : médaille, photographies, coupures de presse. Coté 1J1300.

Les 83 documents sonores du XXe siècle portent sur la musique stéphanoise et proviennent d'origines différentes, soit publiques, soit privées. Il s'agit de chansons locales, de témoignages de chansonniers ou de passionnés de musiques locale. Il s'agit de documents inédits pour la compréhension et la connaissance de la musique stéphanoise.

L'une des collections les plus précieuses du musée d'Art et d'Industrie dans le domaine textile est celle des rubans en pièces collectées depuis 1840 par les conservateurs successifs...Établie en relation avec la collection de registres de rubans, cette collection de rubans présente la particularité de se présenter sous forme de pièces de différentes longueurs. Elle se compose de 3 sous-ensembles distincts: une première collection de 350 pièces du XIXe siècle et de la première moitié du XXe siècle inventoriés vers 1954, un second ensemble de 50 rubans donnés au Musée par les fabricants stéphanois lors d'une exposition sur la rubanerie au musée en 1948 et enfin un dernier lot d'une vingtaine de pièces offert pat la Chambre Syndicale des Rubans en 1953. Ces différents rubans offrent une un panorama de la large palette de rubans produits par la fabrique de Saint-Étienne d'un point de vue stylistique, historique et technique.

Contient les registres matricules du recensement militaire (1 R).

Les registres paroissiaux de l'Ancien Régime, ancêtres de l'état civil actuel, sont un des fonds les plus consultés aux Archives départementales de la Loire, par les généalogistes bien sûr, mais aussi par les historiens. Les Archives départementales de la Loire conservent le registre paroissial complet (baptêmes, mariages, sépultures) le plus ancien de France : 1469.les tables décennales de l'état civil de la Loire ont été numérisées sur la période 1802-1902.

Les documents sonores concernant le Conseil municipal reflètent l'activité première d'une commune : la mise en place de la politique des élus. Il s'agit ici des débats du Conseil municipal de 1980 (pas de document avant) à 1988. A cheval sur deux majorités, des dossiers importants, parfois sensibles, sont débattus : fin de l'entreprise Manufrance, restructuration du tissu industriel, grands aménagements urbains... L'opération s'arrête en 1988, car proche de la fin de la mandature (élections en 1989), cette césure s'avère cohérente. La numérisation des documents suivants se déroulera ultérieurement. Ces archives sont complémentaires des registres de délibérations du Conseil municipal, conservés et mis en ligne actuellement avec, en plus, le côté vivant, immatériel qui n'est pas retranscrit par les documents écrits.

La collection regroupe les archives iconographiques numérisées par le département de la Loire. On retrouve :- Affiches ancienne (9 Fi) : Affiches antérieures à 1960 ou présentant un intérêt historique particulier, 1788-1981.- Album des environs de Roanne(24 Fi) : Gravures de Louis Noirot (1820–1902) est un peintre et lithographe originaire de Neuf-Brisach, formé à Guebwiller puis Paris. Il s’installe à Roanne en 1846 sollicité par l’imprimeur Descombes qui lui commande un recueil de lithographie sur le Forez. Ce projet n’aboutit pas mais Noirot publie Dix vues du Roannais. En 1851 un deuxième album intitulé Roanne et ses environs est édité. Il contient sept vues de Roanne et vingt trois paysages champêtres. 1851.- Album des bords de la Loire (CHPL4153) : Album composé de cinquante gravures sur acier tirées sur papier de Chine représentant des villes, bourgs et châteaux de la source de la Loire à son embouchure, réalisées par Rouargue frères et publiées par Adolphe Delahays, Libraire éditeur. 1856.- Album Les Rives de la Loire (CHPL4154) : Lithographies dessinées d’après nature et lithographiées d’après nature par Deroy. Album imprimé et publié par Ch Motte. 1836.- Le Forez pittoresque et monumental. Gravures hors texte (CHDIVDEM80)de Félix Thiollier,1889.- Monuments Historiques de France, publiés par département. A Rouget (21 Fi) : Photographies de monuments ligériens. Fin XIXe siècle.- Fonds Lionard (25 Fi) : Photographies sur plaques de verre stéréoscopiques de Saint-Etienne, Saint-Péray, La Bourboule, La Chaise-Dieu, Lyon et la Côte-d'Azur, fin XIXe siècle -début XXe siècle.- Plaques de verre stéréoscopiques concernant la guerre 1914-1918 appartenant à M. Boissier (37 Fi), 1914-1918.- Cartes postales (2 et 22 Fi) : Collections de cartes postales, fin XIXe siècle, XXe siècle.- 38 FI Fonds Philibert Breton : Plaques de verre de la vallée du Gier et de Lyon, Fin XIXe - début XXe siècle.- 1J 1330 Album de Rive de Gier : Album contenant un plan, des cartes postales et des photographies de Rive-de-Gier réalisé vers 1953, XXe siècle.- 31 Fi Album des Foréziens célèbres : Album contenant des reproductions de gravures, XXe siècle.- 26 Fi Album de L’école des Mines : L’auteur anonyme de cet album est vraisemblablement un élève de l’Ecole des mines de Saint-Etienne de la promotion 1924. Plusieurs élèves et enseignants identifiés sont photographiés au cours de visites de mines ou d’industries, dans leur laboratoire, en excursion ou en préparation militaire. Cet album présente plusieurs types d’infrastructures industrielles de la région stéphanoise. D’autres photographies concernent l’entourage ou les voyages de l’auteur. XXe siècle.- 23 Fi Fonds Léon Michel : Léon Michel (1840-1920) a travaillé au service Contentieux de la compagnie des Houillières de Saint-Etienne. Il a écrit des ouvrages juridiques concernant la législation et la jurisprudence se rapportant aux mines. Le fonds est composé de photographies de la Loire, de l'Ardèche, de Vichy, d'Italie (Rome, Venise), de Suisse. Fin XIXe - début XXe siècle.- Autochrome du château de Sail-sous-Couzan, Vues stéréoscopiques de Sail-sous-Couzan, 1913.- Diapositives du service (2439 W et 2566 W) : Reportages photograhiques du photographe des Archives départementales de la Loire, 1988-2002.- Diapositives de la Comédie de St Etienne 8 ETP : Complément de la campagne de numérisation de 2008. Diapositives prises pendant les spectacles, 1975-2001.

Listes électorales de Saint-Etienne (Loire), 1831-1905.

Mobilier archéologique : Feurs est construite sur le site de l'importante ville gallo-romaine du Ier siècle, l'antique forum Segusiavorum, chef-lieu de la cité des Ségusiaves. L'importante collection d'objets archéologiques provient de cette période brillante, et de la période gauloise qui l'a précédée : céramiques, objets en alliage cuivreux, statuettes de dieux, bijoux, maquettes...Eléments de harnachement du cheval à travers les différentes cultures équestres, depuis le Ier siècle jusqu'à nos jours, faisant la part belle à l'élevage du trotteur en Forez et à l'histoire des hippodromes, jusqu'à la culture des loisirs du XXIe siècle.Peintures, gravures et sculptures, en particulier la peinture paysagiste du XIXe siècle avec des peintres locaux connus.

Fonds photographique Léon Leponce

La numérisation porte sur les 3 000 plans du cadastre dit "napoléonien".Elle porte aussi sur la centaine de plans par masses et natures de cultures réalisés dans le département.Les plans par masse de culture, dont la confection fut ordonnées par l'arrêté du 12 brumaire an XI (3 novembre 1802), furent un premier essai de cadastre, mais qui visait à évaluer grossièrement la répartition des revenus fonciers entre les départements, afin de répartir plus équitablement l'impôt. C'est pourquoi on ne descendit pas dans le détail des parcelles, mais on s'arrêta aux grandes masses de cultures. Seul un échantillon de communes fut cadastré de cette façon (dans la Loire, environ 100 communes sur 340).Le cadastre par masse de culture fut un échec et il fut décidé en 1808 le cadastre parcellaire qui existe toujours.

Recensements de la population de Saint-Etienne (Loire), 1841-1886.

Une sélection de périodiques stéphanois et foréziens.Du très savant Bulletin de la Diana à Forez Auvergne Vivarais qui invite au tourisme, en passant par le Moniteur du Caveau stéphanois, où s'exprimaient des poètes populaires comme Rémi Doutre, Philippon ou Joannès Merlat, et par la Revue forézienne, régionaliste et de bonne tenue littéraire, découvrez la vie culturelle de Saint-Étienne à la Belle Époque.En prime, les premières livraisons du Tarif-album de la Manufacture française d'Armes et de Cycles, le meilleur répertoire d'objets utilisés par nos arrières grands-parents! Un régal!Nous remercions Manufrance, la Société de la Diana et le Caveau stéphanois d'avoir bien voulu nous autoriser à publier ces documents.

Collection constituée de plusieurs ouvrages permettant d'appréhender l'histoire du Forez et de Saint-Étienne.De la chronique de Claude Beneyton qui embrasse les années 1730-1770 aux écrits de l'érudit Jean-Baptiste Galley, la série des histoires de Saint-Étienne et du Forez publiées au dix-neuvième siècle et dans les premières années du vingtième. De l'anecdote au genre littéraire, et du genre littéraire à l'histoire scientifique.

Collection rassemblant 61 registres de délibérations de 1776 à 1881 et les bulletins du conseil municipal de 1881 à nos jours. Pour la période 1881-1995, un sommaire thématique détaillé clos le volume de chaque année. Pour la période 1996 à nos jours, l'outil de visualisation offre la possibilité de faire des recherches par thème. Dans tous les cas, un ordre du jour ouvre chaque séance.

Microfilms de sécurité, notamment de la Chambre des comptes de Montbrison XIIe-XVIe siècles (série B), Archives de la Préfecture concernant la Seconde guerre mondiale (série W).

Registres paroissial et d'état civil de Rive-de-Gier

Les portraits de foréziens célèbres qui ont été numérisés proviennent essentiellement de la collection d'estampes rassemblée par l'érudit Joseph Delaroa. La collection couvre quatre siècles, du XVIe au XIXe siècle.

Vidéralp est le résultat d’une coopération entre les différents services patrimoniaux de la région Rhône-Alpes. En 1989 a été réuni sur un disque analogique plus de 40 000 images de la région. Seules les images relatives à Saint-Etienne et à la Loire qui proviennent des fonds conservés dans les services patrimoniaux stéphanois (Archives, Musées, Bibliothèque) ont été reprises dans cette collection ; notamment les photographies du fondsLéon Leponce (conservé aux Archives municipales de Saint-Etienne depuis 1973, enrichi en 1998 et 2005, représentant 15 000 négatifs souples et plaques de verre) sur la vie stéphanoise et départementale de 1930 à 1960.

Fiches individuelles des étrangers établies par le commissariat de police de Saint-Etienne, pour la période 1892-1940.Ces fiches individuelles sont classées au sein de la série M, «Administration générale et économie 1800-1940», et au sein la sous série 4 M, « Police ». Les fiches correspondent aux cotes 4 M 1021 à 4 M 1140. Elles sont classées par nationalités et par ordre alphabétique. Ces fiches sont pré-imprimées. Elles comportent une photographie d’identité en noir et blanc. Ces fiches contiennent un certain nombre d’éléments concernant les immigrés arrivant à Saint-Etienne : nom, prénom, filiation, lieu et date de naissance, profession, date d’arrivée, provenance, adresses successives à Saint-Etienne, éventuellement date de départ et nouveau lieu de résidence.

Le musée a été créé en 1854 grâce au legs de M. Lorin, magistrat de la région, dont la collection comportait 105 peintures. Le musée a été installé dans le monastère de Brou en 1922. Les collections se sont accrues jusqu'en 1945 grâce à des dons, legs et dépôts de l'Etat. Depuis 1946, le musée bénéficie d'un budget d'acquisition qui s'est amplifié dans les années 1970 et a été renforcé par la création du Fonds régional d'acquisition pour les musées (FRAM) en 1982.

Vues de Saint-Etienne et de sa région à partir du XIXe siècle (essentiellement des cartes postales). Le format de ces documents iconographiques est inférieur à 24x30 cm.Sous-série ouverte : chaque document entrant est numérisé.

Formée de 365 galons de passementerie de soie, la collection Girinon a été présentée à l'exposition de Paris de 1867 puis offerte au musée d'Art et d'Industrie par le fabricant créateur. Très finement décrite au plan technique, cette collection allie innovation technique et performance esthétique.C'est l'une des collections les plus emblématiques du musée d'Art et d'Industrie, puisque, incarnant le projet de ce musée dans l'étude et la restitution des liens étroits entre art et industrie.Outre le panorama exceptionnel qu'elle offre sur la mode du Second Empire, (ses coloris bien datés, son goût pour la brillance de la soie, mais aussi pour ses effets veloutés et « pomponnés », frangés, la collection Girinon marque la réussite d'une grande innovation technique et commerciale : la mécanisation du tissage des galons.Le ruban se distingue par son étroitesse (de 2 mm à 30 cm), ainsi que par la présence de lisières solides et souvent dentelées et ornées. Léger et fin, il laisse place à la notion de galon lorsqu'il gagne en épaisseur et en effets de relief. Le galon de passementerie accentue la présence des lisières et des franges au point de ne conserver qu'un filet de ruban central ou de tête comme support du décor. La créativité des rubaniers s'attache à ces "variations sur lisières", notes accords et mélodie d'une symphonie textile.

Plans du bassin minier de Saint-Étienne dressés par l'ingénieur Beaunier en 1813.Les 65 plans de la collection donnent la localisation des gisements houilliers et des puits d'extraction.

La collection rassemble plaques de verre et négatifs souples (397) d'Armand Lextrait sur la Loire et Saint-Etienne, pour la période 1890-1920.Les documents photographiques (négatifs, positifs, plaques de verre) sont au nombre de 397. Ils donnent une représentation de Saint-Etienne à cette époque.

La numérisation concerne les cartes et plans de dimensions supérieures à 24 X 30 cm (cotés 1 FICP).

Cette collection numérisée regroupe 8 titres de journaux locaux couvrant la période 1825-1886. On y retrouve "L'avenir républicain" (1848-1852); "L'industrie" (1852-1853); "Le Mercure ségusien" qui devient "La sentinelle populaire" (1825-1849); "La Loire" (1868-1869); "L'éclaireur" (1869-1872); "Le défenseur" (1870-1871); "La Commune" (1870-1871) et "La République des paysans" (1871-1886). La ville de Saint-Etienne est en pleine expansion durant cette période. La presse locale témoigne de la mutation et du foisonnement de cette période ainsi que du climat politique qui l'accompagne.

Partez à la découverte des différents visages du Forez, ancienne province féodale et berceau de l'industrie minière et métallurgique de France, à travers les estampes de Louis Noirot, les photographies de Félix Thiollier et bien d'autres.

La collection contient des listes nominatives de dénombrement de la population de la Loire (1841-1975) ainsi que des compléments l'état civil et des listes nominatives du recensement de population.

L'ensemble des registres est réparti en trois subdivisions : Saint-Etienne, Montbrison et Roanne.Le fonds est constitué par deux catégories de documents : les registres contenant les états signalétiques et des services appelés du contingent et les tables alphabétiques annuelles par subdivision.Les registres contiennent environ 500 folios et les tables 30 à 50.

Ville renommée de longue date pour ses productions armurières, Saint-Etienne a choisi de se doter d'une collection d'armes, en rachetant en 1851, une partie de la collection du Maréchal Oudinot de Reggio.Cet ensemble de près de 800 pièces est représentatif des phases de l'évolution technique et artistique de l'armurerie française et stephanoise, devenues des éléments incontournables du patrimoine artisanal et industriel de la région.Le musée abrite une des plus grandes collection nationale d'armes composé de différents sous-ensembles :- Armes à feu- Armes blanches- Armes d'hast- Armes défensives- Documents graphiques illustrant le processus de fabrication et de gravure- Machines outils, accessoires et pièces détachées.La numérisation porte sur la collection d'armes de poing du musée d'art et d'industrie, enrichie de celle du Musée de l'ancienne Manufacture Nationale d'Armes de Saint-Etienne, déposée au musée par le Musée de l'Armée.